Sa conscience se délitait au rythme de sa course. Le sang battait ses tempes, écho incessant qui martelait l’intérieur de son crâne. Le son de sa respiration saccadée se répercutait contre les murs en pierre blanchâtre des maisons à colombages. Il refusait pourtant de s’arrêter, ne songeait pas même à ralentir, malgré la brûlure de ses poumons et de ses muscles en feu qui lui faisait regretter chaque mètre parcouru. Malgré l’épuisement et la douleur qui meurtrissaient son corps et menaçaient de briser sa volonté à chaque seconde écoulée.
S’ils te rattrapent, tu mourras, chuchota une petite voix dans son esprit. Prisonnier, enchaîné…
L’obscurité de la nuit dévorait tout sur son passage, avalait son ombre et les couleurs ternes des vieilles bâtisses. Des flocons flottaient autour de lui et fouettaient son visage. Ses pieds nus frappaient les pavés givrés avec affolement. Il bifurqua dans une ruelle sombre sans même essayer d’atténuer le son de ses pas. Ses poursuivants étaient si proches…
Ils n’avaient pas mis longtemps à se jeter à ses trousses comme une meute de chiens enragés. Il entendait l’écho de leur course, des quelques paroles qu’ils échangeaient. Sa vue se troubla, mais il eut beau battre des cils, il ne parvint pas à repousser le voile qui recouvrait ses iris.
Tiens bon…
Sa cheville brisée se déroba sous son poids, et il s’effondra avec une plainte étouffée. Ses paumes et ses genoux amortirent à peine le choc, ripèrent sur le givre. Le froid mordant s’insinua aussitôt sous ses vêtements en lambeaux. Son poing frappa le sol avec rage. Son corps le trahissait de la pire manière possible…
Il était trop faible…
Trop faible pour se relever, trop faible pour fuir.
Il refusait d’être de nouveau emprisonné là-bas…
Il refusait de… de…
— C’est fini, Altesse.
Il tressaillit.
Trop tard.
L’ombre du mercenaire s’étendait sur les pavés, les autres ne devaient pas être loin… Il se retourna avec maladresse pour lui faire face. Dans l’obscurité, il devinait plus qu’il ne voyait les lignes rudes de son visage couturé de cicatrices, mais il savait que les brumes de l’alcool avaient quitté son regard. L’éclat lactescent de Vitra et Blár, les deux lunes qui veillaient la nuit sur le royaume d’Issheimr, se reflétait sur l’épée pendue à son épaisse ceinture de cuir, tandis que quelques flocons s’accrochaient à la fourrure de sa cape.
— Ne t’approche pas !
Sa voix tremblait, vrillait dans les aigus, affutée par la peur. Le mercenaire éclata de rire, puis il fit un pas menaçant dans sa direction. Une expression goguenarde tordait ses traits.
— Allons… Nous savons tous les deux que tu es inoffensif…
Le mercenaire tendit une main vers lui. Il eut un brusque mouvement de recul, leva son bras dans un geste de défense dérisoire.
Il se sentait si vulnérable…
Un frisson remonta le long de son dos.
Une force qu’il avait crue perdue pour toujours.
Une puissante vague de magie brute et éthérée traversa ses veines, s’échappa de ses doigts et s’écrasa contre le mercenaire, qui recula de plusieurs pas malgré le bouclier sommaire qu’il avait dressé. Son air narquois disparut à l’instant où la barrière transparente se fissura et vola en éclats, tandis que l’air autour d’eux se distordait pendant une fraction de seconde. Le fugitif écarquilla les yeux.
— Sale petite enflure !
Il n’eut pas le temps de reculer davantage ; un poing invisible le percuta de plein fouet et le projeta contre le mur de la ruelle. Son hurlement résonna longuement, repris par des dizaines d’échos qui se perdirent dans les rues avoisinantes. La douleur se diffusa dans son dos, dans son crâne, dans la moindre de ses terminaisons nerveuses.
Il n’y avait plus que cela.
La douleur.
Uniquement la douleur.
Insupportable.
Elle le paralysait, l’assourdissait, le faisait suffoquer.
— Je ne donne pas cher de ta peau lorsque tu seras de retour là-bas !
Il entendit à peine le mercenaire s’approcher.
— Plutôt mourir, souffla-t-il.
Des gouttes de sang s’écrasèrent sur les pavés et teintèrent le givre de rouge carmin.
— Il ne le permettra pas.
Dans un élan désespéré, le fugitif leva un bras tremblant, mais cette fois il ne se passa rien.
Pas la moindre étincelle de magie.
Redevenue aussi silencieuse qu’au cours des derniers mois.
— Toujours prêt à te révolter ? le nargua le mercenaire.
Le fugitif lui jeta un regard brûlant de haine, puis la haine céda place à la peur lorsque l’homme fit un nouveau pas dans sa direction.
— Ne t’approche pas !
Son cri lui déchira la gorge lorsque la magie du mercenaire le plaqua contre le mur. La vieille pierre se fissura et un filet écarlate roula sur son menton. Si son corps ne le lâchait pas en premier, la douleur le tuerait.
Je…
Il s’effondra au sol, l’esprit fuyant. La mort ne lui paraissait plus aussi effrayante. Sans doute était-elle préférable même. Tout plutôt que retomber entre ses mains.
***
Alexander avançait avec empressement, silhouette solitaire dans le rue déserte. La lumière des astres nocturnes éclairait de manière diffuse les maisons blanches soutenues par d’épaisses poutres brunes et les pavés luisants. Le givre crissait sous ses pas. Sa mission s’était éternisée, raison pour laquelle il rentrait aussi tardivement, alors que la nuit avait englouti la ville depuis bien longtemps. Des brigands et des intempéries sur la route avaient ralenti le convoi de marchandises royales qu’Alexander avait reçu pour ordres de protéger.
Une brise glacée agita ses cheveux blonds autour de son visage, lui arrachant un frisson. Il rabattit sur sa nuque le col en fourrure de sa cape. Si l’hiver s’apprêtait à céder sa place au printemps, les températures restaient bien trop basses à son goût. Les neiges s’évaporaient autour d’Issarta, la capitale du royaume, mais persisteraient encore de longues semaines dans le Nord. Des flocons virevoltaient autour de lui, cinglaient parfois son visage. Certains affirmaient qu’il s’agissait de l’esprit des personnes décédées durant la saison froide.
Sa magie picota le bout de ses doigts gantés, aiguisant son attention.
Une seconde passa.
Deux…
Un cri déchira l’air.
Il s’arrêta brusquement, les sens aux aguets, tandis qu’un silence neigeux s’étirait de nouveau autour de lui. Jusque-là, il avait cru les rues désertes.
Il inspira lentement, écoutant ce que lui soufflait ses sens. Sa magie s’agitait désormais en lui comme une vague tumultueuse et crépitait sur sa peau. Quelqu’un était-il en danger ? Il n’hésita qu’un instant avant de prendre la direction de la ville basse, d’où semblaient provenir les échos. Rapidement, il se mit à courir, laissant dans son sillage une traînée de buée.
Il tressaillit lorsqu’un nouveau hurlement retentit.
Cette fois, le cri envahit l’espace de manière prolongée. Alexander bifurqua dans une ruelle, et vit une ombre vêtue d’une cuirasse noire se mouvoir à quelques mètres de lui. Son expérience l’incita aussitôt à se méfier de la coïncidence. Un instant plus tard, Alexander formait un bouclier à la surface diamantée sur lequel ricochait le sort qui aurait dû le toucher.
Sa mâchoire se crispa. L’homme l’avait probablement entendu approcher et voulait se débarrasser du potentiel gêneur. Cela avait-il un rapport avec les cris qu’il avait entendu ? Ses réflexes reprirent aussitôt le dessus ; une lumière éclata entre ses doigts, s’étira en une lance de lumière éthérée et fusa vers la silhouette pour heurter son torse de plein fouet. L’homme s’écrasa à terre, inconscient. Il n’avait sans doute pas anticipé une riposte si rapide.
Alexander haleta, le souffle irrégulier. La fatigue accumulée au cours des derniers jours, sa course folle et l’énergie brûlée pour un sort aussi offensif lui coûtaient plus qu’il ne l’aurait pensé. Son pouvoir consistait peut-être à donner forme aux particules de magie qui imprégnaient l’air, mais il avait toujours été bien meilleur pour former des boucliers que des armes immatérielles. Il n’eut cependant pas le temps de se ressaisir ; un homme surgit près du corps étendu sur le sol, attiré par le bruit de l’attaque.
Le nouveau venu ne mit qu’une fraction de seconde à repérer Alexander. Avec une réactivité surprenante, il agrippa l’arbalète attachée dans son dos et tira. Le carreau frôla Alexander, déchira sa cape au niveau de l’épaule tandis qu’il faisait un bond sur le côté.
Danger, souffla une voix dans son esprit.
— Ordure !
Concentré sur l’arbalète, Alexander ne vit que trop tard la seconde menace. Un poids le percuta de plein fouet et le plaqua contre le mur blanchâtre zébré de bois brun. Sa tête heurta la pierre froide, le laissant sonné une poignée de secondes. Sa magie s’affola dans ses veines, crépita au bout de ses doigts ; on l’avait formé pour affronter ce genre de situation. Il agrippa la dague dissimulée sous sa cape en laine et la planta dans la cuisse de son agresseur. L’homme le lâcha avec un cri, et Alexander le repoussa d’un coup de pied. Il tendit une main devant lui, et sa magie fusa comme un coup de poing invisible pour l’assommer.
Une perle de sueur dévala sa tempe.
Un nouveau carreau frôla sa joue. Alexander leva une main devant lui pour former un bouclier à l’instant où l’arbalétrier s’apprêtait à en décocher une troisième. Le trait ricocha dessus et tomba sur les pavés avec un tintement. La surface iridescente du bouclier parut alors se tordre pour revêtir la forme d’un javelot. Alexander claqua des doigts, et l’arme improvisée fondit sur l’homme pour l’épingler au mur. Une seconde vague de magie acheva de l’envoyer rejoindre son complice sur les rivages de l’inconscience.
