"A quoi est-ce utile, de manger, en fin de compte ?
Le fait-on seulement pour se maintenir en vie ou y a-t-il autre chose de plus… subtil ?
C’est étrange, cette sensation de faim et de satiété, n’est-ce pas !? C’est comme si… le corps a ses besoins que la raison a du mal à appréhender. Nous avons besoin de les satisfaire, c’est impérieux et c’est tout.
Mais pour aller de la faim à la satiété, il faut bien en passer par l’étape nutrition. Passage éminemment mystérieux… fait de sensations, d’impressions, d’émotions, de mémoires… Et de savoir faire, bien sûr.
C’est comme l’amour ! Si, si ! Oh, ne froncez pas les sourcils, je vous explique :
Quand on a faim, le premier acte à poser, c’est préparer un repas. Dans nos pays civilisés, en tous cas, c’est comme ça. Primairement, on partirait à la chasse. Notre instinct animal se réveille. La faim nous commande de rester en vie. Le corps a besoin de carburant. Une fois qu’on a les ingrédients à portée de main, il s’agit alors de les mettre en œuvre, de les rendre bons à manger.
Oui, mais, me direz-vous, nous pourrions tout aussi bien les manger crus. Certes. L’homme de Cro-Magnon a commencé comme ça, d’ailleurs. Mais, alors, pourquoi a-t-il éprouvé le besoin de transformer le comestible en une chose plus comestible encore ? Pour faire mieux ? Meilleur ? Plus agréable ? Plus digeste ? Plus sain ? Pour diversifier ? Pour plus de plaisir ? … de santé, aussi? Ne trouvez-vous pas qu’on pourrait associer ces qualificatifs à l'idée de faire l’amour ?
On pourrait faire l’amour bestialement… un coup de pine par-ci, par-là, et la descendance est assurée. Mouais … c’est comme manger cru ; c’est lassant, les apports sont limités et surtout, c’est d’un ennui mortel. Donc, varier sa nourriture est devenu très vite un besoin et même une nécessité vitale. Comme de faire l’amour mieux que bestialement. Varier les positions, faire monter l’envie, séduire, éprouver du plaisir, les caresses, jouir… varier les partenaires. Stop ! Là, on entre dans la moralité et ce n’est pas le sujet.
Le plaisir motive. Le plaisir comme moteur de vie… n’est-ce pas étonnant ?
Dans notre monde dit civilisé où l’abondance est reine, où nous pouvons bien souvent juste tendre la main et obtenir satisfaction, on oublie presque ce qu’est le plaisir. Combien de couples se sont réduits à néant pour avoir oublié de prendre plaisir tant à partager un repas qu’à faire l’amour ? Le repas se résume à un « passe-moi l’sel » planqué derrière son journal et à une levrette flemmarde couché sur le côté.
Non, mais, hé, réveillez-vous ! Et le plaisir, alors ? Croyez-vous que ce n’est réservé qu’aux épicuriens blasphémateurs, aux anarchistes joyeux ? Non, non, non ! Le plaisir est à tous et vous y avez droit pour peu que vous sachiez le reconnaître.
Il suffit de le désirer.
Comme la fille frigide qui refuse le plaisir pénétrant, celle qui mange obligée, dégoûtée, refuse aussi d’être pénétrée par le plaisir de la nourriture. Oui… Et c’est bien triste.
Manger est donc utile, c’est indéniable. C’est une question de vie ou de mort, rien moins que ça. Et c’est aussi une source de plaisir. Et qu’est-ce que le plaisir sinon une sensation du corps issue de l’amour ? Ah ! Là, on touche aux fondements mêmes de notre rôle ici-bas ; l’amour.
… Je vous expliquerai ce qui me fait dire ça.
Quand vient la satiété, nous avons assouvi la faim. L’envie de rester en vie est satisfaite. Comme lorsqu’on vient de faire l’amour, notre visage et même tout notre corps se détend et on laisse échapper un soupir de contentement comme après un bon repas. Croyez-vous que cette attitude ne soit due qu’au plaisir satisfait ? Il est aussi, figurez-vous, l’expression d’une intégration des énergies subtiles absorbées tant par la nourriture que par les fluides spermatiques et ovariens lorsque nous faisons l’amour.
