Maxime est un jeune garçon âgé de 8 ans qui vit dans la forêt de Satin à coter d’un séquoia géant. Il vit une vie paisible entre les balades en forêt, les trajets jusqu’à la ville la plus proche pour remplir le garde-manger et ses nombreuses lectures de romans. J’allais oublier une chose, Maxime étudie dans sa maison grâce à l’instruction de ses parents. Sa mère est marchande de fruit et son père un grand bucheron très réputé. Mais malgré leurs métiers miséreux ils avaient reçu tous deux une bonne éducation et étaient de grands élèves à l’école. Dorénavant, ils avaient choisi ces métiers pour se rapprocher de la nature. Maxime n’était pas un solitaire pour autant, il avait des amis qu’il voyait de temps à autre dont Rostand son meilleur ami et Carolane dont il était tombé éperdument amoureux (mais ça il ne faut pas le dire c’est un secret bien garder pour lui).
L’histoire commence un jour de forte chaleur d’été. Maxime exciter de sortir dans la forêt tourner en rond dans sa chambre près à sauter sur la première occasion. Après un bon diné qui lui remplit l’estomac, Maxime demanda à ses parents s’il pouvait sortir dehors. Son papa lui répondit avec un sourire rayonnant qui reflété le soleil époustouflant qui se trouver dehors : « Oui bien sûr que tu peux sortir mais ne rentre pas trop tard, soit à la maison à 15h, et ne t’égare pas du sentier, ce pourrait être dangereux ! ». Sa maman cria de la cuisine : « Va chercher ta montre pour savoir l’heure ». Maxime acquiesça, pris sa montre et partit.
Une fois sorti dehors, Maxime survola le sentier en ramassant quelques fleurs au passage, caressant les feuilles et imitant le crie des oiseaux. Alors qu’il continuait son chemin, il aperçut une maison. Il ne l’avait jamais aperçu auparavant. Il s’approcha de la bâtisse. C’était une petite maison a deux étages, faite de pierre d’un blanc ivoire naturelle et lumineux. Elle était recouverte deux petite fenêtre blanche comme la neige, recouverte de volets bleues claires qui était entrouvrent laissant entrée la lumière. A travers celle si, on pouvait y distinguer vaguement l’intérieur. En effet, ont observé une immense bibliothèque en bois recouvrant de nombreux ouvrages. Entre ses deux fenêtres se trouver une grande porte en bois. Au-dessus était inscrit « livres et potions ». Maxime se demander ce que cela signifier. L’étage du dessus comporter trois fenêtre identiques à celle du premier étage. Il redirigea son regard vers la porte d’en bas et toqua à la porte. « Il y a quelqu’un ? » demanda-il. Mais personnes ne répondit, alors il posa sa main sur la poigner et la porte s’ouvrit dans un faible grincement. Il reposa alors sa question : Il y a quelqu’un ? Puis-je entrée chez vous, je ne veux pas vous déranger ! » C’est alors qu’une voix féminine et chevrotante lui répondit : « Tu peux rentrer mais n’oublie pas de refermer la porte derrière toi. » « Merci beaucoup ! », répondit-il timidement. Après un petit instant la voix reprit, dirige-toi vers le salon qui se trouve en face de toi, je suis assise là-bas je t’attends ! » Il se dirigea alors vers la direction qui lui était indiquer. Quand il entra dans le salon, il vit un monstre et cria de stupeur. Il avait un nez crochu avec une grosse verrue dessus et de longs poiles. Elle avait la peau verdâtre et porter une longue robe noire en colle v parsemé d’un sublime chapeau pointu noir. C’était une sorcière ! Elle disait d’une voix chevrotante : N’est pas peur mon garçon ! Une deuxième sorcière se mis à parler : « Qui est là ? » La première sorcière répondit : « C’est ce petit garnement qui veut nous voler nos potions ». « Vient t’asseoir là mon petit garçon ». « Veux-tu une tasse de thé ?», « Non …. Merci » : répondit le garçon d’une voix hésitante. « Je dois m’en aller ». Les sorcières répliquèrent : « Pourquoi dois-tu partir ? On va s’ennuyer sans toi ». Maxime hurla « Mes parents m’ont demandé de ne pas rentrer chez moi trop tard ». La plus laide des sorcières rétorqua : « Tu n’as pas besoin de rentrer chez toi, et ce bon thé tu ne le bois pas !» « Non, non merci ! » Dit Maxime.
La sorcière se fâcha très fortement en voyant l’enfant partir. « Bougre de crottin de chèvre ! », « Monstrueux, vient ici ! », « Ramène-moi vite ce garçon avec ses parents ».
Cette chose se faufila comme un courant d’air jusqu’au domicile.
L’enfant vu le monstre et arriva chez lui en criant de peur.
Quand il retrouva ses parents ils se mit à raconter ce qu’il avait vu tout en fondant dans sanglot irrégulier qui saccader ses phrases.
- Ne pleure plus Maxime ! Nous sommes la maintenant ! Dit solennellement la maman et le serrant fort dans ses bras
- Mais le fantôme ! s’affola Maxime, il va arriver d’un instant à l’autre, il faut s’enfuir.
A cette instant alors que le papa s’apprêtait à barricader la porte le fantôme ouvrit violemment la porte qui se détacha d’un coup sec et tomba sur le sol dans un bruit fracassant.
- Qui est tu jeune étranger et que me vaut ta présence sur mon territoire ? Tu n’as pas eu l’autorisation d’y accédé a ce que je sache, s’interposa le papa d’une voix forte de colère.
- Vous me faites bien rire monsieur ! Je n’ai besoin de l’autorisation de personne pour m’introduire dans une maison. S’amusa l’abomination.
- Et si je vous disais que si répondit le papa en brandissant un bout de bois devant l’être maléfique.
- C’est qu’il a du répondant le papa ! Ricana de nouveau le fantôme
C’est alors qu’une lumière aveuglante empli tout l’habitacle emportant avec lui les deux parents de Maxime.
- Nonnn, rendez-moi mes parents, ils ne vous ont rien fait ! cria désespérément Maxime.
Une force irrésistible le cloué sur place l’empêchant de faire le moindre geste pour attraper ses parents. Une fois la lueur terminer il se retrouva seul mordu par le chagrin et la haine féroce que lui avait induit la disparition de sa seule famille. Après c’être plus ou moins remit de ses émotions, il prit la décision de retrouver ses parents ici et maintenant. Il fairais tout ce qu’il avait en son pouvoir pour assouvir la vengeance qui lui rongé de l’intérieur.
C’est à ce moment-là que commença une longue et dure quête !