Alexander expira brusquement l’air emprisonné dans ses poumons, les sourcils froncés. Sa poitrine se soulevait un peu trop vite, le froid lui brûlait la gorge. Il frotta ses gants en cuir tanné l’un contre l’autre. Que voulaient ces hommes ? Ou, plus vraisemblablement, qui ? Il avait eu l’avantage de la surprise en les affrontant, mais il devinait que dans d’autres circonstances, il ne s’en serait pas débarrassé aussi rapidement. Il ne s’agissait pas de soldats pourtant, des mercenaires peut-être ? Ou de simples brigands ?
Un gémissement étouffé résonna non loin.
Alexander reprit sa course sans la moindre hésitation, bifurqua dans un passage étroit aux bâtiments irréguliers, s’engouffra dans une ruelle sombre, le cœur battant à tout rompre. Il manqua de glisser sur le givre dans sa précipitation. Ce qu’il découvrit quelques pas plus loin le cloua sur place. Un jeune homme gisait à terre, surplombé par ce qu’Alexander supposa être un mercenaire – ses agresseurs étaient trop bien armé pour n’être que des malfrats, trop organisés également.
Son sang ne fit qu’un tour ; la lumière jaillit de nouveau entre ses doigts et percuta l’homme de plein fouet avant même que celui-ci ne puisse se retourner. Alexander serra les dents avec colère, s’élança sans lui laisser le temps de riposter ; un poing immatériel le heurta violemment. Un craquement sourd retentit, et le mercenaire ne bougea plus. Alexander accourut auprès du jeune homme.
Appuyé contre le mur, la tête baissée, celui-ci semblait à peine conscient. Des mèches sombres et désordonnées dissimulaient son regard, mais ses vêtements déchirés laissaient entrevoir les marques qui ravageaient sa peau claire. Alexander tendit une main dans sa direction, la gorge nouée.
La réaction ne se fit pas attendre ; le jeune homme esquissa un violent mouvement de recul. Un gémissement de douleur lui échappa, tandis qu’il se recroquevillait contre le mur, semblable à une bête traquée. Alexander sentit son cœur se serrer, et il comprit ce que sa magie crépitante savait déjà : il ne serait pas capable d’abandonner cet inconnu à ses blessures et au froid de l’hiver.
— Je ne te veux aucun mal, affirma-t-il à voix basse.
Ses mots avaient-ils seulement le pouvoir de l’atteindre ? Le jeune homme releva la tête, et Alexander se retrouva happé par deux orbes bleu pâle, au fond desquels il ne discernait qu’un vide béant. Un abîme de souffrance. Le sang et la poussière maculaient son visage, mais quelque chose dans ses traits lui paraissait étrangement familier. Alexander hésita un instant. Un tourbillon de questions envahissait son esprit.
— Je peux t’emmener là où tu seras soigné.
Une lueur de panique traversa les prunelles bleues.
— Non ! murmura le jeune homme. Je t’en supplie…
Sa voix était grave, rauque, comme s’il n’avait pas parlé depuis une éternité. Alexander déglutit. Sans aide, l’inconnu ne passerait pas la nuit. Pourtant… La mort lui paraissait préférable à la moindre forme de soins. À moins que le problème ne soit tout autre ? Qu’avait-il donc vécu pour en arriver là ? Ses mots jaillirent de sa bouche avant même qu’il n’y réfléchisse :
— Viens chez-moi, tu y seras en sécurité.
L’hésitation se refléta sur le visage du jeune homme, à peine éclairé par la faible lueur des deux lunes.
— Au moins pour la nuit, insista Alexander.
Les questions trouveraient leurs réponses plus tard. Pour l’instant, il devait s’assurer que l’inconnu survive, lui offrir un refuge et soigner ses blessures. À son grand soulagement, il le vit baisser les armes, sans doute brisé par la douleur, l’épuisement et le froid. Il se releva et lui tendit la main, mais le jeune homme l’ignora. Celui-ci prit laborieusement appui sur le mur pour se redresser… et s’effondra, trop faible pour supporter l’effort. Seuls les réflexes d’Alexander l’empêchèrent de heurter le sol. Le jeune homme s’agrippa à l’épaisse cape de son vis-à-vis, tandis que celui-ci posait une main dans son dos pour le maintenir debout. Alexander retira brusquement sa main lorsqu’il sentit un liquide chaud et poisseux couler sur sa peau.
Du sang maculait ses doigts.
— Est-ce que tu peux marcher ? demanda Alexander d’une voix qu’il espérait maîtrisée.
Le jeune homme secoua lentement la tête. Sans un mot, Alexander le souleva dans ses bras.
***
Alexander habitait une petite chambre dans une maison construite sur plusieurs étages, soutenue par de larges poutres en bois de conifère, qui appartenait à la royauté. Il s’y rendait en réalité assez peu – étant souvent sur les routes dans le cadre des missions qu’il devait effectuer –, mais il était heureux d’avoir un pied à terre dans la ville, aussi dépouillé soit-il. Notamment quand il obtenait des permissions de quelques jours. Il poussa la porte avec soulagement, son précieux fardeau serré contre lui. Grâce à l’heure tardive, il n’avait croisé que deux ou trois ivrognes sur son chemin, qui l’avaient sans doute déjà oublié.
Il fit un geste de la main pour allumer les chandelles déposées çà et là. Son regard coula vers l’un des coins de la pièce, où se trouvait un lit au matelas couvert d’une lourde fourrure. Il hésita un instant, puis se dirigea plutôt vers la bassine en cuivre dans laquelle il déposa le jeune homme, qui avait sombré dans l’inconscience depuis longtemps. Un broc d’eau, un pain de savon et une serviette rêche reposaient sur un tabouret en bois. Comme pour les chandelles, il esquissa un mouvement vers la cheminée pour enflammer les bûches – comme nombre de personnes, il pouvait créer des étincelles, mais cela n’avait rien à voir avec la puissance des magies élémentaires de jadis, qui permettaient selon les légendes de former des torrents de flammes, des tempêtes ou des vagues immenses. La chaleur des flammes repoussa le froid insidieux qui s’infiltrait dans la chambre. Alexander n’en demandait pas davantage ; sa propre magie lui convenait à la perfection.
Il ôta sa cape en laine et la déposa sur l’une des deux chaises en bois installées près d’une table. Il adressa une prière silencieuse à la statuette qui trônait dessus ; une femme habillée de fleurs, pour représenter Vár, la forme printanière de la Magie. Il revint vers le fugitif, qui ne réagit pas lorsque Alexander dégaina un petit poignard. Prenant garde à ne pas le blesser davantage, il entreprit de découper les vêtements en lambeaux.
Il frémit quand il parvint enfin à retirer la tunique collée par le sang séché. Le corps du jeune homme n’était plus qu’un champ de ruines. Pas une parcelle de sa peau n’avait été épargnée par les coups et un fouet semblait l’avoir déchirée à de nombreuses reprises, en particulier dans le dos. Des marques sur ses poignets écorchés présageaient qu’il avait été enchaîné un long moment. Une brûlure, sans doute ancienne, traversait son ventre de part en part.
Une bouffée de colère envahit Alexander.
Rapidement, le pantalon en lin et le sous-vêtement déchiré subirent le même sort que le haut, laissant le corps du jeune homme complètement dénudé. Les marques s’étendaient sur ses jambes, et les chevilles arboraient des traces similaires à celles sur ses poignets. Alexander pinça les lèvres d’un air soucieux. L’une d’entre elles avait un angle étrange. Cassée sans doute, mais comment avait-il pu se déplacer dans cet état ? Sa magie l’avait-elle aidé à fuir ? Ou était-ce plutôt la preuve d’une détermination inébranlable ? Il devinait également que certaines côtes étaient brisées, au vu de la respiration sifflante de l’inconnu.
Alexander esquissa un geste pour remplir la bassine d’eau, veillant à ce qu’elle ne soit ni trop chaude ni trop froide, et entreprit de laver le jeune homme. Bientôt, l’eau se teinta de rouge, résultat du sang et de la crasse qui quittaient le corps abîmé. Enfin, il passa avec bienveillance un tissu humide sur le visage qui semblait avoir été davantage épargné, si ce n’était la lèvre fendue, la mâchoire bleuie et l’arcade sourcilière ensanglantée.
Une étrange impression enserra sa poitrine. Ce visage…
Il le connaissait.
Il écarta une mèche sombre qui avait glissé sur son front. Ce n’était pas possible… Et pourtant, il ne pouvait plus avoir de doutes.
Ressaisis-toi, souffla une voix dans son esprit. Tu dois le soigner. Ou il ne survivra pas.
Il enveloppa le jeune homme dans la serviette, avant de le soulever avec précaution. Il le porta jusqu’au lit et l’étendit sur la fourrure avec délicatesse. Une lumière blanche naquit entre ses mains. Alexander était loin d’être spécialisé dans la magie des soins. Il avait quelques bases bien sûr, mais pas suffisamment pour traiter toutes les blessures du jeune homme. Il s’employa donc à guérir les plaies apparentes et les ecchymoses, conscient qu’il n’avait pas le pouvoir de déceler des lésions internes. Il acheva son oeuvre en récupérant quelques bandages dans un large coffre appuyé contre le mur à côté du lit, où il rangeait ses vêtements et ses quelques effets personnels, pour panser les blessures à vif dans l’espoir qu’elles ne s’aggravent pas.
Lorsqu’il eut fini, il s’assit au bord du lit, submergé par la fatigue. Il ne pourrait rien faire de plus cette nuit. Ses iris céladon glissèrent jusqu’au visage du jeune homme. Son sommeil ne devait pas être tendre s’il se fiait à son expression agitée. L’une de ses mèches glissa sur son front lorsqu’il bougea. Ses cheveux noir de jais rebelles créaient un contraste saisissant avec sa peau diaphane. Ses traits délicats, son nez droit et ses yeux légèrement en amande avaient quelque chose de fascinant, qui attiraient inéluctablement le regard d’Alexander.
