Quand me flatte la douce brise du vent
Cheminant au courant du temps
Quand une latte du pont d’antan
Se rebâtit aux champs d’en avant
Quand les torrents des nuages envahissants
Signent défaite à Son chant pressant
Quand le monde s’en va, se hissant
À la cime des arbres du renouvellement
Quand j’élabore la vie en métaphore
Quand je dors pour grandir près de la mort
Quand j’avance à l’élan du Divin
Quand je lance l’aimant du Vain
Quand enfin je comprends
Que le destin se méprend
Quand enfin le changement
Est ma fin jusqu’au firmament
Bravo, je suis intéressée de lire les autres poèmes! Petit mais parfait, bonne continuation et bonne plume.