Blancheur spectrale du Lacrimosa
Poussé dans cette cathédrale à ciel ouvert
Des montagnes
Brouillard pâle au-dessus de l’aube neigeuse
Foule blanche amassée derrière un cercueil
Laqué d’ivoire
Linceul mortuaire sur la peau laiteuse
Opales irisées dans l’écrin de ses yeux
Révulsés
Triste et vagabonde âme en peine
Vêtue de l’habit blanc de ton cœur
Où il a craché
Oups, comme pour l'obsidienne j'ai pas très bien compris non plus ? Je suppose que c'est une métaphore d'enterrement ? C'est pas une critique parce que ça a l'air fait exprès mais ce poème m'a fait un effet très "berk". Pour dire qu'Agathe ne peut pas trouver de repos "pur" même dans la mort après ce qui lui est arrivé ? Après c'est peut-être l'image qui me parle pas trop ?
J'avais la référence du poème de Baudelaire (j'ai trouvé sur internet en cherchant les mots latins, effectivement) mais je ne crois pas que je comprenne mieux avec cette explication.
Moi ça me donne l'impression que comme elle est sale maintenant elle ne pourra pas aller au paradis, je comprends bien que c'est pas ce que tu as voulu dire mais j'arrive pas à voir une interprétation plus "propre". Je te livre mon ressenti à l'instant T, peut-être aussi que je bloque sur un mauvais détail... hein !