Il se remémora les iris d’un bleu aussi pâle que le givre.
Ces yeux… Ce visage…
Qui le hantaient depuis deux ans.
Depuis le régicide.
La tragédie qui avait frappé le royaume d’Issheimr.
Leur souverain avait été assassiné par un prince de sang royal : Altaïs, son neveu. Mais le jugement n’avait jamais eu lieu. Accusé de meurtre malgré son jeune âge, Altaïs avait disparu. L’armée avait fouillé Issheimr de fond en comble, mais n’était jamais parvenue à le retrouver. Il semblait s’être volatilisé, raison pour laquelle on le soupçonnait de s’être réfugié au-delà des frontières.
Mais s’il avait toujours gardé ses doutes pour lui, Alexander n’avait jamais été convaincu qu’Altaïs soit coupable.
Et voilà qu’il le découvrait pourchassé et gravement blessé.
Waouh, je suis complètement fan ! Ton histoire est passionnante et hyper bien menée, le style est clair et fluide, j'aime beaucoup ! Ces différentes magies évoquées m'intriguent, j'ai très envie d'en apprendre plus. Et hop, dans la PAL !
Allez je vais lire la suite !
Ton premier chapitre directement dans l'action est hyper bien mené, j'suis impressionnée !
Je ne m'attendais pas en flânant sur les livres à tomber sur un style aussi précis. Je le mets tout de suite dans ma pile !
Je suis désolée pour le temps de réponse, j'ai dû m'éloigner un peu de PA :(
Oh merci beaucoup, tes compliments sur mon écriture me font super plaisir ! C'est vraiment adorable <3
Merci pour ton retour !
Ce premier chapitre est très captivant, j'aime beaucoup le fait d'être direct dans l'action tout en étant informée au fur et à mesure.
Le style au niveau de l'écriture est vraiment appréciable, j'ai lu jusqu'à maintenant peu d'histoires avec ce style ; je trouve que ça en fait une force ce qui permet également une reconnaissance de l'auteur / autrice :)
Je suis désolée pour le temps de réponse, j'ai dû m'éloigner un peu de PA :( Ton commentaire me fait très plaisir, ça me semblait plus intéressant pour cette histoire de commencer directement dans l'action pour rendre le début plus percutant ! Tes compliments sur mon écriture me font chaud au coeur :)
Merci pour ton retour !
J’aime bien les histoires qui commencent fort, directement dans l’action. Pas de blabla inutile. On te suit dans la découverte des personnages et de ton univers. J’aime beaucoup.
Propositions de correction :
silhouette solitaire dans le rue déserte → la rue
ses agresseurs étaient trop bien armé pour n’être que des malfrats, trop organisés également. → armés
Pardonne-moi le temps que j'ai mis pour te répondre, j'ai fait une petite pause loin de Plume d'Argent après la fin de la publication !
Je suis ravie que ce premier chapitre te plaise, j'aime beaucoup ancrer mes récits directement dans l'action !
Merci pour les coquilles :)
Je viens de débarquer sur Plume d'Argent, et j'ai mis quelques histoires à lire (dont la tienne !) dans ma PAL.
Eh bé, je regrette pas ce choix !
A la base, je suis quelqu'un qui lisait énormément, mais depuis plusieurs années, j'ai un peu perdu l'habitude de prendre le temps de tout simplement me poser pour bouquiner simplement.
Du coup, je suis contente d'être tombée sur ce récit qui m'a bien appâté et j'ai hâte de lire la suite (ce que je vais faire dès que j'aurais fini de raconter ma vie pas intéressante XD)
J'ai tellement de la peine pour le personnage, arriver à courir avec une cheville brisée, ayayaya...j'ai mal rien qu'à y penser ! brrr !
Sur ce, je vais m'empresser de continuer ma lecture !
Bienvenue sur Plume d'Argent du coup :p Je vois tout à fait ce que tu veux dire, j'ai moi aussi du mal à me poser et à prendre le temps de lire ^^'
Ravie que ce début te plaise en tout cas, j'espère que la suite te plaira (et t'aidera à te poser du coup xD)(j'aime bien quand les gens racontent leur vie en com, pas de soucis xD)
Oui, comme quoi le désespoir ça permet vraiment de surpasser certaines choses ^^'
Merci pour ton commentaire :D
Je suis ravie que mon style te plaise, ça me fait très plaisir ! J'espère que l'histoire te plaira tout autant ;)
Tu as un beau style d'écriture. C'est fluide et tu arrives à nous bercer avec tes mots. Les prémices de l'histoire sont intéressantes. Continue le gros travail et et n'abandonne pas! Les rêves doivent survivre! Intrigué de découvrir la suite!
Merci pour tes compliments, ça me fait très plaisir ! J'espère que tu apprécieras la suite !
Ça fait un moment que j'avais mis ton histoire dans ma pile à lire, mais je n'avais pas trouvé le temps de m'y mettre. C'est maintenant chose faite et j'en suis bien contente :D
Pour moi pour l'instant, ton chapitre rassemble à peu près tout ce qui me plait dans ce genre et j'ai hâte de découvrir la suite :) Au vu du titre, pas beaucoup de surprise en lisant ce début, mais ce n'est pas nécessairement un mal, parce qu'il m'est arrivé de lire des premiers chapitres en me disant "mais ? je me sens floué ! le titre m'a pas vendu ça du tout !"
Une petite typo peut être à " qu’Alexander avait reçu pour ordres", pour moi "ordres" serait plutôt à garder au singulier...
Bonne continuation et à bientôt !
Je suis ravie que ce début t'ait plu ! Haha oui, pas de grosse surprise sur l'identité du prince, j'aurais eu bien du mal à faire un résumé (et le titre coulait de source) sans l'évoquer xD
Bien vu pour la coquille ^^
Merci pour ton retour :D
Eh bien, eh bien, quel commencement riche et bien amené ! Je ne suis en principe pas friand de récits sur fond de querelles intestines et/ou sur décor moyenâgeux (c'est pour l'instant l'image que j'ai du tien) mais à l'occasion, il m'arrive d'y céder. C'est rare que l'intérêt persiste car je finis par les trouver lourds et difficiles à suivre. Notamment, je trouve que la magie n'y est pas assez présente.
Pour l'instant ton récit à l'air de cocher toutes les cases, alors au chapitre suivant !
Petite coquille, en passant :
"Alexander avançait avec empressement, silhouette solitaire dans le rue déserte."
*la rue déserte.
Au plaisir,
A.W. Zephyrus.
Eh bien je suis ravie si ce premier chapitre t'a intéressé malgré tes goûts usuels sur ce genre. C'est effectivement un univers d'inspiration médiévale, mais tu verras que la magie est au coeur de ce royaume.
Mathilde
Je lis enfin ce premier chapitre !
L'ambiance et l'univers s'imposent très bien et très rapidement à nos esprits, je trouve. Les descriptions s'insèrent parfaitement entre les scènes d'action. On imagine déjà bien les personnages et l'univers. Et ce rythme haletant ne nous donne envie que d'une seule chose : continuer notre lecture !
Très très très hâte de lire la suite !
Trop contente de te voir par ici ^^
À la bonne heure, j'ai envie réussi à introduire l'univers xD J'espère que la suite te plaira également en tout cas !
Merci pour ton passage ;)
On peut dire que ce premier chapitre est violent ^^" On sent bien tout le désespoir de la personne qui fuit, le côté "Tout plutôt que d'y retourner", vraiment, il a pas dû passer de bons moments là où il était ^^" Suffit de voir son état à la fin quand Alexander s'occupe de lui. Soit ya vraiment un truc louche derrière cette histoire de régicide, soit la "Justice" a décidé de le torturer non stop depuis sans forcément le dire publiquement pour pas choquer les gens =o Mais bon, s'il a vraiment tué l'ancien roi, en vrai, est-ce que même le peuple serait pas d'accord qu'il mérite ça ?
J'ai beaucoup aimé le combat avec la magie, je trouvais ça clair, on comprenait bien ce qui se passait mais c'était rythme aussi, et j'ai beaucoup aimé le côté omniprésent de la magie, qui est genre une force toujours présente dans les gens et qui "communique ?" un peu avec eux. C'est presque un genre d'instinct là.
Début efficace pour moi ^^ Ca montre bien l'univers, c'est vivant, ça pose énormément de questions, bref, ça me donne vraiment envie d'aller lire la suite, donc un premier chapitre très efficace =D
Haha, comme tu as lu les chapitres suivants, tu sais que le côté violent de ce début reflète bien l'ambiance générale du roman x) Tes hypothèses sont intéressantes en tout cas ! On pourrait très bien le cacher au peuple pour éviter qu'il reçoive le soutien ou l'aide de certaines personnes cela dit ^^
Je suis ravie que tu aies ce ressenti avec la magie ! C'est vraiment une force qui fait partie de chacun, c'est comme une troisième partie qui viendrait rejoindre le duo corps-esprit !
Ça me fait très plaisir que tu trouves que ça introduit bien l'univers, c'était le gros point faible du chapitre à l'origine donc j'ai beaucoup retravaillé cet aspect ^^ Et puis que tu apprécies le chapitre dans son ensemble !
Merci pour ton retour !
Curieux lors de la lecture de ce premier chapitre, pas toujours fan des épisodes mêlant bataille ancestrale et les pouvoirs magiques mais, ce début me fait revenir sur mes positions. Très intéressé de lire la suite prochainement.
Je suis ravie que ce début t'incite à revenir sur tes positions ! Si je peux te rassurer, il y aura certes des scènes de combat avec de la magie, mais pas de scènes de bataille à grande échelle ;)
Merci pour ton retour :)
Tu le sais déjà puisque nous en avons parlé sur Discord, mais je suis très fan de ce premier chapitre. Il est haletant et donne vraiment envie de lire la suite. Je suis ravie de découvrir que je vais pouvoir le faire ici. J'ai hâte !
