La lumière céleste
Que les dieux d’un geste
Ont pu créer
Va rester
C’est la lune
Qui brille sans cesse
Et qui décrite par les runes
Eloigne ceux qui nous blessent
Mais voilà qu’elle disparait
Oui dans le ciel elle s’efface
Pour finalement laisser place
Au noir complet
Sa lumière n’est plus là
Elle s’est envolée
Et plus rien on n’y voit
Dans cette sombre éternité.
Là, j'ai un problème avec le deuxième couplet. Je ne comprends pas le "détruit ceux qui nous blesse".
Le reste du poème est cohérent. La lune donné par les dieux. Quand elle disparaît, elle nous laisse dans le noir, seul et dépourvu. J'aime bien. Mais je suis gêné par le vers que j'ai cité.
(Éloigne plutôt que détruire? Éloigne les ombres? Je trouverais ça plus cohérent, mais dans ce cas il faut changer les autres vers)