Chapitre 1

Notes de l’auteur : Bonne lecture de se premier chapitre.

Chapitre 1 : Rencontre

Harry dort. Ça il le sait déjà. Mais depuis combien de temps ? Une heure ?  Deux jours ? Une semaine ou un mois ?  Il a perdu le cours du temps depuis qu'il avait sombrait dans le sommeil.

Il se rappelait juste des quelques jours qui avait précédé.  La bataille de Poudlard était fini et ils en étaient sorti vainqueurs.  Lord Voldemort était mort. Les forces du mal avait perdu. Après cette bataille où beaucoup avait perdu la vie... La tristesse l'envahit soudain. Une larme coula de son œil fermé par le sommeil. Une main passa sur son visage sur son visage et l'effaça.  Mais... qui a fait ça ? Surement un de ses amis à son chevet. Après cette guerre sanglante, on avait fait un festin pour fêter la victoire.  Ça avait été joyeux et festif. Et puis, le lendemain, il y avait eu les adieux aux héros mort. J'avais alors séré très fort la main de Fred et promis à Rémus et Tonks de  bien m'occuper de leurs fils comme le rôle de parrain le demandait. Puis, Mc Gonnagal m'a obligé d'aller à st magouste pour me reposer. Là, on m'a installé dans une chambre vide et le sommeil m'avait prix.  Et maintenant, je n'arrivais pas à me réveillé... J'espère que ça ne vas pas tarder. Il faut que mes paupières s'ouvrent ! Mais, mes iris ne sont pas encore prêts à voir la lumière du jour. ..

Je sens quelqu'un qui  se lève à mes côté. Ses doigts effleurent mon bras. Des doigts fins, tellement féminin... Hermione ? Non. Hermione n'effleure pas mon bras comme ça. Ginny ? Non. Elle m'a avoué qu'elle aime Dean Thomas de nouveau.  Que son amour envers moi n'existe plus.  Pincement de cœur. Alors qui est ce ? Quelqu'un d'autre d'autres s'assoit à sa place. Il me met un  objet en plastic autour du bras. Cet objet se serre très fort puis se détend. Je l'entends dire :

-          Il ne devrait pas tarder à se réveiller...

Enfin ! Il n'est pas trop tôt !

-          ... mais pour ça, il faut que sa conscience le veulent.

Ma conscience... Allez ! Il faut que je me réveille ! Allez ! Je sens déjà mes paupières  se levé doucement. Elles se lèvent et veulent observer le monde mais la lumière du soleil m'aveugle. Je mets ma main au dessus de mes yeux, attrapent mes lunette et regarde autour de moi.  Ma chambre d'hôpital est tapissée de vert cacadois. Vraiment moche cette couleur.  Des affiches sont  attachées aux murs.  Une a perdu une punaise et pend vers le bas. La moitié du texte est effacé à cause  du soleil et du temps. Une pendule moldu  désigne l'heure et le jour. 15h30, le lundi 16 mai. Quoi ? ça fait deux semaine presque que je dort !  Je me tourne vers là ou j'ai attendu la voix, vers la droite,  et  je m'étonne. Le docteur n'est pas à côté de moi comme  je le crois. Non. Mais dans le lit à côté se trouve une jeune fille. 

Appuyé sur son coude, elle me regarde de ses yeux marron noisette. Une lueur de malice scintille dans ses yeux.  Ses cheveux sont marrons avec les pointes blondes. Ils sont tellement ondulés qu'ils en deviennent  emmêlés.  Ses cheveux arrivent sous sa poitrine.  Son nez remonte doucement, ses lèvres roses sont un peu gercées et elle a encore un peu d'acné sur le visage.  Elle est assez bronzée. Elle est vraiment belle. Je dirais même canon.

Me voyant l'observer, un sourire apparait sur ses lèvres.  Encore plus belle. Je finirais peut-être par oublier ginny, finalement.

-          Tu es enfin réveillé, on dirait, dit elle d'une voix douce

Oh... Cette voix... On voit qu'elle ait amusé de mon comportement. Quel idiot, je fais ! Je suis un incapable. Elle repousse ses draps. Elle apparait en pyjamas à rayure bleus et blanche. Ce pyjama que je trouvais tellement moche à mon arrivée  lui va à merveille. Elle s'approche de moi. Elle s'assoit sur la chaise en bois à côté de mon lit. Elle pose sa main sur mon front et fronce les sourcils.

