— Reine ! Mon fils est en panique. En panique !
— Que se passe-t-il, Désirée ?
— De ce que j’ai compris, il y a des tables qui n’ont pas eu leurs cocktails, ni leurs plats alors que Pierre-Noël s’apprête à lancer les desserts. Jean-Baptiste peine à le raisonner. Il ne sait plus quoi faire…
— Pouvons-nous faire quelque chose pour aider ?
— C’est, mot pour mot, la question que je lui ai posée.
— Et ?
— Il a besoin de renfort au service. L’absence d’Alexis se fait sentir.
— C’est quand même un grand mystère, sa disparition…
— Un grand mystère qui met mon mari et mon fils dans l’embarras.
— Désirée ! Pensez-vous que nous pouvons leur venir en aide ?
— C’est, mot pour mot, ce que j’ai proposé à Jean-Baptiste.
— Et ?
— Il est d’accord, si nous parvenons à nous faufiler discrètement pour nous mettre en tenue.
— Cela ne posera aucun problème. La discrétion, c’est tout moi. Je ferai tout pour vous, les Cesbon. Vous êtes une famille que j’apprécie.
— Jean-Baptiste vous en sera éternellement reconnaissant, Reine. Il vous apprécie beaucoup. C’est bien pour cette raison qu’il vous a choisie comme témoin à son mariage.
— Vivement que cette Broccoli Party se termine ! J’ai hâte de nous voir reprendre joyeusement les préparatifs du mariage.
— Allez ! Enfilons nos tenues et sauvons le service de cette soirée.
— Vous pensez que Pierre-Noël est d’accord avec tout cela ?
— Aucune importance. Nous aviserons plus tard. Le plus urgent, maintenant, c’est de sauver le restaurant.
Ca met un peu de suspens tout ça, je continu
En avant pour le grand bal du brocoli, que tout ceci finisse en liesse générale ou en grande boucherie (et ce n'était pas gagné vu la thématique légumière)
Tes retours sont trop cool, c'est mot pour mot ce que je pense, moi aussi. Merci, Plume de Poney !