Un livre ouvert.
Il pose sa main contre la sienne. Main d’ambre et de douceur contre main d’ocre et d’amertume. Les pores de leurs peaux s’emboitent. Complémentaires. Insatiables.
Un livre ouvert. Une page déchirée.
Il pose son front contre le sien. Visage dense et égaré contre visage fin et décidé. Douleur perdue. Tout s’envole, autour d’eux. Brouillard blanc. Plus rien. Juste un mot. Pardon.
Un livre ouvert. Une page déchirée. Un passé oublié.
Il plonge ses yeux dans les siens. Pupilles de lueurs et d’étonnement dans pupilles d’encre et d’horizons. Respirations entremêlées. Temps effacés.
Tends-moi la main.
J’adore celui-là, il est vraiment trop beau ! Je trouve que le rythme est particulièrement entraînant !
Au fil de la lecture :
« Complémentaires. Insatiables. » —> Je trouve que c’est une bonne définition de l’amour (pas forcément le sentiment amoureux). Ces deux mots sont vraiment trop parfaits.^^
« Visage dense et égaré contre visage fin et décidé. » —> C’est trop beau !^^
« Un livre ouvert. Une page déchirée. Un passé oublié. » —> J’aime bien la phrase qui se construit petit à petit. C’est comme un puzzle, c’est satisfaisant.
« Pupilles de lueurs et d’étonnement dans pupilles d’encre et d’horizons. » —> Trooop beaaauuu !^^
« Tends-moi la main. » —> Cette fin est trop parfaite. En fait, ton poème entier est trop parfait.^^
Voilà, du coup, je suis désolé, je n’ai aucune correction à faire.^^
A bientôt !
Merci beaucoup, c'est vraiment un commentaire encourageant !^^
Moi aussi je l'aime bien celui-ci hihi ;))
“Voilà, du coup, je suis désolé, je n’ai aucune correction à faire.^^”
>> Haha mais je suis honorée^^
Merci encore !
À tout vite ! :))