Oooh, ça me fait très plaisir que tu te sois laissée convaincre par Plume d’Argent ! Je te souhaite la bienvenue par ici :)
Et je suis ravie que ce premier chapitre te plaise, j’espère que la suite sera à la hauteur de tes attentes !
À bientôt :)
Quel premier chapitre captivant ^.^
ça donne envie d'en savoir plus, autant sur Alexander que sur ce pauvre bougre qui visiblement ne peut plus se fier à sa magie... et qui en a déjà bien bavé semble-t-il !
Ton système de magie m'intrigue énormément, et j'ai hâte d'en savoir plus à ce sujet :)
J'aime beaucoup ton style, on plonge directement dans l'histoire, tes deux narrateurs ont une voix différentes et j'adore ta manière de décrire, aussi bien les gens que les actions !
Je suis ravie que ce premier chapitre te plaise (et la suite parce que j'ai vu que tu avais enchaîné xD) ! Eh oui, Altaïs en a bien bavé (les scènes de torture tmtc)...
Ton commentaire me fait super plaisir ! Je réponds vite aux suivants !
J'ai beaucoup aimé ce premier chapitre, même si lire le résumé m'a effectivement empêché de me poser les mêmes questions que Alexander (du genre, qui est cet individu blessé?). Mais je sais qu'il faut bien un résumé pour attirer les lecteurs, et je comprends que tu aies dû dévoiler un bout de l'intrigue!
Sinon, j'ai bien aimé ton style. Je trouve notamment que la description des blessures de Altaïs est super. J'aime bien aussi la façon dont Alexander se rend compte de qui il vient de recueillir: graduellement, d'abord une impression, confirmée par les yeux du prince.
La seule chose qui me perturbe un peu est le fait que malgré sa cheville cassée, Altaïs ait réussi à s'enfuir... Ca me paraît vraiment être surhumain, d'être capable de marcher, et encore plus courir, sur une cheville brisée!
J'ai hâte de découvrir la suite, et surtout de voir comment leur relation va évoluer!
Je suis aussi très intriguée par leur magie: elle a l'air très puissante, pouvant projeter des gens au loin. Est-ce juste Alexander qui est puissant, ou est-ce une chose banale là-bas, comme d'allumer les bougies d'un coup de poignet?
Et je me demande ce qui est arrivé à Altaïs pendant ces deux ans, mais j'ai bien l'impression qu'il s'est fait torturer... par la famille royale?
:D
Je suis ravie que ce début te plaise ! Effectivement, le résumé spoile un peu ce premier chapitre, mais difficile de faire autrement malheureusement ^^'
Par rapport à la cheville d'Altaïs, il y a plusieurs choses sur lesquelles on reviendra à un moment ou à un autre, dont le fait que sa magie soutient inconsciemment son corps. On en apprendra plus sur les circonstances de sa fuite, donc je ne te dévoile rien de plus pour le moment ;) Mais tu notes que sa cheville a fini par lâcher malheureusement pour lui x)
Alexander est assez puissant, tu en apprendras rapidement plus sur lui aussi ! Ce n'est pas banal de pouvoir utiliser sa magie pour projet des gens (ou des objets) au loin, mais ce n'est pas rare non plus !
Merci pour ton retour :D
À bientôt !
J'ai adoré ce premier chapitre :D les scènes d'actions m'ont bien ancré dans l'histoire. Ton style d'écriture est très fluide, il m'a beaucoup accroché ! J'ai plutôt tendance à vite me lasser des histoires si elle ne m'accrochent pas dès le debut, mais on dirait que c'est plutôt bien parti. :DD J'ai hâte de découvrir la suite, je suis ravie d'avoir fourré mon nez par-ci par-là !
PS : Désolée si il y a des fautes d'orthographe, je n'ai pas l'habitude d'écrire de commentaires !
Je suis ravie que ce début te plaise, ça me fait très plaisir ! Oui je comprends tout à fait, j'ai du mal avec les débuts à rallonge aussi ^^
J'espère que la suite te plaira ! Et ne t'en fais pas pour les fautes, tout le monde en fait haha.
À bientôt :)
J'ai beaucoup apprécié ce premier chapitre ! J'aime beaucoup le fait que l'on commence par Altaïs mais que l'on apprend rien sur lui si ce n'est qu'il est poursuivit, et qu'ensuite on passe à Alexender, et on comprend très vite que c'est quelqu'un de courageux, sensible et révolté par l'injustice.
Ce qui me donne hâte de lire la suite- Est ce que sa sensibilité (et pitié) aura raison de lui où sera t-il capable de se fier à son sens de la justice. Mais bon comme il y a une suite je peux un peu deviner :p
Je suis ravie que ce premier chapitre te plaise et que tu apprécies découvrir les personnages ! J'espère que la suite ne te décevra pas :D
Merci pour ton retour !
Je suis ravie que les HO t'aient permis de découvrir cette histoire (et bravo pour ta victoire !) et que ce début te plaise :) J'espère que la suite sera à la hauteur de tes attentes !
Je viens me risquer par ici, j'ai lu la première partie du chapitre d'une traite. Ta manière de commencer est efficace, on est direct dans le feu de l'action et on se pose des questions quant à ce fugitif (ton résumé spoile un peu malheureusement).
Je trouve ton écriture très fluide, mais j'aime rendre des commentaires détaillés pour tirer le texte vers le haut donc je te mets mes pinaillages ci-dessous (oui oui je sais je suis la plus grande pinailleuse au monde :-) ), dis-moi si ça t'aide car je peux juste te laisser un simple petit commentaire avec mes ressentis par la suite.
Mes notes au cours de la lecture :
"Sa conscience se délitait au rythme de sa course."
> Concernant cette première phrases je ne comprends pas bien pourquoi ou comment sa conscience se délite, car il ne perd pas connaissance. Il me manquerait une phrase suivant pour bien comprendre.
"Le sang battait ses tempes, écho incessant qui martelait l’intérieur de son crâne."
> Pour rendre cette phrase plus percutante et comme tu es dans le feu de l'action, tu pourrais presque la raccourcir, éviter la coupure créee par le "qui" : "Le sang battait ses tempes, écho incessant contre son crâne"
"les murs en pierre blanchâtre de la rue."
> Pour tout de suite poser l'image, je dirais :
"les murs en pierre blanches des maisons a colombages." Comme ça c'est bien clair dans la tête du lecteur, les colombages popent dans notre esprit plus tard.
"et de ses muscles en feu qui lui faisait regretter chaque mètre parcouru."
> Tu peux en faire une phrase à part pour ne pas hacher avec le qui et bien nous garder dans la fluidité de l'action, voire combiner avec la phrase suivante qui véhicule la même idée.
"des vieilles maisons"
> Vieille pas utile selon moi
"fouettaient parfois"
> Parfois pas utile si on l'imagine courir depuis avant
"Il bifurqua dans une ruelle sombre sans même essayer d’atténuer le son de ses pas. Ses poursuivants étaient si proches…"
> Sans même atténuer le bruit de ses pas peut être supprimé à mon avis, on s'en doute, vu qu'il fuit à perdre haleine
"incapable de le soutenir davantage."
> Pas nécessaire de le préciser, on s'en doute
"et le froid mordant s’insinuait déjà sous ses vêtements en lambeaux."
> Je l'imagine en nage donc à moins qu'il ne tombe dans une flaque gelée, cette phrase n'est pas logique pour moi, du moins pas à ce moment précis
"Le mercenaire tendit une main vers lui. Il eut un brusque"
> Attention le "il" renvoit au mercenaire et est confusant en première lecture"
"Une puissante vague de magie brute et éthérée"
> Intéressant, on a affaire à un sorcier, tu le montres sans exposition interminable, très classe
"l’espace d’une poignée de secondes."
> Phrase maladroite comparée au reste, très fluide et bien
"Le fugitif lui-même ne semblait pas y croire."
> Je virerais ce semblait. "Le fugitif n'en croyait pas ses yeux" (ou un truc du genre hein)
"par des dizaines d’échos"
> Attention tu parles déja d'échos avant, pas que ça crée une répétition d'idée
"Insupportable.
Elle le paralysait, l’assourdissait, le faisait suffoquer."
> J'inverserais : description ->émotion comme ça on pige bien : "elle le paralysait tatata... Insupportable" c'est plus percutant
"Redevenue aussi silencieuse"
> Seulement si la magie est bruyante à mon sens
" Toujours prêt à te révolter ? le nargua le mercenaire.
Il lui jeta un regard brûlant"
> "Il" renvoie au mercenaire
À la fin, on comprend qu'il était déja prisonnier du mercenaire avant, donc avant ("S’ils t’attrapent"), je mettrais "s'ils me rattrapent")
Un bon début de chapitre, je trouve ton style très efficace et immersif, on est aux côtés de son altesse :-)
Je reviens tout bientôt pour la suite
Un homme fuit, pourchassé par un mercenaire. On apprend que c'est un prince. Alexandre, un soldat de la royauté, se précipite dans une ruelle après avoir entendu un cri et tabasse les gars qui s'y trouvent. En entrant dans une autre ruelle, il se bat contre un autre gars et découvre un homme blessé. Il l'emmène chez lui et il reconnaît le régicide.
Je trouve cette suite un peu moins fluide que la première partie, pas tant à cause du style lui-même qui est bon,, je dirais plus qu'il y a des répétitions d'idées parfois et surtout un enchaînement d'idées ou d'action qui pourrait être plus clair à mon sens. Quelques éclaircissements fluidifieraient le tout.
Par exemple, pourquoi Alex se met-il à courir vers la ville basse en entendant un cri ? Au départ, je pensais qu'il fuyait. Pourquoi tabasser les gars de la première ruelle, je ne comprends pas du tout. Apparemment, ils ne faisaient rien de mal. Du moins rien ne le montre. Pourquoi ne pas ôter cette scène qui n'apporte pas grand chose et direct le faire se battre avec les agresseurs du fugitif ?
