12 Juillet

Par PtiLu
Notes de l’auteur : le texte qui va suivre est un début d'esquisse de brouillon. Il est fort probable qu'il subisse des changements à l'avenir et qu'il y ait donc des incohérences avec les anciennes versions. Désolé d'avance '^^

« Ecris un livre, écris un livre, elle est marrante elle » maugréais-je en jetant un énième brouillon de roman dans la corbeille de ma chambre avant de me jeter sur mon lit, l’esprit en ébullition. Cela faisait deux jours que Maelys m’avait parlé de ce concours, deux jours que j’essayais d’écrire quelque chose… sans succès. Pourtant les consignes étaient simples : écrivez une histoire. Ni plus, ni moins. Pas de contraintes complexes à respecter comme c’était le cas dans des exercices d’écriture que j’avais fait. Non juste moi et mon clavier face à une page blanche…. Et peut-être que cette trop grande liberté était le problème : je ne parvenais pas à me canaliser. Mon esprit oscillait entre fantasy, thriller, science-fiction sans réussir à tenir le récit sur plus de quelques lignes. J’avais tout essayé pour annihiler cette super activité créative tellement envahissante et contreproductive : le sport, la sieste, un grand plongeon dans la piscine municipale afin de trancher avec la chaleur étouffante et oppressante qui s’était abattue sur la ville… Sans succès. Alors j’avais tenté de combattre le mal par le mal. J’ai donc ingéré une grande quantité de café ce qui eut pour seul effet de me donner des tremblements incontrôlables pendant une journée entière (retenez : combattre le mal par le mal est une belle connerie). En fait le problème venait du fait que je ne parvenais pas à créer un univers assez tangible pour écrire un récit cohérent. Tout me paraissait trop abstrait, pas assez palpable. Afin de remédier à cette panne créative je m’étais réfugié dans les œuvres de mes auteurs favoris dans l’espoir de trouver une idée intéressante. Ce fut de nouveau un échec. A cours d’idée, je finis par enfouir ma tête dans mon oreiller et me laisser dépérir, râlant et pestant de toutes mes forces. Au bout d’un moment je me rendis compte du non-fonctionnement (et de l’absurdité) de cette nouvelle technique. Alors je me suis levé et j’ai repris mon ordi afin de m’occuper des réponses que mes demandes d’emploi avaient reçues.

A la fin des cours, après que mes examens pour les écoles supérieures furent achevés, je me voyais déjà en vacances, enchainant les parties de jeux-vidéos, les livres et les sorties entre pote. En réalité mon âge m’avait rattrapé : je ne pouvais plus passer mes vacances comme je le faisais à mes douze ans. Non, il fallait que je bosse. Comment cet idée était arrivé à l’esprit d’un mec aussi allergique au changements, aux responsabilité et à la vie d’adulte que moi ? L’argent. Alors je ne sais toujours pas d’où m’étais venu cette idée (stress de ne manger que des pates durant mes études ou découverte de ce jeu vidéo à la mode ?), tout ce que je sais c’est que j’avais envoyé des cv (enfin… une feuille à moitié remplie quoi. Un cv à 18 ans ? Je pouvais remplier la section centre d’intérêt et encore) à tous les commerces du coin. Je lisais alors les répondes (négatives pour la plupart) à ces demandes quand soudain une me surpris tellement que je m’étais redressé instantanément sur mon lit : le mail était de la bibliothèque de la ville. Ce lieu avait toujours eu une grande importance pour moi. J’imagine que vous avez un lieu où vous vous sentez bien, un endroit où les problèmes du quotidien semblent moins distincts, comme si vous les aviez laissés à l’entrée. La bibliothèque était ce lieu pour moi. Je n’étais pas un habitué du bars, de la salle d’arcade ou du cinéma moi j’errais parmi les étagères en bois et les livres poussiéreux. J’avais dévoré une grande partie des volumes qui se trouvaient dans ces rayons. Je connaissais la quasi-totalité du personnel donc, quand j’y repense je me dis que c’était logique qu’ils m’envoient une demande positive à ma demande d’emploi… Mais ça ne m’a pas empêché d’être super content sur le coup ! Le mail qu’ils m’avaient envoyé me disait que je pouvais passer à la bibliothèque l’après-midi même afin qu’ils me présentent mon lieu de travails et les tâches que j’allais devoir accomplir durant les prochains jours. Content que les choses s’enchainent rapidement (je déteste lorsque cela traîne en longueur), je pris un rapide déjeuner et enfourchais mon fidèle vélo afin de m’y rendre.