-Tu as encore de la fièvre... dit elle d'une voix pleine d'inquiétude.

 Elle laisse alors ses doigts caressait mon front. Un des ses doigts se pose sur ma cicatrice en éclair. Elle l'effleure doucement et va d'un bout à l'autre de la marque du sort mortel. 

-          Harry Potter...chuchote elle d'une voix sensuelle

Elle regarde alors dans mes yeux verts.  Elle passa qu'elle que secondes à les scrutait. Puis, son regard se tourna vers mes cheveux de jais. Une de ses mains se mit à jouer avec une de mes mèches. Elle joua ainsi quelques minutes puis reposa sa main sur mon front.  Elle soupire et se leve. Ses doigts effleurèrent mon bras comme on l'avait fait pendant mon sommeil. C'était donc elle.  Elle se dirigea vers une autre pièce.

Quelques secondes plus tard, elle revient avec une infermière.  L'infermière lui chuchote quelque chose que je n'entends pas. La patiente va s'allonger dans son lit. L'infermière se dirige vers moi. Elle me dit :

-          Tu es réveillé. Ce n'est pas trop tôt ! ça fait déjà ...

-          Deux semaines, je continue, je suis au courant grâce à votre horloge moldue.

-          Une merveille cet objet, chuchote l'infermière croyant qu'on ne l'entendait pas.

Harry sourit.  C'est vrai que  certains objets moldues sont super ! Arthur Weasley avait raison à ce sujet.  L'infermière sort sa baguette magique de sa robe d'infermière et la pose sur mon front.  Alors un doux frisson traverse mon front.

-          Encore quelques jours et tu pourras partir. Tu as maintenant 39,5 de fièvre, me dit-elle, on pourrait te la faire disparaitre de moyen magique mais il faut mieux que tu le fasses naturellement.  Je vais prévenir le docteur.

-          - Et quand pourrais-je recevoir des visites ?

-          Je ne sais pas... Vous poserez la question au médicomage.

-          D'accord.

Elle s'en alla le chercher.  Je me retourne vers ma voisine. Elle observe la porte donc venait de sortir l'infermière. On dirait qu'elle était dans un autre monde.  Je l'observe ainsi quelques secondes. Puis tout à coup, elle revient à la réalité. Elle se tourne vers moi et me sourit. Nous échangeons ainsi quelques minutes de silence. Mais ce n'est pas un silence pesant, plutôt un silence de paix. Je  le brise en disant une phrase manquant d'originalité.

-          Comment t'appelles-tu ?

-          Léa. Mais je ne t'ai pas à te renvoyer la question, dit elle, amusé

-          N'est ce pas bête... Tu n'as pas donc pas d'idée de conservation

-          Et qu'est qui te fait dire ça ! Tu dis que je ne suis pas cultivé ? dit-elle d'une façon enflammé en fronçant les sourcils

-          Juste pour avoir employé ce mot, je dirais que tu l'est, dis je amusé de sa façon de s'énerver

-          Et employer, ce n'est pas un mot d'intellectuel ?

-          Je n'ai pas dit que je ne l'étais pas, dit je, vantard

Elle se mit à rire d'un rire léger. Très doux à écouter. Son sourire fendait son visage. Deux faucettes apparurent sur les joues. Trop mignonne ainsi.

-          Quelle modestie ! dit elle en riant

-          Tu es train de dire que je ne suis pas modeste ?

-          Pas du tout.  Et...

Elle se coupa dans sa phrase. Elle parait hésiter.

-          Vas-y..., je l'encourage

-          Et pourquoi est tu là ? Tu n'as pas était blessé à la guerre de Poudlard ? N'est ce pas ? Alors ce n'est pas grave ?

-          Oh... Et ben, disons qu'il y a quelques secondes tu hésitais à me dire quelques choses.

-          J'avais peur que ça te blesse, dit elle en baissant les yeux

-          Il ne fallait pas  le penser, dit je d'une voix douce

Elle relève les yeux. Elle m'observe hésitante, toujours le visage pensé vers le bas. Puis voyant que je souris, elle relève la tête. Elle m'interroge du regard, alors je lui raconte tout.  De sa première question à la dernière. Elle me demanda ensuite les détails et je lui dit tout.

-          Ouf ! soupire elle à la fin de mon récit, j'ai eu tellement peur qui te soit arrivé un truc de grave.

-          Et c'est ce qui c'est passé, ce n'est pas un truc grave ! je m'énerve, Poudlard a été attaqué, des gens  sont morts et c'est pas graves !