C’est le fruit de très nombreuses années de recherches et d’expériences personnelles que je vais développer dans ce livre.
Se nourrir n’est pas seulement affaire de survie, c’est aussi un art du plaisir. Les chinois et les japonais en ont même fait une pratique qui s’apparente à la prière et à la méditation. La cérémonie du thé en est une des expressions les plus célèbres.
J’ai découvert qu’il n’y a pas de vie sans amour, comme il n’y a pas de nourriture sans plaisir. Je vous souhaite de trouver dans cet ouvrage tout le plaisir et les découvertes que j’ai pu glaner à travers le monde et dans mon monde intérieur."
Extrait du livre « Manger : un acte d’amour ? »
Solenne de Barjac
J'hésite un peu à poster ce commentaire, vu que cette histoire commence a être un peu loin dans le temps. Mais je me dis que si vous vous décidez à réécrire un jour, toutes formes de critique peut-être constructive.
Alors j'ai adoré le début de cette histoire. L'introduction est merveilleuse, d'ailleurs tous les passages relatifs à la cuisine le sont, on sent que le sujet, le vocabualires sont maitrisé. Ainsi qu'un très fort amour de la cuisine ;).
L'histoire est bien ficellée et apporte sa dose de mystère mais j'ai néamoins une critique à faire:
En lisant ce livre, j'avais l'impression de lire un vrai livre, pas une fiction sur internet. Mais pas le genre de livre que je préfère: Plutôt un genre de roman historico-romantique que j'ai surtout eu l'occasion de trouver chez ma grand-mère et ma tante.
Alors je me suis demandé ce qui me posait problème parce que dans le fond, le côté historique, j'aime ça. Le coté romantique aussi. alors qu'est ce qui ne va pas?
Ce qui ne me va pas , ce sont les héros. Surtout l'héroïne en fait. Belle, (rousse de surcroit) énergique, plus vraiment riche mais avec un château, modeste, très sympatique et généreuse. Il en faudrait peu pour lui coller une étiquette parfaite.
Le côté medium rajoute également une couche de mystérieuse + tourmentée.
Malgré la qualité de l'écriture, je ne peux que trouver cette héroïne ennuyeuse. Il n'y a que dans sa passion, la cuisine, qu'elle parvient à me convaincre.
Sa relation amoureuse aussi me gêne. Autant je trouve que pour Mathilde et Guillaume, je referai bien les même critiques que pour Sollène, Léo réussit à sortir son épingle du jeu avec un bon caractère de cochon.
Cependant, la façon dont il tombe amoureux de Solène me déçoit un peu.
En gros elle l'intrigue vaguement mais sans plus, puis il se prend un coup de reminiscence du passé sur la tête et là, PAF! C'est l'Amour.
Plausible mais un peu triste, non? J'ai un peu l'impression que ça va dans le même sens que le côté un peu trop lisse de l'héroïne.
Bref, j'ai été enchantée par le début de cette histoire mais j'ai un peu lu la fin en diagonale (Il était très tard et j'étais fatiguée, j'en suis désolée). Il y a néanmoins un trés beau potentiel d'écriture et un talent immense pour les descriptions et pour nous mettre l'eau à la bouche.
Peut-être au plaisir de te relire.
GueuleDeLoup
Merci, GueuleDeLoup, d'être passée pour me donner le tiens. Je comprend tout à fait ton point de vue. C'est un premier roman et question personnages, ça aurait pu être mieux, j'en conviens. C'est pas que je les voulais parfaits, mais je crois que j'ai un peu manqué de background ou de "mordant" pour les rendre plus... piquants ? Je ne sais pas comment dire, mais voilà. J'espère me rattraper dans mon prochain roman... un jour... pour un autre récit.