                Lorsque j’ai passé les portes de mon nouveau lieu de travail je me sentis… Chez moi. Avec les cours et les concours j’avais dû mettre de côté ma passion pour les livres, il n’était plus possible de passer mes samedi matin à déambuler entre des étalages de bouquins fantastiques, cela faisait donc très longtemps que je ne m’étais pas rendu en ce lieu. Pourtant rien n’avait changé. L’odeur légèrement boisé des livres étaient exactement la même que dans mes souvenirs.

      - Luc Mojici ?

Je me suis retourné pour voir qui me parlait et me suis retrouvé nez à nez avec une femme aux cheveux noirs, vêtue d’une robe verte émeraude. Ses yeux verts, de la même couleur que sa robe, et sa frange de travers qui lui donnait un peu un air d’hurluberlu (un peu comme la professeur de divination dans les aventures de Potter… Je ne sais pas si vous voyez) me disait quelque chose mais j’étais incapable de mettre un nom sur son visage. Alors je me suis contenté d’acquiescer et de croiser mes bras dans mon dos afin de me tenir droit pour paraître prêt à écouter à quelle sauce j’allais être mangé ces prochains jours. Loin de la réponse autoritaire à laquelle je m’attendais, la femme, après s’être assuré de mon identité, se contenta de pousser un soupir mi las mi amusé en secouant la tête, un sourire sur les lèvres :

      - Eh bien… Tu as tellement changé ! Je n’étais pas sûr que c’était toi. Ça ne me rajeunis pas tout ça… Qu’il semble loin le petit garçon timide qui avait passé les portes de ce bâtiments flanqué dans les jupes de sa mère. Enfin, tout de même, tu pourrais venir nous voir un peu plus souvent, le changement et le coup de vieux seront moins violent ! Aller vient avec moi, je vais te montrer tes quartiers pour les prochains jours

Et c’est à ce moment-là que je réussis enfin à me rappeler qui était cette personne : il s’agissais de Megane Patterson. C’était la responsable de la partie « fantastique » de la médiathèque, aussi on avait longtemps eu des conversation enflammé sur telle ou telle histoire. Elle m’avait mis entre les mains de nombreux livres, dont beaucoup figurent encore aujourd’hui parmi mes œuvres préférées. Cette femme avait contribué à égayer une grande partie de mes soirées et je ne l’avais pas reconnu… Mes problèmes de mémoires commençaient à devenir préoccupants.

                Au départ Megane avait entrepris de me faire visiter les lieux pour me familiariser à mon nouveau lieu de travail mais on se rendis vite compte de l’absurdité de cette idée : j’avais tellement erré entre ces murs que je pouvais m’y déplacer les yeux fermés. Alors on s’assis à l’espace de « travail » (l’endroit où de nombreuses tables et chaises étaient rassemblées) autour d’un soda car ma « responsable » voulait que je lui raconte les dernières années de ma vie dans les moindres détails (les détails concernant les relations amoureuse furent un moment particulièrement dures à passer). Quand elle fut rassasiée de ragots je me suis permis de lui demander

      - Lorsque je suis arrivé tu m’as dit que j’avais changé. Le changement est quelque chose d’omniprésent dans ma vie en ce moment et dans celle de mes amis également. On nous répète sans cesse qu’il va falloir évoluer, devenir adulte et ça me terrifies vraiment. Alors je m’interroge : qu’est-ce qui a changé chez moi ?