-          Si si mais...

-          Sale hypocrite ! je lui hurle à la figure avant de lui tourner le dos, rageur

A  ce moment là, le médicomage rentre comme s'il avait entendu la fin de notre discussion avant d'entrer. C'est même fort possible.  Il s'approche se moi.

-          Bonjour jeune homme, une infermière m'a dit que vous vous êtes réveillez et que vous avez de la fièvre.

-          Oui.

-          Et vous demandez des visites ?

-          Oui.

-          Sachez juste que votre fièvre retombera dans 2 ou 3 jours mais vous pouvez avoir les visites quand vous voulez.

-          Super ! dis-je en souriant

-          Quand voulais-vous que commence les visites ?

Je regarde l'horloge moldues de couleur bleu m'indique qu'il est 16 h maintenant.

-          Puis je d'abord manger et après recevoir les visites ?

-          Bien sûr, nous vous emmènerons à manger tout de suite et après on dira à vos proches qu'ils peuvent venir.  16h 15, ça vous vas ?

-          Oui.

-          Alors, je vais prévenir votre famille le temps qu'une infermière vous amène à manger.

Il sortit. Je me retourne, tournant le dos à Léa. Je sentis qu'elle se lève et s'approche de moi. Elle s'assied sur la chaise à côté de mon lit et pose sa main sur mon bras. Oh... Une chaleur. J'ai envie de me retourner et de l'embrasser. Mais non. Il faut que je tienne. Elle a dit que ce n'était pas grave alors que si.  Elle se penche vers moi. Son souffle chaud caresse ma joue. Je sens que ne je ne vais pas tenir longtemps. Il faut que j'y arrive. Elle me chuchote à l'oreille :

-          Excuse-moi.  Je ne pensais pas ce que je disais.

Mais je ne l'excuse pas. Elle n'avait pas à dire ça. Sentant qu'elle ne me fera pas changer d'avis, elle enlève sa main de mon bras, se lève de la chaise et se retourne vers son lit. Je l'entends qui s'assoit sur son lit. Puis qui se couche. Je ne lui pardonnerai pas aujourd'hui.

Pas encore.

 