Je suis quand même contente que mon style t'ait plu, c'est déjà bien rassurant. Quant au livre qui est un vrai livre que tu aurais trouvé dans la bibliothèque de ta grand-mère, je ne sais ce que je dois en penser. Sur internet, on trouve de tout, certes, et pourquoi pas le genre du mien ou même de celui de la Passe Miroir qui est né ici ? Je ne vois pas ce que ça change qu'on lise sur le net ou un livre édité. Pour ton information, mon bouquin a été auto-édité sur papier.
Merci GueuleDeLoup.
Biz Vef'
Comme tu y vas, dis !!! Si tu imagines grossir en lisant cette histoire c'est qu'en tout premier lieu, tu es tombée dans piège du terrorisme de la minceur. Ici, pas de complexe, ni de culpabilité. Tu as le droit de lire et te délecter de l'histoire d'amour, de la cuisine et de mes personnages sans modération. La seule restriction que je pourrais émettre, c'est de ne pas lire certains chapitres juste avant l'heure du repas. Là, pour le coup, ce sera une torture.
Sinon, ne t'en fais pas, ouvre tes papilles et tes sens à de nouvelles saveurs et découvertes. Laisse toi aller, promis, tu ne grossiras pas en lisant les Pérégrinations.
Tout d'abord ce couvent ne serait-il point placé du côté d'Autun ????
Je t'explique : Je suis originaire de Saint Vallier à côté de Montceau-les-Mines, de Cluny donc (où j'ai passé un certain nombre d'étés) et de Mâcon où j'ai travaillé quelques temps... Dingue tout ça non ??!!
Sinon pour la forme de ton récit j'avoue que ton écriture est très séduisante. L'entrée en matière me plaît beaucoup, on imagine bien cette toute petit voiture qui vient s'imposer sans crainte au milieu de ces gros camions rugissants et plein de muscles ... (joli parallèle...)
Tes descriptions sont fortes (tes connaissance en vieilles pierre et archi aussi ). J'aime la personnalisation des outils et ce tintamarre dans lequel on plonge d'emblée.
Par contre si la première image de Solène est plutôt sympathique (séduisante même), la façon dont elle rabroue le cuisiniste me dérange un tantinet, même si on comprend que sa douleur est encore vive. Et ces dialogues collent moins, il me semble avec le personnage plein d'énergie et de joie qu'on vient de découvrir. Peut-être suffirait-elle qu'elle se renfrogne (?!).
J'aurai également quelques petits détails à voir avec toi sur le choix de certains mots, mais je préfère le faire sur MP ça me semble plus approprié.
Là je te donne mon sentimet global., et il est très positif. Tes mots sont choisis et on a l'impression de faire partie de la fête au moment du repas : du soleil en plein coeur de cet hiver gris. Un vrai plaisir. (J'aurai préféré un plat en grès plutôt qu'en inox, mais ça, c'est mon côté antique)
La façon également dont tu amènes l'intrigue concernant ces vieux murs et leur histoire sombre me plaît bien. Là, j'ai vraiment envie d'en savoir plus, ça m'accroche, le mystère est là avec ce vieux monsieur qui ne fait pas de bruit, amis qui est là... Et ça fait un réel contraste avec l'ambiance du début. Je vais donc de ce pas me jeter sur la suite !
Solenne est séduisante, c'est vrai, et c'est une forte femme aussi. Si elle se montre aussi directive avec le cuisiniste, c'est parce qu'elle sait ce qu'elle veut et ne veut pas. Elle a ses vérités aussi et entend bien se faire respecter. Et quand on a un tel chantier à diriger, il est préférable de ne pas être trop gentil. C'est comme ça que je l'ai cerné ma cuisinière. Tu verras aussi qu'elle a besoin de toute cette force de caractère car la suite ne va pas l'épargner.
Il y a des choix de mots qui ne vont pas ? Tu pouvais les dire ici, tu sais. Enfin c'est comme tu veux.
Un plat en grès. Lol ! c'est intéressant. Mais en fait, j'ai choisi ici l'inox, car on est sur un repas d'ouvrier et le raffinement n'est pas tout à fait ce qu'on attend d'elle et de sa cuisine. De plus, elle doit tout transporter sur place et autant faire dans le léger et le pratique. Voilà pourquoi j'ai fait comme ça.