Ses pensées et émotions ne sont pas toujours claires et du coup on ne comprend pas les décisions d'Alexandre. Par exemple au moment où il choisit d'amener le fugitif blessé chez lui. Perso, un gars me demande ça la nuit, je fuie. Surtout qu'il est blessé, et qu'en face de lui, il y a un homme d'arme, un soldat potentiellement violent, voire un complice des mercenaires. Comment sait-il qu'il ne lui veut pas du mal ? Car Alexandre est bel et bien violent, on l'a vu se battre contre des gars innocents dans une ruelle, de sang froid. C'est primordial qu'ils se reconnaissent déjà dans la ruelle et non une fois dans la chambre ou ce n'est pas logique à mon sens.
Sinon l'ambiance de la rue enneigée est bien posée, je me représente bien les personnages et notamment la détresse de l'altesse.
Honnêtement, il n'y aurait que quelques phrases à revoir selon moi, rien de bien fou, afin de bien appuyer les émotions et les pensées des persos pour immerger le lecteur dans ton récit en mode total :-)
"il s’élança dans la rue d’un pas tranquille."
> Je trouve que s'élança entre en opposition avec tranquille, "d'un pas vif" ?
"Leur mission s’était éternisée"
> "Sa mission" ? (il est seul)
"Des brigands et des intempéries sur la route avaient ralenti le convoi de marchandises qu’Alexander avait été chargé de protéger au nom de la royauté."
> Longue phrase. Des brigands et des intempéries ?? On s'attendrait à une explication. Tu basardes ça comme ça genre la routine mais on ne sait pas ce que ton perso a en tête.
"Une brise glacée agita ses cheveux blonds autour de son visage, lui arrachant un frisson"
> La 1ere partie de la phrase se marie mal avec la 2e. Je virerais carrément le truc des cheveux.
"le col en fourrure de sa cape en laine"
> Le "en en" alourdit, je virerais le en laine pour des questions de fluidité, d'autant que ça n'apporte pas grand chose de savoir que sa cape est en laine, tu as déja la fourrure pour montrer l'idée du froid.
"et les pavés luisants qui recouvraient le sol."
> Je virerais "qui recouvraient le sol." car on se doute que les pavés recouvrent le sol.
"Sa magie picota le bout de ses doigts gantés, aiguisant son attention"
> Tu peux ajouter une phrase de plus selon moi, pour véhiculer l'émotion que ça crée chez lui.
"Il s’arrêta brusquement"
> Comme il a levé la tête vers le ciel, je l'imaginais déjà arreté
"tandis que le silence s’étirait de nouveau autour de lui."
> Un truc à jouer peut-être ici, avec la neige qui accentue souvent le silence et le "de nouveau" n'est pas utile selon moi.
"Jusque-là, il avait cru les rues désertes."
> Le dire dans une phrase descriptive plus haut ? du genre il est tard, il fait froid, tout le monde est réfugié chez soi - Un truc avec la neige qui crisse sous ses pas qui montre que personne n'a marché sur ces pavés avant lui et donc qu'il n'y a personne ? (je dis ça comme ça)
"Il inspira lentement, écoutant ce que lui soufflait son instinct, là où le poussait sa magie, qui s’agitait désormais en lui comme une vague tumultueuse et crépitait sur sa peau"
> Phrase pas très claire
"Il n’hésita qu’un instant avant de prendre la direction du quartier le plus malfamé de la capitale,"
> Pourquoi ? Le déroulé n'est pas fluide, il nous manque l'accès à ses pensées et ses émotions. Il souhaite porter secours à quelqu'un ? Est-il en train de faire sa ronde en tant que soldat ? Je croyais qu'il revenait d'une expédition où il a été attaqué par des brigands. Il n'est pas crevé ? Pourquoi se précipite-t-il dans cette direction au moindre bruit ? Il a perdu la cargaison et la recherche ? D'où le fait qu'il attaque les gars (sans meme les interroger ?). Il me manque une phrase afin de savoir pourquoi il se précipite sinon on ne comprend pas du tout.
"Sa posture agressive et sa main levée laissaient planer peu de doutes sur ses intentions"
> Qui sont... ? Quelles sont ses intentions ? On ne suit pas.
"L’homme l’avait probablement entendu approcher et voulait se débarrasser du potentiel gêneur."
> Ah bon ? Ce passage manque de fluidité (pas dans le style), mais dans le déroulé des actions. Qu'est-ce qui fait que ton personnage se dise ça ? Il manque une phrase descriptive juste avant pour bien comprendre. C'est important car là on a l'impression que c'est lui l'agresseur. Que lui a fait cet homme pour qu'il l'attaque de la sorte ? Il lève la main et hop il interprette ça comme un manque de respect ? Au début je croyais qu'il malmenait le fugitif à terre, mais cela arrive plus tard, dans une autre ruelle ! Donc rien à voir quoi, j'en conclus que Alexander voulait juste casser des gueules ! :-)
"facilement reconnaissable grâce à la cape sombre ornée de l’emblème de la royauté qui flottait derrière Alexander"
> Donc l'autre perso ne le voit pas si Alexander lui fait face et n'a aucune idée qu'il s'agit d'un soldat de la royauté... Donc en effet il ne s'y attend pas... Cette phrase a donc un soucis
"s’étira comme une lance éthérée"
> "en une lance de lumière éthérée" ? Je partirais sur une métaphore plutôt qu'une comparaison.
"heurter"
> Heurter ou traverser ? (Si c'est une lance)
"un homme surgit près du corps étendu sur le sol"
> D'où ? Il se téléporte là ? (C'est l'impression que ça donne)
"Le nouveau venu ne mit qu’une fraction de seconde à repérer Alexander. Avec une vivacité surprenante, il agrippa l’arbalète attachée dans son dos et tira"
> Passage dur à suivre : Alexandre détecte la présence d'un second gars avec une arbalète. Et il lui tire dessus. Ce serait plus simple que : un gars se téléporte près du corps. Alexander le remarque. L'autre gars le remarque. Il prend son arbalète dans son dos, encoche un carreau et tire, plus laborieux selon moi.
"sous sa cape en laine"
> Encore ?
"et la planta dans la première chose à sa portée ; la cuisse de son agresseur."
> je dirais de suite dans la cuisse de son agresseur.
"acheva de le repousser"
> Le repoussa ?
Le déroulement du combat ensuite est fluide.
"entrevoir les marques qui ravageaient sa peau claire."
> "Les marques sur sa peau claire"
"Oubliant qu’il s’agissait d’un parfait inconnu"
> Comment peut-il oublier ça d'un coup ? Il ne le fait pas pour l'aider ? Ses intentions sont obscures pour moi.
Un tourbillon de questions envahissait son esprit."
> Lesquelles ?
"brusquement"
> Trop de fois le terme "brusquement"
"Alexander le souleva dans ses bras."
> Attends mais il a quel âge ce mec ? Je l'imaginais adulte. Comment peut-il le porter dans ses bras ? Et pourquoi l'invite-t-il chez lui ? A-t-il de mauvaises intentions ? Je serais le fugitif, je me débattrais, je ne suivrais clairement pas ce type !
"soutenue par de larges poutres en bois "
> Expression déjà utilisée avant, donc répétition
Il le connaissait.
Il écarta une mèche sombre qui avait glissé sur son front. Ce n’était pas possible… Et pourtant, il ne pouvait plus avoir de doutes.
Ressaisis-toi, souffla une voix dans son esprit. Tu dois le soigner. Ou il ne survivra pas."
> Tout ce passage là, à mon sens, devrait venir avant, au moment où il veut l'emmener à l'hôpital. Je ne comprenais pas du tout pourquoi il l'emmènait avec lui, mais s'il croit le reconnaître, pour moi c'est plus logique et tout s'enchainerait tout bien.
"peau claire."
> Tu le dis trop souvent, c'est au moins la 3e fois dans ce chapitre
Un bon chapitre, on se demande où tu nous emmènes et qui est réellement ce fugitif.
J'ai oublié de le dire avant : ta couverture est super belle !
Je suis ravie que ce premier chapitre te plaise :)
En ce qui concerne tes remarques sur le fond, donc plutôt sur la deuxième partie, je comprends ce que tu veux dire et j’essaierai de rajouter quelques éclaircissements pour les flous. Pour répondre à tes interrogations, Alexander se met à courir vers la ville basse parce ce qu’il suppose que quelqu’un a besoin d’aide donc il va voir ce qu’il en est. Il a attaqué le gars parce que le gars avait une posture agressive et qu’il s’apprêtait à porter le premier coup. Pour que ce soit plus clair, je peux toujours laisser l’homme en question avoir le temps d’attaquer pour qu’on comprenne bien que la réaction d’Alexander n’était pas gratuite (puisqu’il s’agissait là aussi de l’un des agresseurs du fugitif, qui s’étaient dispersés dans les rues avoisinantes, Alexander n’a attaqué aucun innocent).
Par rapport au fait qu’Altaïs accepte qu’Alexander le ramène chez lui, c’était l’option la plus viable qu’il voyait dans son état. S’il restait dehors, il n’aurait pas passé la nuit, et si Alexander l’avait emmené dans un endroit où se faire soigner, il y avait trop de chances qu’on le reconnaisse. C’était le seul compromis viable à cet instant. Et Alexander pourrait tout à fait lui vouloir du mal, mais accessoirement c’est aussi le seul à l’avoir aidé et il lui laisse le choix.
Pas de soucis pour les pinaillages, je les prends avec plaisir pour les corrections de ce texte :) Ce qui m’importe le plus sont les remarques sur le fond, mais celles sur la forme peuvent toujours être utiles également. Celles auxquelles je ne réponds pas directement ci-dessous c’est qu’à priori je n’avais rien de pertinent à dire autre que « oui c’est vrai » ou « oui c’est pertinent » x)
« Concernant cette première phrases je ne comprends pas bien pourquoi ou comment sa conscience se délite, car il ne perd pas connaissance. Il me manquerait une phrase suivant pour bien comprendre. »
> Alors pour cette phrase, je ne la pensais pas dans le sens où il perdrait connaissance mais plutôt dans celui où il ne serait plus capable de réfléchir.