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Anna
Posté le 06/11/2016
Hello ! On dirait que Harry Potter t'inspire ! Il faut dire que l'univers est si riche, il y a de quoi u_u
 Cette fois, je te relève les fautes d'orthographe et les inattentions. Après tout on ne s'améliore pas en orhtographe quand on ne sait pas quelles sont nos fautes ! Donc :
-  La bataille de Poudlard ai fini > Est finie
-  depuis qu'il avait sombrait > sombré
- des quelques jours qui avait précédé > avaient
- La bataille de Poudlard était fini et ils en étaient sorti vainqueurs > Finie, sortis
- Les forces du mal avait perdu > avaient
- Une main passa sur son visage sur son visage et l'effaça
- les adieux aux héros mort > morts
- J'avais alors séré > sérré
-  Mc Gonnagal m'a obligé d'aller à st magouste > M'a obligé à aller à St Mangouste. C'est pas très joli, je dirais plutôt "m'a contraint à aller"
-  le sommeil m'avait prix > Pris
-  je n'arrivais pas à me réveillé > réveiller
- Des doigts fins, tellement féminin > féminins
- Quelqu'un d'autre d'autres
- que sa conscience le veulent > veuille
- mes paupières  se levé > se lever
- attrapent mes lunette > attrape, lunettes
- vert cacadois > formulation familière pour le kaki ou l'ocre
-  Une pendule moldu > pas sûr, peut être qu'on dit "Moldue"
-  ça fait deux semaine presque > presque deux semaines
- là ou j'ai attendu > où
- On voit qu'elle ait amusé de mon comportement> qu'elle est amusée par
- à rayure bleus et blanche > bleu
- Elle laisse alors ses doigts caressait mon front > caresser
- Elle passa qu'elle que secondes à les scrutait > quelque secondes à les scuter
- infermière > infirmière
- sont super > supers
-  te la faire disparaitre de moyen magique mais il faut mieux que tu le fasses > par un/des moyen/s magique/s, il vaut mieux
- la porte donc venait > dont venait
- On dirait qu'elle était dans un autre monde > on dirait qu'elle est ou on aurait dit qu'elle était
- Mais je ne t'ai pas à te renvoyer la question, dit elle, amusé > je n'ai pas, amusée
- pas d'idée de conservation > XD tu voulais pas plutôt dire "conversation" ?
- Et qu'est qui te fait dire ça > qu'est-ce qui te
- je ne suis pas cultivé ? dit-elle d'une façon enflammé > cultivée, enflammée
- je dirais que tu l'est > que tu l'es
- Et pourquoi est tu là > es-tu
- Et ben, disons qu'il y a quelques secondes tu hésitais à me dire quelques choses > disons ? tu veux pas plutôt dire "dis-donc" ?, quelque chose
- dit je d'une voix douce > dis-je
- le visage pensé vers le bas > penché
-  j'ai eu tellement peur qui te soit arrivé un truc de grave > qu'il te soit arrivé un truc grave
-  Et c'est ce qui c'est passé, ce n'est pas un truc grave ! > Ce qu'il s'est passé
- Il s'approche se moi > de
- vous vous êtes réveillez > réveillé
- voulais-vous > voulez-vous
- l'horloge moldues > moldue
- nous vous emmènerons à manger > ammènerons
- Il sortit > je suis perdue, tu écris au passé ou au présent ?
 Ouf ! Comme tu peux le voir, il y a quelques petites choses à corriger, surtout pour les accords entre participes et infinitif. Mais je crois que c'est surtout de l'inattention, car tu peux faire une faute à un moment et ne pas te tromper la fois d'après. Donc tu connais la bonne orthographe et conjugaison, on dirait que tu l'oublie juste parfois. 
Autre chose : les tirets entre les mots, comme "dis-je" ne sont pas facultatifs ! il faut les mettre u_u sinon c'est pas beau du tout. Et là aussi, des fois tu en mets et des fois pas. Donc c'est juste une histoire de concentration.
Pour l'histoire, je trouve que c'est sympa de voir ce qui arrive à Harry juste après la guerre. Là, tout est possible, surtout si Ginny n'est pas là. C'est juste un peu dommage qu'elle soit juste allé avec Dean, ça aurait été encore mieux de la faire mourir, tu ne crois pas ? Comme ça Harry aurait du chagrin, il serait difficile à approcher, et Léa pourrait le consoler u_u
Il y a deux petites choses qui m'ont dérangé dans ton texte :
-Les mots "cultiver" et "employer" ne sont pas intellectuels du tout. N"oublie pas que Harry à 18 à ce moment là ! Et sans doute ton héroine au moins 16. Donc je ne pense pas que ces mots là soient trops complexes à leurs yeux ^^'
-La réaction de Harry est compréhensible, quand il se met en colère lorsque Léa sous-entends que ce qui est arrivé n'est pas grave. Cependant, je ne vois pas en quoi elle est "hypocrite" ? Harry pourrait lui repprocher d'être insensible, mauvaise, idiote, ignorante, et être effectivement contrarié, mais lui reprocher ça en l'air, ça casse un peu la scène.
Bref, il y a de l'idée, une suite en perspective, et encore une fois je vois du progrès. Continue à écrire sur ce qui t'inspire ! 
sarah love
Posté le 06/11/2016
hey!!
euh ben... quand j'ai vu toutes les fautes je suis un peu décourager... Mais bon , je l'ai ai lu une après l'autre et certaines auraient pu être évité...
eu, je ne savais pas qu'i était obligatoire de mettre les tirets entre les mots " dis-je". C'est pour ça. Mon ordinateur me le met parfois en rouge, d'autre fois non!!!!
Tuer ginny? oh, ça serait affreux. ça mettrait une meilleure raison peut-être. a la place qu'elle ne l'aime plus mais j'aime trop ce perssonage!
Cultiver et employer ne sont pa intellectuel du tout (je trouve moi même; alors que je suis plus jeune, qu'ils ne sont pas intellectuels) mais je voulais une sorte de dispute entre eux mais qu'elle ne soit pas grave.
et oui, hypocrite n'est pas le mot. je me suis tomper ENCORE une fois (une habitude à ne pas prendre.). Reprocher ça en l'air? tu peux m'espliquer le sens de cette phrase, s'il te plait. (moi je ne suis pas intellectuel. LOL)
Une idée... =) une suite(ça devait être un OS mais j'ai raté cela.) et du progrès!!!! (petit chant de srah love derrière l'ordinateur. s'arrette quand elle remarque que quelqu'un est ans la même piece qu'elle!) Merci encore de toujours venir me commenter,  et oui j'écris de ce qui m'inspire! MERCI!!!!
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