Elle fit rouler la cannette de soda entre ses doigts, pensive, pesant chaque mot qu’elle allait dire avant de répondre :

      - Quand tu étais petit tu avais une étincelle au fond des yeux. Une étincelle qui éclairait tout ce que tu voyais afin de n’en sortir que le positif. Tu avais cette vision propre au cocon de la jeunesse qui nous protèges des horreurs de ce monde. Aujourd’hui tes yeux sont plus ternes. Mais c’est normal, tu as plus de vécu. Tout le monde perd cette vision d’enfant tôt ou tard. Mais je m’inquiétais particulièrement pour toi car tu as toujours eu une sensibilité plus élevée que la moyenne. Je ne voulais pas que tu la renies. J’avais peur que face aux tares qui parsèment notre monde tu considères cette sensibilité comme un fardeau et que tu barricade ton cœur. Mais apparemment, tu n’es pas devenu le jeune homme aigri que je voyais déjà en toi.

     - Attends, tu ne m’as pas côtoyé pendant une semaine, plaisantais-je afin de détourner la conversation (j’étais à la fois flatté et inquiété par le fait qu’on puisse lire en moi aussi facilement).

     - Non, répondit-elle avec un sourire sincère, je ne me fais pas de soucis. Aller vient, tu n’es pas venu ici pour parler avec moi mais pour bosser. Je vais te montrer ton poste pour les prochains jours…

 

 

 

     - L’accueil ? Oh non pitié…, dis-je en voyant là où elle m’emmenait.

      -  Un problèmes ? me demanda-t-elle ?

      -  Je ne peux pas travailler dans un endroit moins exposé ? Trier les livres dans la réserve ou les restaurer… Voilà qui serait dans mes compétences. Parler avec les gens… C’est moins mon fort

      - Haha le nouveau venu croit déjà qu’il va donner les ordres ici. Désolé mon cher mais ici tous les nouveaux se retrouvent de garde à l’accueil. C’est un peu notre moyen de les bizuter. Et puis on apprend plein de chose au contact des autres. Allez souri ! Il va bien falloir que tu charmes les clients qui vont arriver !

 

Comme si tout cela était une chorégraphie maintes et maintes fois répété, la cloche annonçant la venue de clients retentit juste après que Megane avait prononcé ces mots. Je portais alors mon regard vers la porte d’entrée afin de voir qui venait de les franchir. Debout dans l’entrée, une vieille dame vêtue d’un tailleur rose pâle attendait, immobile, en regardant vers nous

      - Vous pouvez venir Madame Cicéra, lui dit Megane d’un ton incroyablement doux, c’est ouvert !

La petite dame hocha la tête et se dirigea alors vers nous. Il avait quelque chose de si digne dans son attitude, c’en était impressionnant. On la croyait sortie d’une de ces cérémonies royales comme on voit dans les Disney. Je m’étais dit que son charisme, son aura, pourtant si palpable ne devaient être qu’un triste écho de ce qu’ils étaient autrefois. Aujourd’hui, malgré la prestance qu’elle dégageait, on la sentait prête à s’écrouler au moindre coup de vent, sublime fleur ayant éclot au milieu d’une prairie balayé par les nuées. Madame Cicéra marcha jusqu’au comptoir sans cesser de me fixer.

      - Je vous présente Luc, dit Megane, il va travailler ici durant ses vacances.

      - Allons bon, je suis étonné de voir un jeune ici. Je les croyais trop occupé à fumer, faire des fêtes ou boire pour lire des livres.