« Je l'imagine en nage donc à moins qu'il ne tombe dans une flaque gelée, cette phrase n'est pas logique pour moi, du moins pas à ce moment précis »
> À mes yeux, ça faisait sens dans la mesure où il fait très froid, il neige et du givre recouvre les pavés, donc dès qu’il s’arrête (par terre en plus), sa course ne le « protège » plus du froid.
« Attends mais il a quel âge ce mec ? Je l'imaginais adulte. »
Il est adulte, mais il a une carrure plus svelte et Alexander est tout de même un soldat, il a subi un entraînement exigeant et est capable de porter des charges lourdes x)
Voilà ! Je crois que j’ai fait le tour des remarques auxquelles il me semblait important de répondre et j’espère que j’ai répondu à tes interrogations. Merci pour ce retour très détaillé !
Oui c'est une façon efficace d'entrer dans le récit.
Je serais toi j'éclaircirais ces points, juste une phrase ou deux suffiraient je pense pour bien comprendre les pensées d'Alexandre, le fait qu'il veuille aider en entendant le cri, que les gars de la ruelle sont les mercenaires d'avant (pourquoi sont-ils dans 2 ruelles différentes ?) et pourquoi il emmène un inconnu chez lui.
Je te laisse piocher dans mes remarques pour ne garder que celles qui t'intéressent :-)
Je trouve le début in media res maîtrisé, l'action bien menée. Pour ma part, il n'y a rien à redire sur la première partie.
Avec Alexander en revanche, l'action m'était plus difficile à suivre. Pour une raison que je ne parviens pas à identifier, la scène m'apparaissait régulièrement confuse. J'ai dû relire plusieurs phrases pour comprendre. J'ai le sentiment que tu donnes trop de choses, trop vite. Tu devrais prendre plus de temps pour matérialiser les dangers, les décors et poser les duels.
Aussi, ce premier chapitre contient beaucoup de magie. Beaucoup trop à mon goût. J'aurais préféré voir davantage les personnages s'exprimer par leurs actions et leurs actes que par cette magie surpuissante. Les duels sont rapidement inégaux et l'action manque d'enjeux. C'est comme si Alexander se promenait dans un monde moyenâgeux avec une mitraillette et des balles illimitées. Les mercenaires semblent n'être que de la viande à brochette, des figurants juste bons à mourir. Un arbalétrier ou un archer mettrait un peu plus Alexander en difficulté, sans pour autant allonger ton chapitre. Par exemple : Une flèche effleure la joue d'Alexander qui réplique avec sa magie avant que le mercenaire ait le temps d'encocher sa deuxième flèche. Suivi d'un petit descriptif sur le danger que représentent les archers. En 3 lignes, tu as exposé une faiblesse mortelle pour ton personnage. Dès lors, chaque archer sera perçu par le lecteur comme une véritable menace.
Pour le reste, ma lecture n'était pas désagréable, j'y ai même passé un bon moment :-)
Ton commentaire tombe à pic, j'étais (je suis) en train de retravailler ce premier chapitre quand je l'ai reçu haha. J'avais donc prévu de reprendre la scène avec Alexander notamment afin que les choses soient mieux posées :)
Je vois ce que tu veux dire lorsque tu trouves qu'Alexander n'est pas assez en danger. Je comptais revoir cet aspect, mais en revanche il a tout de même certains avantages qui font qu'il n'éprouve pas de réelle difficulté dans cette scène. Il a tout d'abord l'avantage de la surprise, et il s'agit d'un soldat qui effectue des missions au nom de la royauté, donc il a une magie assez puissante :)
Je suis ravie que tu aies tout de même passé un bon moment :)
Intrigue quelque peu banal, mais très bien posé. Aucun temps mort, de l'action et des questions posées sur ce régicide qui, bien évidemment, laissent entrevoir des complots de cour croustillants.
Après, j'ai une petite réserve : le comportement d'Alexander. Tu le décris comme en lien avec la royauté ( il sécurise des convois, il loge dans un bâtiment de la royauté, il était apparemment attaché au défunt roi)... Or, après avoir entendu les cris dans la rue, et avoir aperçu la cape du soldat et l'insigne de royauté, il n'a pas hésité à attaquer tout le monde, sans trop réfléchir à ce qu'il se passait et à qui il s'en prenait. Je l'ai trouvé peu réfléchi pour le coup et en contradiction avec son apparente fidélité au royaume. Il vient en aide à un inconnu que son souverain, à travers ses soldats, poursuit. J'ai peut-être mal perçus cet aspect là...
Je suis ravie que l’ambiance te plaise, j’aime beaucoup les décors assez sombres haha :)
Pour l’intrigue, le point de départ n’est peut-être pas des plus originaux, mais je pense qu’elle se démarque autrement. Le complot n’est à mes yeux pas le point névralgique de l’intrigue, mais je n’en dis pas davantage pour ne pas gâcher la surprise.
En ce qui concerne Alexander, je pense que ta réserve repose sur un malentendu car il s’agit de sa cape à lui qui porte l’emblème de la royauté. Les hommes qu’il affronte sont a priori des mercenaires (cette information est mentionnée à plusieurs reprises) donc ça fait sens qu’il se lance à leur poursuite puisqu’ils ont l’air de tremper dans des affaires louches ^^
Et pour la chute, le résumé et le premier chapitre ont des buts assez similaires (donner envie de lire, poser le contexte…) donc il me semble inévitable que des informations se recoupent, d’autant plus que tout le monde ne lit pas forcément le résumé x)
Merci pour ton retour !
J'ai été happée par l'histoire. J'ai accroché direct et j'ai beaucoup de peine pour Altaïs. J'ai envie de le prendre dans mes bras. Deux ans qu'il fuit si j'ai bien compris ? Il lui est arrivé quoi durant ces deux ans pour finir ainsi ? D'ailleurs, je me demande qui est le commanditaire des mercenaires. J'ai comme l'impression qu'ils veulent éliminer Altaïs pour éviter que la vérité n'éclate sur le vrai responsable. On peut donc imaginer qu'un complot se trame. A un moment donné, le mercenaire dit "il", mais "il" qui ? Cela m'a intriguée !
Alexander... je ne sais pas pourquoi, mais je l'aime déjà beaucoup. Sur sa façon d'être, d'agir. Il impose le respect et la confiance. Il y a un truc. Il semble bon, prêt à aider les plus faibles. Et ouf ! Altaïs a de la chance de tomber sur lui en fait.
Ta plume est fluide et très agréable. Tout s'enchaîne très bien. J'ai adoré découvrir la magie. Je ne savais même pas qu'elle existait dans ton univers XD Une agréable surprise, car j'adore la magie, lol.
Bref, j'irai lire la suite très vite.
Belle journée,
Stéphanie.
Ton commentaire me fait chaud au coeur, je suis ravie que ce début t'ait happée de cette manière ! Et je suis encore plus heureuse qu'Altaïs te touche. Alors, il ne fuit pas depuis deux ans, ce n'est pas dit de manière explicite dans ce chapitre mais il était emprisonné (il évoque ses chaînes) ! En tout cas, tout converge effectivement vers un complot hihi.
Ça me fait plaisir que tu apprécies le personnage d'Alexander aussi ! Je l'ai pas mal retravaillé pour cette réécriture, mais il reste quelqu'un de foncièrement gentil en effet !
Oh zut, ta remarque sur la magie me fait prendre conscience qu'effectivement je ne la mentionne plus dans le résumé (que j'ai réécrit), il faudrait peut-être que je le précise quelque part xD
Merci pour ton retour et à bientôt !
Effectivement. Je tire des suppositions trop hâtives. En tout cas, il a disparu depuis 2 ans et je me demande quelle en est la raison et par qui aussi. Ces 2 dernières années ont dû être un supplice pour lui.
N'ayant pas connu l'ancienne version, je te confirme qu'Alexander est extra :)
Pour la magie, ce n'est pas gênant. Vu le genre, elle est à sa place. On l'accepte dès qu'on sait qu'elle est là.
A très vite,
Stéphanie.
Une jolie découverte.
Je suis ravie que ce début te plaise ! Effectivement, c'est un univers où la magie est omniprésente, même si son intensité peut varier d'une personne à une autre.
Merci pour ce retour :)
Ben écoute, je me suis dit : comme vous vous êtes lancées dans mon histoire, il était temps que je découvre les vôtres ! (oui, momo et toi vous êtes une entité à part entière dans mon esprit, voilà)
J'aime bien ce premier chapitre et cette entrée en matière ! Les débuts c'est toujours super difficile, surtout dans une histoire comme la tienne où on sent que le passé a au moins autant d'importance que le présent. Tu peux pas tout nous révéler, et en même temps faut réussir à attiser notre curiosité... Moi je trouve que c'est réussi !! La première partie, la course-poursuite, remplit carrément bien son rôle, on a mal avec ton personnage et on a peur pour lui ! La deuxième partie était chouette aussi, le personnage d'Alexander m'a l'air bien noble d'esprit, j'ai hâte de voir comment il évolue et se décline par la suite :) Les scènes de combat sont méga-claires, rien à redire là-dessus, et la découverte du corps mutilé de Altaïs est tout à fait répugnante, bref : l'effet fonctionne sur moi !!
Bravo pour ce premier chapitre, et puis jte dis à bientôt pour la suite :)
Aaaaah, c'est trop mims ! Alors si tu veux une preuve de notre entité à Momo et moi, on a écrit un crossover qui mélange Le Prince déchu et La Table des Sept, je pense qu'il n'y a pas de meilleure preuve xD
Ça me fait trop plaisir que ce premier chapitre te plaise ! Tu as tout à fait raison sur l'importance du passé, vu que l'un des thèmes centraux concerne la mémoire (et le poids du silence par extension) ! Ça rend l'équilibre entre ce que je peux dire ou non assez délicat (mais c'est ce qui marrant aussi haha) ^^ Trop chouette si la succession des scènes et des deux points de vue fonctionne bien en tout cas !