En plus, si l'intrigue est accrocheuse, je suis comblée. Merci, Aranck.
Il y a beaucoup de choses dans ce texte. Des réflexions qui en appellent d'autres et qui interrogent le lecteur, le provoquent. Du moins, c'est ce que tes mots entraînent chez moi. J'apprécie le côté cru de certaines phrases, la passion qui s'en dégage, mais aussi la sensualité, la recherche de l'échange, du partage, du frisson, bref de la Vie quoi.
Je passe à la suite avec intérêt.
C'est beau ce que tu dis, n'empêche. Beaucoup de choses dans la vie peuvent être des actes d'amour, c'est vrai. Que cette petite bribe t'inspire autant de choses, c'est beau. Ça me fait plaisir.
Je vais répondre à tes autres commentaires...
Je vais essayer de mettre les points positifs et négatifs pour ce premier chapitre.<br />
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Tout d'abord je trouve sa longueur parfaite. Ni trop court ni trop long.<br />
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Je trouve ton style très bon et plutôt fluide mais c'est assez court. Je préfère en lire plus pour mieux me prononcer.<br />
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Par contre une chose qui m'a gêné, j'ai eu l'impression de lire un texte philosophique et pour dire la vérité je déteste cela.<br />
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Mais bon ce chapitre m'a quand même intrigué et je veux savoir ou va mener cette histoire.
J'ai lu tes commentaires et me voici à t'y répondre. Je trouve que c'est un très bon exercice qu'il nous est proposé de faire grâce aux triptyques. Je pense que je vais arriver à te lire dès aujourd'hui, donc j'arrive très bientôt sur ton texte.
Pour en venir à ton ressenti sur cette "bribe", qui n'est en fait qu'un extrait du livre de Solenne, mon personnage principal, je dois dire que l'idée de le qualifier de philosophique ne serait pas vraiment faux, certes, bien que je ne le considère pas ainsi. C'est juste un point de vue, qui vaut ce qu'il vaut, mais qui fait partie des convictions de ma chère cuisinière.
Mais bon, si malgré cet inconvénient tu poursuis ta lecture, c'est tant mieux. Je vais répondre à tes autres commentaires.
Je ne sais pas si c'est là la bonne réaction, mais je suis proprement ex-plo-sée de rire. Tu m'en excuseras xD
Si j'avais envie d'être plus sérieuse (ce qui n'est malheureusement pas le cas pour le monent! hélas!), je dirais que nous voilà l'ébauche d'un point de vue assez renversant sur la cuisine.
Sinon,il était temps que je vienne jeter un coup d'oeil à l'un de tes textes, Vef! Et j'ai bien fait, parce que ce petit prologue donne tout de suite envie de continuer la lecture. Cette Solenne, je ne sais pas encore vraiment qui c'est, mais elle a un point de vue bien affirmé, ça me plait ^^
Ex-plo-sée de rire, dis tu ? Voilà qui ne manque pas de piment ! huhu ! Hélas ou en effet, dirais-je, cette introduction donne un ton plutôt... léger, ou incongru comme tu veux, mais il n'est là que pour appater le chaland. Non, en fait, j'ai bien une idée derrière la tête qui va être ensuite racontée à travers les pérégrinations de Solenne que tu découvriras dès le prochain chapitre. Peut-être pas aussi drôle, mais bon. Tu verras.
J'espère que ce petit prologue aphrodisiaque ne sera pas trop dur à digérer avec le petit en-cas suivant. Merci en tous cas pour ton commentaire non moins renversant.
Biz Vef'
J'espère pouvoir très vite poursuivre ma lecture !
Oui, Solenne a une vision bien à elle de la manière de mettre en œuvre un repas. C'est parfois un peu déstabilisant, d'ailleurs. Enfin, tu me diras ce que tu en penses pour la suite.
Biz Vef'
En tout cas, ce premier chapitre met l'eau à la bouche, et donne très envie d'aller jeter un coup d'oeil à la suite. Enfin, il ne se contente pas que de ça dans le sens où derrière il y a une vraie profondeur. Il pousse à la réflexion, et il est fort bien écrit !