Amusée par la situation Megane s’éclipsa (officiellement pour voir comment je me comportais avec les clients, officieusement pour être aux premières loges si la situation devenait comique) me laissant bouche-bée face à son discours : je ne savais pas comment l’interpréter. D’un côté ses paroles étaient dures à entendre (bien que vraie pour une minorité des gens de mon âges) et j’aurai dû m’offusquer face à un tel manque de respect. Pourtant elle avait parlé avec un air si malicieux qu’on ne savait pas si elle était sérieuse ou non. Mais le plus intriguant c’était sa voix : avant qu’elle n’ouvre la bouche je croyais qu’elle avait avoir ce timbre rocailleux, caractéristique des personnes âgées, alourdis par le poids des années. Non, elle parlait d’une voix claire, presque cristalline. J’étais incapable de cerner cette personne, alors je me suis contenté d’attendre et d’enregistrer les livres qu’elle été venue ramener. De plus à ce qu’il parait on peut savoir à quoi pense une personne rien qu’en regardant ses lectures alors j’avais cru que je pouvais réussir à comprendre mon interlocuteur en observant ce qu’elle ramenait… Il n’en était rien. Elle ramenait une pile de roman qu’on aurait dit pris au hasard dans les rayons : des livres scientifiques côtoyaient des bouquins de bricolage et des histoires à l’eau de rose, formant un ensemble d’ouvrage n’ayant ni queue ni tête. Résigné, je me suis alors mis à faire ce pour quoi j’étais venu : je scannais donc les livres qu’elle m’avait donné afin d’enregistrer leur retour dans la banque de donné, sans cesse surpris par le thème de celui que je prenais sur la pile. Durant tout le processus, Madame Cirena me fixa, d’un regard intense qui semblait sonder les moindres recoins de mon âme. Gênée, je l’avais supporté durant de (trop) longues minutes mais une fois que tous ses livres furent scannées je n’en pouvais plus. Je lui ai alors rendu son regard brulant. Elle le soutint un temps, puis détourna le sien en souriant. Croyant l’incident terminé je m’apprêtais à rejoindre Megane mais elle m’arrêta en posant une main osseuse sur mon épaule et en me disant :

     - Tu es un cas particulier toi.

      - Pardon ?

      - Désolé de t’avoir fixé de la sorte mon garçon, me dit-elle, mais il faut dire que tu m’intrigues. Tu es très différent des autres gens de ton âge que je croise dans la rue, les yeux rivés sur leurs réseaux sociaux, des écouteurs vissés dans les oreilles. Ils sont coupés du monde, ou plutôt ils sont dans leur monde, qui doit surement être plus agréable que celui-ci d’ailleurs. Ce n’est pas ton cas. Tu as un regard alerte, un regard qui témoigne d’une soif de connaissance, d’un intérêt pour le monde qui t’entoure. Ça fait longtemps que je n’avais pas vu une telle attitude chez une personne de ton âge.

      - Je ne sais pas quoi répondre à ça, ironisais-je

Madame Ciréna éclata d’un rire rauque. Un rire qui, lui, avait un timbre en adéquation avec l’âge de la personne qui le possédait avant de répondre :

      - Ne t’inquiète pas se sont juste des inepties de vieilles femme. Vous êtes une espèce étrange, vous les jeunes… Enfin passons, je te souhaite un très bonne été Luc, et une bonne chance car tu vas devoir te plier aux quatre volontés de Megane durant ses prochains jours ! Elle cache de vrais airs de dictatrice sous son visage d’ange glissa-t-elle en riant avant de s’en aller vers les rayons de livre.

Elle nous laissa là, moi et les dizaines de pensées qui étaient apparues suite à son discours et qui tournaient maintenant en boucle dans ma tête. J’étais tellement pensif que je n’entendis même pas Megane revenir.

      - Tu t’en es bien sortit pour une première fois. Allez viens on va…

      - Qui... qui était cette femme ? réussis-je à articuler par-dessus le bourdonnement de mon cerveau qui réfléchissait à toute allure.

      - Madame Ciréna ? C’est une habitué, elle vient souvent ici. Je suis étonné que tu ne la connaisses pas toi qui a longtemps erré dans ces lieux. Pourquoi elle te fait de l’effet ? glissa-t-elle en riant ?

      - On peut dire ça…

Je peinais à me maintenir dans le monde réel, à tout moment je risquais de sombrer définitivement dans les rouages de ma créativité qui tournaient à plein régime. En tenant un tel discours, cette vieille dame avait résolu mon problème, elle avait trouvé un sujet sur lequel j’avais assez de matière pour écrire un roman cohérent. J’allais écrire sur nous, sur nos années de lycéen, sur la meilleure période de notre vie selon les dires de mon père.