En ce moment je planche principalement sur Brûle-Acier (pour l'anecdote, l'un des personnages principaux s'appelle Loup xD), mais du coup ton commentaire me motive trop à reprendre plus sérieusement la réécriture du Prince déchu alors merciiiii pour tes mots si gentils <3
À bientôt :D
Et zut je m'étais dit que j'allais me lancer dans cette histoire parce que t'étais en train de la réécrire donc que ça allait probablement être publié rapidement, mais trop chouette si t'as un autre projet à-côté ! Je vais déjà arriver au bout de celui-là et puis j'irai jeter un oeil (rien que pour Loup hihi) :)
Oh non trop désolée T_T J’ai un rapport compliqué à cette réécriture, genre amour-haine, je réécris deux chapitres et je vrille x) Mais j’essaie de me motiver pour vraiment la reprendre sérieusement après ma dystopie !!
L'horreur. Mais c'est ça qui fait que c'est chouette aussi ! Enfin c'est cool que t'écrives une dystopie en tout cas, hâte de voir ça aussi *-*
Oui pour le coup j'ai un rapport beaucoup plus apaisé avec ma dystopie, sans doute l'une des raisons qui font que j'adore ce projet (et Loup est si mims aussi franch) *_* Mais je ne perds pas espoir pour Le Prince déchu, je finirai bien par y arriver xD
Et je te souhaite de sortir de tes boucles infernales, la qualité de tes histoires démontre bien tout ce qu'elles méritent !
Ouiiiiii, j’ai trop hâte de continuer ton histoire <3
Me voici enfin sur le "Prince déchu" - joli titre, intrigant et riche en promesses. <3 On est directement mis dans le halètement de cette poursuite, avec l'immédiateté des émotions, des pulsations, le corps qui s'anime tout entier dans cette fuite en avant. Belle entrée en matière.
La suite fait un peu moins de place à cette immédiateté et aux réactions purement corporelles et émotionnelles, on est un peu plus distanciés. Mais ce qu'on y apprend demeure très intéressant et Alexander a de quoi être blessé par ce qui lui tombe dessus. Peut-être serait-ce intéressant de détailler un peu plus ce qui l'anime du genre viscéralement, quelles valeurs en lui sont ainsi écorchées.
Ta plume en tout cas est très jolie ! Et il me tarde de voir s'ourdir et se dénouer le complot qui fait accuser ce prince.
Je poursuis ! :D
Je suis ravie que la première scène te plonge au coeur du texte ! C'est une scène qui n'existait pas à l'origine, mais je trouvais finalement intéressant d'ouvrir le roman avec :)
Il faudrait effectivement que je reprenne un peu la scène avec Alexander pour mieux développer ses pensées afin qu'on le comprenne mieux.
Merci pour ton retour, il me fait très plaisir :)
Appâtée par le titre et les Histoires d’Or, me voici remise de ma découverte musicale de ce premier chapitre.
Le début est très immersif, on est vite happé par cette course poursuite et par la vivacité de ta plume autour de cette scène riche en émotion, entre révolte, fuite et vain espoir. J’ai trouvé en revanche le passage au point de vu d’Alexander moins intéressant, dans le sens où on ne comprend pas vraiment sa motivation à voler au secours d’un inconnu quitte à s’opposer à des militaire, et parce que j’ai eu du mal à suivre les scènes d’actions que j’ai trouvé un peu répétitives dans le schéma et aussi dans les désignations (« ces hommes », « des hommes », « le jeune homme »). Ce qui finit par rendre scène un peu « impalpable ». Peut-être aussi qu'il n’apparaît pas très équilibré dans le sens où on comprend très bien la situation du premier personnage avec le gros investissement émotionnel devant sa souffrance, alors qu’Alexander semble beaucoup plus creux. Peut-être qu’il s’agit simplement de mieux verbaliser ce qui le motive à agir : son sens du devoir, de la loyauté, autre chose. Parce que tu ne qualifies les choses que par « son instinct », mais c’est très lisse : je n’ai pas ressenti cet instinct, comment il agit physiologiquement, psychologiquement. Et du coup ce passage m’a paru incongru par rapport à la première scène.
Le fin en revanche est renoue avec l’aspect très intrigant du début, avec ce mystère et ce crime politique passé qui s’apprête à ressurgir ~
A bientôt !
Haha, ravie que tu aies découvert ce chapitre dans d'aussi bonnes conditions xD
Je suis heureuse que le début soit aussi immersif, c'est une scène qui n'existait pas dans la première version mais je trouvais vraiment intéressant de commencer avec :) Pour Alexander, je pense que la scène a tout autant d'importance (les divers retours étaient plutôt convaincus), mais je comprends ce qui peut te poser problème et le fait que ses motivations paraissent floues. Comme je ne peux pas tout révéler à son sujet, c'était un peu difficile de bien doser les informations données, mais donc je vais essayer de retravailler ce qui le pousse à agir de manière plus nette, en tout cas sur les raisons "évidentes" comme son empathie ou son sens du devoir !
Merci pour ton retour !
Les scènes d'action ont le mérite d'être très claires. Je pense que la première partie aurait fini par me perdre si elle avait été plus longue, vu qu'on ne connait pas le personnage, mais ici le dosage est nickel.
Alexander a l'air d'être un personnage héroïque dans le sens général du terme, à secourir des inconnus et à ressentir des bouffés de colère à la vue de leurs blessures.
A bientôt !
Oh merci pour tes compliments, je suis ravie que ce début te plaise ! Ça me rassure que les scènes d'action soient claires, la scène se déroule assez vite et on ne connaît pas forcément les différents personnages présents (pas forcément importants d'ailleurs) donc c'était un peu délicat.
Oui en effet Alexander a un petit syndrome du héros qui lui joue des tours, mais c'est surtout un personnage très bienveillant et empathique :)
À tout de suite !
Content de retrouver ta plume, tu es en train de corriger ton autre histoire ?
Super chute, j'aime beaucoup ! Tu amènes très peu de géopolitique et pourtant on est très investi dans cette réapparition mystérieuse. La première scène et la course poursuite, je trouve que c'est une bonne idée, on est directement dans l'action et ça évite l'écueil du premier chapitre trop chargé en introduction (dans lequel je tombe personnellement très souvent xD).
Pour la forme, c'est juste excellent. Tu as une très belle plume de base mais avec une réécriture, c'est encore plus abouti.
J'ai bien aimé l'usage de l'italique, bien dosé.
Je poursuis ma lecture !
Quand tu parles de mon autre histoire, il s'agit d'Un Royaume de cendres ? Si c'est le cas, non je ne suis pas en train de corriger (actuellement mon projet principal est ma dystopie, avec cette réécriture en "mineure"), mais disons qu'après une petite crise existentielle, je l'ai archivée pour une durée indéterminée ^^' Je ne sais pas encore ce que je vais faire à son sujet !
Ravie que ce premier chapitre te plaise ! J'avoue que je préfère écrire des débuts qui commencent de manière dynamique, notamment parce que je n'ai pas d'attrait particulier pour le worldbuilding et qu'en général tout ce que je crée sert les besoins de l'histoires, pas de superflu comme ça xD Et puis il faut tenir un peu les lecteurs en haleine hehe.
Oh merci pour ton compliment ça me fait très plaisir ! D'autant plus que je m'arrache un peu les cheveux sur cette réécriture puisque j'ai repris sur un document vierge et que même pour les scènes que je garde plus ou moins telles quelles, je réécris absolument chaque phrase x)
Haha, ma passion pour l'italique demeure ^^
À tout de suite !
Je comprends, surtout que c'est compliqué de mener tant de projets en parallèle mais sache qu'elle était très plaisante à lire ! Les dragons apportaient vraiment quelque chose et j'aimais beaucoup Zahal.
Après ne te force pas à reprendre, parfois on a besoin d'une petite pause avant de s'y remettre (=
En voilà un premier chapitre plein de mystère ! On n’apprend vraiment rien du tout avant la fin et du coup, j’ai passé toute ma lecture à me poser des questions, ce qui m’a rendu, de fait, très attentive et m’a aidé à rester pleine dans l’histoire.
Mais qui est ce mystérieux jeune homme qu’on appelle Altesse me suis-je dis ? Et que lui veut-on ? Il s’est échappé de chez lui pour fuir ses obligations ? Non, on ne lui parlerait pas ainsi, et puis, il est vraiment blessé. Mais dans quel genre d’univers suis-je ? Une royauté, de la magie, un chevalier, mais un immeuble… Du médiéval moderne ?
Et à la fin, quelques réponses, un prince, neveu de roi, visiblement victime d’un complot, détenu en captivité depuis deux ans et maltraité. Il aurait été plus malin de le tuer, de s’en débarrassé définitivement, mais on a préféré lui faire du mal…:/
Alexander a de quoi être en colère, et moi, de quoi être motivée pour lire la suite.
Je reviens dès que je me suis acquitté de mes obligations ;)
Ravie de te voir par ici ! Hehe, c'est vrai qu'il apporte surtout beaucoup de questions et peu de réponses... Pour l'univers en revanche, je peux te répondre tout de suite, c'est bien une fantasy d'inspiration médiévale, on trouvait déjà quelques "immeubles" au Moyen Âge (même si ça différait un peu du concept d'immeuble actuel, puisqu'à l'époque une seule famille logeait dans ses demeures, mais le cas d'Alexander est particulier puisqu'il est logé dans le cadre de ses fonctions si je puis dire haha) !
Et pour Altaïs, on aurait effectivement pu le tuer, mais peut-être qu'il y avait un intérêt à le garder en vie hehe (autre que le torturer j'entends :p).
À tout de suite !