Bref, je cours la suite... je suis affamée !
Je voyais justement que le Mythe n°2 avançait à grands pas et que je me sentais honteuse de ne pas avoir poursuivi cette histoire, la première que j'ai lu sur Plume d'Argent. Si si ! *remonte Le Mythe plus haut dans sa liste de lectures PA* Bientôt je reviendrai vers toi, c'est sûr.
Alors, comme ça, tu es affamée... hihi ! Remarque, moi aussi, c'est parce qu'une amie IRL vient de me planter un rendez-vous pour manger des sushis et là, j'ai franchement les crocs. Bref, on s'en fiche de ma real life. Je vais me venger sur mon livreur de sushis et je vais les manger toute seule quand même. Ah mais !
Bon, trêve de gourmandise, je suis très contente de te trouver parmi mes lecteurs qui se pourlèchent les babines. Pas peu fière si tu y trouves de la profondeur et que ça te donne à réfléchir. Pour moi, ce récit est un défit envers moi-même et à la fois un jeu et un plaisir. J'y met toute mon expérience de femme et mon plaisir pour la cuisine. Alors, j'espère que l'histoire de plaira.
Je vois que tu as déjà commenté le premier chapitre, alors je vais te répondre de ce pas.
Biz Vef'
Eh bien, ça faisait un moment que j'avais envie de lire un de tes textes Vef, et je ne regrette pas de m'être lancée ! ^^
" On pourrait faire l'amour bestialement... un coup de pine par-ci, par-là, et la descendance est assurée."
Tu m'as tuée avec cette phrase ! XD C'est assez... cru, mais très parlant. ^^ De même que la comparaison entre manger et faire l'amour. Je n'y avais jamais pensé, mais vu sous cet angle, tu m'as totalement convaincue !
Cette fictions à l'air assez atypique, mais quand il s'agit d'un passionné voulant nous faire partager sa passion, je pense qu'on ne peut être que transporté !
En tout cas j'aime beaucoup cette entrée en matière que j'ai lu avec des yeux rieurs et émerveillés. ^^
Je sens que la suite va me plaire...
J'espère que tu te plairas dans mon univers. Si déjà l'entrée en matière te convainc, alors, c'est déjà un bon point pour moi. Oui, tu verras, manger c'est tout une histoire d'amour. Et, atypique, c'est un mot qui me convient parfaitement pour qualifier cette histoire. Mes héros vont aller très loin au fond d'eux-même pour y sonder leur amour et le donner avec gourmandise.
En tous cas, c'est un plaisir pour moi que tu apprécies ta première lecture. J'espère que la suite te sera aussi plaisante.
Biz Vef
Vefree ! J'arrive, avec l'innocence même, et je découvre que manger, c'est hmm... *tousse* *petite voix timide* sexuel ! MAIS TU AS REVOLUTIONNE MA VIE LÀ ! Jamais plus je ne considérerai le chocolat comme avant ! *_*
En tout cas, je te félicite pour cette entrée en matière, c'est très accrocheur et ça me donne très envie de lire la suite, ce que je vais faire ! (Puis, je sens que ça va être instructif... *_*)
Et oui, tu vois, la nourriture est une question de point de vue. Je propose une vision très atypique de la façon d'aborder ce que l'on mange. Tu verras qu'ensuite, c'est vrai qu'on ne voit plus le chocolat et le reste de la même manière. Lol !
J'espère que la suite te plaira, te mettra l'eau à la bouche, voire même t'étonnera...
A bientôt, donc, biz, Vef'
Ça faisait pas mal de temps que ton récit me faisait de l'œil et je profite des Plumes d'Or pour me mettre un peu à jour…
En tout cas, ça commence bien, ce parallèle entre bien faire la cuisine et bien faire l'amour, ça m'a vraiment fait rire et en même temps… ça prend son sens, les arguments de Solenne sont tout à fait justes, c'est un point de vue auquel je n'avais jamais pensé :D Il va falloir que je songe à mettre mon amoureux devant les fourneaux…^^
En tout cas, j'aime d'ores et déjà la façon d'écrire de Solenne, je suppose donc que la suite ne peut que me plaire, n'est-ce pas ? Je m'en vais vérifier de ce pas :D
Mimi
Tant mieux si mon antre est encore accueillante et pas pleine de toiles d'araignées. J'aime bien mon intérieur, alors je le soigne.