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Louison-
Posté le 21/02/2021
Salut salut !

Agréable de retrouver Luc et ses petits tracas quotidiens ;) nouveau lieu aussi ! et nouveaux personnages, qui d'emblée sont bien caractérisés et ont du caractère. Bon point donc ! Et de nouveau: j'aime l'épaisseur des dialogues, on est loin des dialogues inutiles de type : bonjour-un-café-ça-fera-4-euros-s'il-vous-plaît. Et ensuite: j'aime la vulnérabilité de Luc, le fait qu'il ne soit pas trop sociable et qu'à l'idée de se retrouver à l'accueil, il se sente peu confiant. Ca le rend attachant !

Juste petit conseil : j'ai vu passer qql petites coquilles au niveau de l'orthographe, rien de bien méchant et bien sûr c'est tout à fait normal de laisser passer qql petites fautes mais j'ai remarqué c'est souvent au niveau de l'accord. Essaie peut-être de bien te concentrer sur ça :)
Comme:
-Comment cetTE idée était arrivéE à l’esprit d’un mec aussi allergique au changements
-Le mail qu’ils m’avaient envoyé me disait que je pouvais passer à la bibliothèque l’après-midi même afin qu’ils me présentent mon lieu de travail* (pas de s à travail)
-Madame Ciréna ? C’est une habituéE (pas sûre mais d'instinct je mettrais E)
-Gêné* (pas de e), je l’avais supportéE durant de (trop) longues minutes mais une fois que tous ses livres furent scannés* (pas ées) je n’en pouvais plus.

J'en ai vu d'autres aussi il me semble, mais je ne les retrouve pas. Si jamais il existe des logiciels gratuits qui corrigent les fautes d'orthographe, comme scribens (celui que j'utilisais un temps mais je sais que y'en a d'autres), et souvent je passais mes textes dedans , ça repérait mes fautes, et comme ça j'ai remarqué qu'à force j'ai fait des progrès en orthographe, puisqu'au final c'était tjrs les mêmes fautes et qu'après j'étais à même de les repérer toute seule ^^
PtiLu
Posté le 23/02/2021
Merci pour ton oeil aguerri et tes conseils ! J'ai beaucoup de progrès à faire en orthographe '^^. Je recherchais justement un site comme celui que tu me décris, merci beaucoup !
Shangaï
Posté le 30/04/2020
Bonjour !
L'histoire suit sont coure et semble cohérente. On reste dans un milieu très littéraire avec la bibliothèque ce qui est à la fois logique et en même temps cela ne fait pas sortir Luc des chantiers battu ce qui est peut-être un peu dommage (même si il se retrouve à l'accueil et n'aime pas beaucoup ça...) !
J'ai bien aimé l'ambiance, tu retranscrit bien ce que l'on peut ressentir dans un lieu comme celui-ci et j'ai aussi aimé cette rencontre étonnante avec la vieille femme :)
Je suis aussi intrigué par ce que lui dise ses deux femmes, cette chose qu'il a dans le regard... J'espère en apprendre plus à ce sujet car à première vue Luc semble être un garçon normal bien qu'un peu marginal :)

Je pense que le passage entre parenthèse est de trop, au vue de ce qui a été dit avant on sait déjà qu'un été à jouer aux jeux vidéos ne lui aurait pas déplu -> "je le faisais à mes douze ans (bien qu’en réalité ça ne m’aurait pas forcément déplu)"

A bientôt pour la suite :)
PtiLu
Posté le 30/04/2020
Hey !
J'ai eu aussi l'impression de tourner toujours dans le même domaine mais je lui voyais mal lui donner un autre job. Cependant ne t'en fais pas je vais essayer de ne pas tomber dans la routine xD
Les évolutions de Luc seront plus détaillées par la suite, j'aime bien le faire "par petite touche"
Je modifierais le passage là, merci de me l'avoir fait remarquer et un plus grand merci encore de me lire et me conseiller ça m'aide beaucoup ^^
Shangaï
Posté le 30/04/2020
On est la pour ça :)
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