J’ai dans le creux du ventre des Fois maçonniques,
Et les pourtours iniques des yeux du Malin
Dans mes mains convulsées qui ont cendré le pain
Et ont pétri le sang des alcôves bachiques.
Les aigreurs élevées sur mon crâne en capuche
Canonisent des nonchalances alchimiques
Absoutes par cet œil ivre et abrahamique
Qui vicie sans remords les bibles dans les Cruches ;
Des songes lactescents remplissent les fumoirs
De ces tavernes sombres rentamant les muches
Pour les vues vitreuses de ces gueules de bûche
Qui sortent de la nuit pour y retourner boire
A l’ombre souveraine des peurs Alcooliques ;
Moi ! Pour quelque Colique insupportable et noire
Où descendent les cahots heurtés d’une Moire
Offerte aux Visitations catatoniques,
J’irai, par Zanzibar ou Babylone chue,
Dans de ces éclairages d’adieux électriques
Et fendu d’éclairs larges, crevant une chique
J’ourdirai la splendeur des cabales fourchues !
Pour ma part, j'apprécie le style. c'est excellent!