Bon, trève de plaisanteries, les Plumes d'Or sont une chouette invention, je trouve. Et bien sûr, j'ai d'autant plus honte de ne pas avoir encore commencé à te lire car je constate que tes personnages vont des ravages à tes lecteurs. Faudra vraiment que je te rende la pareille.
Oui, Solenne a une drôle de façon de voir la cuisine. En fait, elle tombe sous le sens, mais bien souvent on n'y fait pas attention. Je suis contente que ce point de vue t'aie touchée.
Je vais de ce pas répondre à ton autre commentaire.
Biz Vef'
J'ai lu ton prologue d'une traite, et au fur et à mesure, tes phrases me font sourire et me ravissent. Il y a derrière tes idées une réelle profondeur qui me plait. Tes mots invitent à la réflexion, j'adore ! Et quand arrive la fin de cet extrait de livre, qu'on lit Solenne de Barjac... J'ai eu l'impression troublante que peut-être c'était un VRAI livre, que cette Solenne existe et est partie à l'aventure culinaire à travers le monde.
J'espère que la suite ne se fera pas trop tarder, j'ai hâte d'en apprendre plus sur ce que tu nous proposes là. Et dès que j'aurai la tête moins prise, je sais que j'aurai une foule et une tonne de questions à te poser, limites des débats à entamer à avec toi sur tel ou tel point... Ah ! oui, assurément, j'ai beaucoup aimé cet apéritif !
A bientôt donc, et bravo !
Enjoy ! Spilou ^_-
Je suis vraiment très heureuse que mon premier chapitre te mette en appétit. Je ne peux que t'inviter à déballer tes questions toutes autant qu'elles viennent, armée de couteau, fourchette et une serviette autour du cou (dixit le smiley gourmand du fofo). Je me ferai un plaisir d'y répondre. Mettons nous à table. Le livre de Solenne est pourtant bien fictif, mais il s'appuie bien sur de véritables expériences. Et en tous cas, s'il permet de te plonger dans la grande marmite de l'aventure culinaire, tant mieux !
Merci tout plein, Spilou. Ça m'encourage à persévérer.
Biz ! Vef'
J'ai lu avec beaucoup d'attention cette mise en bouche... c'est le cas de le dire, je crois ! ^^
Le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est à la fois original et interpelant. Le genre de réflexion qui amène à réflechir soi-même sur des actes de la vie quotidienne. Un texte-miroir en quelque sorte car on ne peut le lire sans aussitôt penser à soi-même "et moi ? quel mangeur suis-je ? quel est mon rapport au plaisir ?" etc.
J'attends de lire la suite avec impatience pour voir où tout ça va nous mener et me faire une opinion plus précise de cette toute première fiction originale !
Un tout petit conseil bêtement et strictement formel : attention au points de suspension dont tu sembles raffoler (comme moi, d'ailleurs) et aux excès de ponctuation (quand tu mets plusieurs points d'exclamation de suite, par exemple). Essaie peut-être de ne garder que les plus pertinents :o) En effet, ce genre de ponctuation renvoie à un registre oral, alors que, arrivé en bas de page, on s'aperçoit que c'est un extrait de livre.
Voilà ^^ Bonne continuation vefree !
Oh, oui, m'dame ! C'est que... mon enthousiasme m'emporte, bien souvent. Mais, je vais rectifier de ce pas ma fougue d'écriture qui m'habite un peu trop.
*la ptite voix* Tu vois, j't'avais dit que tu en faisais trop, parfois. Tsss !
En tous cas, merci de m'avoir lue si vite et d'avoir trouvé le reflet de cette bribe interpelant. J'espère que la suite saura te séduire aussi.
Biz
Vef'