Ton histoire me faisait de l'œil depuis un moment, pour des raisons assez triviales : d'abord nous avons le même prénom (si le tien est bien Mathilde), et en plus j'ai moi aussi une saga fantasy avec le mot "prince" (au pluriel, pour moi) dans le titre. Ca a retenu mon attention parce que j'avais hésité à le garder, dans la mesure où 75 % des bouquins de fantasy l'ont aussi. Mais tant pis, assumons nos choix, chère collègue de titre XD
J'ai pris plaisir à ma lecture de ce premier chapitre : ta plume est très jolie, fluide, riche sans être compliquée. Je pense que j'ai été plus happée à partir du point de vue d'Alexander, ceci dit. Je n'ai pas très bien visualisé les mouvements du point de vue d'Altaïs (mais c'est peut-être parce que je n'étais pas encore tout à fait dans l'histoire). Je me suis quand même demandé (et c'est une question ouverte, hein, même pas une opinion) si tu ne gagnerais pas à démarrer directement sur le pdv d'Alexander. En effet, celui-ci assiste à la fin du passage à tabac d'Altaïs, il identifie que l'auteur en est un soldat... bref, tu as tous les ingrédients dans le pdv d'Alexander pour te passer de celui d'Altaïs. Et j'ai lu le début du chapitre suivant qui est du pdv d'Altaïs. Je trouverais ça classe que son premier point de vue soit à son réveil, un peu désorienté et apeuré.
Bref, j'ai soulevé la question.
Maintenant je continue.
Effectivement, je m'appelle Mathilde, enchantée de te rencontrer donc ^^ Je vois tout à fait ton histoire (qui est dans ma PAL depuis bien trop longtemps, ouch) et je comprends la problématique du titre xD Je t'avoue que Le Prince déchu n'était pas le fruit d'une longue recherche, c'était un peu la première idée qui m'est venue (l'idée facile on va dire) et puis finalement je l'ai gardée parce qu'après tout, pourquoi pas ? x)
Ton retour me touche ! Je suis ravie que ce début te plaise ! En ce qui concerne ton interrogation sur les points de vue, elle est très intéressante : dans la première version, ce chapitre était uniquement du point de vue d'Alexander, mais finalement j'avais trouvé intéressant d'ajouter celui d'Altaïs. Mais donc il faudrait que je questionne quelqu'un qui a lu les deux versions pour voir si ça ajoute vraiment un intérêt ou s'il serait plus intéressant de garder uniquement celui d'Alexander !
Merci pour ton retour :D
Je viens par ici suite aux histoires d'or, l'extrait et le synopsis de ton histoire m'ont intriguée. Je ne regrette pas ma découverte, j'aime beaucoup ton style, la manière dont les phrases s'enchaînent, et les descriptions qui sont bien immersive selon moi. Cet Alexander m'intrigue, j'ai hâte de lire la suite !
Très belle découverte encore une fois, j'ajoute à ma PAL et je reviendrai avec grand plaisir =)
Je suis ravie que cette découverte te plaise (vive les Histoires d'Or) ! Tes compliments me font chaud au coeur !
Merci pour ton retour :D
Quelques coquilles que j'ai decelé pour t'aider à avancer :
- "Dans les ténèbres de la nuit, il devinait plus qu’il ne voyait les lignes rudes de son visage couturé de cicatrices, mais il savait que les brumes de l’alcool avaient quitté son regard."
Une erreur que j'ai souvent commise avant de me faire reprendre pas une prof de français , le "son" fait reference au dernier sujet de ta phrase, ici le il qui désigne le prince la où tu veux designer le mercenaire qui le poursuit, une formulation correcte serait : "Dans les ténèbres de la nuit, il devinait plus qu’il ne voyait les lignes rudes du visage couturé de cicatrices, dont il savait que les brumes de l’alcool avaient déserté le regard."
- Tu utilises 2 fois "colombage", mot qui retient suffisamment l'attention pour qu'une répétition dans l'usage le rende un peu caduc la deuxième fois.
- "Il écarta une mèche sombre qui avait glissé sur son front. Ce n’était pas possible… Et pourtant, il ne pouvait plus avoir de doutes.
Il le connaissait.
Ressaisis-toi, souffla une voix dans son esprit. Tu dois le soigner. Ou il ne survivra pas.
Il expira lentement et enveloppa le jeune homme dans la serviette, avant de le soulever avec précaution. Il le porta jusqu’au lit et l’étendit délicatement sur la fourrure. Une lumière blanche naquit entre ses mains. Alexander était loin d’être spécialisé dans la magie des soins. Il avait quelques bases bien sûr, mais pas suffisamment pour traiter toutes les blessures du jeune homme. Il fit donc ce qu’il put, mais il redoutait des lésions internes qu’il ne saurait pas guérir. Il sortit quelques bandages du coffre et s’en servit pour panser les plaies encore à vif, espérant ainsi qu’elles ne s’aggraveraient pas.
Lorsqu’il eut fini, il s’assit au bord du lit, submergé par la fatigue. Il ne pourrait rien faire de plus cette nuit."
dans ce passage tu spam le il + proposition sur de nombreux débuts de phrase, ce qui fait un peu ritournelle et dilue l'attention du lecteur. Ce n'est pas encore au point d'handicaper la lecture mais ça pourra peut être le devenir plus tard si tu as prit ce réflexe.
- "effectuer –, mais " le tiret fait largement office de virgule, doublon inutile
- "Avec une vivacité surprenante, il dégaina une dague et la lança sur sa cible." un peu la même chose que sur la première remarque, le il d'une nouvelle phrase fait reference au dernier nom masculin de la derniere phrase, ici Alexander.
Enfin pour finir j'ai l'impression que la fin de ce chapitre est un peu rushé, dans le sens ou Alexander ne "vit" pas, il est dans l'action permanente; accorde lui un instant pour souffler, un instant d'introspection ou il se retourne dans le lit pour regarder le plafond, et laisser le temps aux émotions contradictoires qu'il avait enfoui jusqu'à présent de refaire surface. Cela le rendra + humain et developpera l'empathie du lecteur pour ton personnage.
J'espère t'avoir aidé un petit peu, et désolé si le ton t'as paru abrasif mais je préfère éviter d'être à l'origine de ce que j'ai longtemps subit en écrivant : des gens qui te passent du baume mais qui finalement ne t'aident pas à t'améliorer.
ceci étant dit, je trouve le texte bon, le rythme fluide et ta plume vivace. Surtout on sent que tu as une histoire à raconter, et c'est le plus important. Bon courage pour la suite.
Quand tu parles du souffle originel, tu fais référence à la première version du texte ? J’avoue qu’en tout cas je n’ai pas retravaillé le texte à proprement parlé, j’ai juste repris sur une page blanche ! Et ravie que les descriptions ou les combats te plaisent :)
Pour les coquilles que tu as relevées, je ne connaissais pas cette fameuse règle du « son », et pourtant j’ai fait des études de lettres où les profs nous rabâchaient régulièrement un certain nombre de règles d’orthographe et de grammaire ^^ C’est noté pour le reste de tes remarques, je verrai ce que je peux en faire.
Par rapport à la fin, j’avoue que c’était volontaire puisque c’est un premier chapitre qui était fait pour être très dynamique, tandis que dans le suivant les personnages sont plus posés ^^ Mais je verrai si d’autres personnes sont gênées :)
Merci pour ton commentaire, et ne t’inquiète pas, j’ai reçu un certain nombre de retours détaillés sur la première version de ce texte comme sur mes autres romans, qui m’ont bien aidée à progresser ;)
Je suis ravie que tu trouves le texte bon malgré tout !
en tout cas j'essayerai de lire la suite pour me forger un avis complet sur ton roman.
En premier lieu j'aimerais te féliciter pour ce début très accrocheur. On a envie de savoir ce qu'il va se passer. J'aime bien Alexander. J'ai hâte de voir comment il va évoluer ! Et surtout j'ai hâte de voir la romance ;) hahah.
Je suis ravie que ce début t'accroche ;) J'espère que la suite te plaira tout autant (avec la romance haha) ^^
À bientôt !
Je n'ai jamais lu la première version de ton travail, mais je dois dire que si c'était pour arriver à ce résultat... la réécriture valait le coup ! ;)
Ce n'est que le premier chapitre et on est déjà happé par le rythme du récit et le monde dans lequel tu nous plonges lors de cette rencontre entre deux personnages ! On comprend tout de suite que certains enjeux se dessinent déjà et ça pousse à la curiosité !
J'ai vraiment hâte de lire la suite, en tout cas bravo pour ce beau démarrage :)
Merci pour ton commentaire, c'est adorable ! Je suis contente que tu apprécies ce premier chapitre ! J'espère que la suite te plaira également ;)
Je ne peux pas faire de comparaison avec la première version car je ne l'ai pas lue mais ce premier chapitre est excellent ! Le rythme est soutenu, les personnages et la situations, intrigants, on n'a pas le temps de s'ennuyer !
J'ai juste remarquer une petite coquille : tu as écrit "se mouver", un moment, au lieu de "se mouvoir".
Mais c'est vraiment la seule chose que je trouve à redire car je trouve l'enchaînement des évènements et le début d'histoire vraiment super !
J'ai hâte de lire la suite !!
Oh tes compliments me font chaud au cœur ! Je suis heureuse que ce premier chapitre te plaise !
Pour la coquille, je préfère « se mouvoir » mais dans une phrase de ce type, le dictionnaire préconisait « se mouver »… Donc je pense que les deux se disent, mais je vais peut-être remettre mouvoir, c’est plus joli x)
Merci pour ton retour ! Il me fait très plaisir ! J’espère que la suite te plaira :)
Quel début ! Il se passe tellement de choses dans ton premier chapitre que j'ai eu du mal à le quitter des yeux malgré sa longueur.
J'ai juste eu du mal à suivre la bagarre, quand ton héros sauve le prince. Ça allait trop vite pour moi.
Hâte de lire la suite !
Ravie que ce chapitre te plaise ! Pour la bagarre, c’est vrai que c’est censé allé très vite haha ^^’
J’espère que la suite te plaira et merci pour ton retour !