C'est l'histoire d'un jeune garçon plein d'amour, qui le transmet à tous les gens qui l'entourent, le célèbre et fameux "CUPIDON"
Je pense que vous le connaissez tous. Chaque jour il rempli sa mission, de former des couples et répandre l'amour partout où il se trouve.
Et chaque fois que c'est réussi, tout s'écrit automatiquement, sur un carnet qui s'intitule : «Les Z'amours», avec de l'encre spéciale, que seul Cupidon peut effacer.
La chambre de l'adolescent est située au Sud du ciel. Constituée de nuages roses en guise de murs, et couverts de posters remplis de cœur, il se sent bien à l'intérieur, c'est son univers, son petit cocon.
On ne dirait pas comme ça, mais oui, l'ange change de sous-vêtements tous les jours, seulement il achète les mêmes en plusieurs exemplaires. Son en cas favori est la pomme d'amour, il en mange littéralement TOUT LE TEMPS ! Pas étonnant, vous me direz.
Bref, ce petit être vivait sa belle vie, jusqu'au jour où, quand il ouvrit son carnet, il vit la moitié des noms effacés. Auparavant, on pouvait compter douze millions trois cent milles neuf cent soixante deux pages couvertes d'encre. Maintenant, il y en a onze millions deux cent milles huit cent quarante sept, soit un million cent milles cent quinze pages de moins.
Au début il était dubitatif, il pensait qu'il y avait un problème avec le système des Cieux, et que cela allait se régler dans le temps.
Trois jours plus tard, aucun problème n'avait été résolu. Alors, Cupidon décida de rendre visite à son patron : Dieu.
Une fois arrivé au Paradis, il finit par trouver son chef, qui sirotait un cocktail, allongé confortablement sur un nuage, tout en chantonnant de sa plus belle voix.
C'était un homme grand, fort, à la voix rauque; tellement grand, qu'il fallait lever la tête plus haut que les nuages, pour apercevoir ne serait-ce que le bout de son nez. Il portait une longue tunique blanche qui couvrait ses pieds. Il avait une longue barbe blanche, ainsi qu'un cerceau qui flottait au-dessus de sa tête : une auréole. Enfin, tout était blanc chez lui, parfait pour se camoufler sous un tas de nuages poudreux.
Au premier abord, il a l'air introverti et strict, mais en vérité, il est si attentionné et tolérant. Le garçon s'approche et l'interrompt :
«-Oh mon Dieu ! commença l'ange, en s'inclinant, genou à terre, Dieu des ténèbres et de l'univers, que j'aime et que je vénère tant, comment allez-vous ?》
Le Dieu qui se prélassait tranquillement, tellement plongé dans ses pensées, qu'il sursauta en entendant la voix de son serviteur.
«-Euh.. bien, pourquoi, qu'y a t'-il ? mine de rien.
-Il y a que j'ai un problème avec mon carnet des Z'amours
-C'est à dire ?
-Tout s'est effacé, plus aucun nom, plus aucune trace d'encre, tout ce beau travail gâché ! dit Cupidon agacé.
-Allons, allons, mon ami, ajouta Dieu comme pour le rassurer. Reprenez-vous enfin ! Vous me dîtes tous les noms ?
-Non, pas tous répond l'adolescent.
-Bon alors voilà, ne dramatisez pas les choses.» dit-il d'un air peu serein.
-Vous avez raison, alors que faire ?
-J'entends ce que vous me dîtes, continua Dieu, et je vous promets d'y réfléchir.
«-Oh merci maître !》
Et l'ange repart rassuré, tandis que Dieu se remit à chanter dans son coin.
Des semaines s'écoulaient, mais rien ne se passait, et le chérubin s'impatientait.
Il décida alors de prendre les choses en main, car il savait pertinemment que s'il ne s'en chargeait pas, personne ne le ferait à sa place.
Un beau jour, alors qu'il descendait du ciel pour remplir ses objectifs quotidiens. Qui l'épuisaient, car il savait que ça ne servirait à rien. Il tomba sur quelque chose qui n'allait guerre lui plaire...
Il vit une fillette vêtue de sous-vêtements noirs, un peu comme lui. Les seules différences, c'est qu'elle avait une cape, des cornes et des ailes rouges flamboyantes. Ainsi qu'un arc et des flèches, qu'elle s'apprêtait à tirer sur la maison juste en face.
Dans laquelle on pouvait voir, un couple qui se baladait main dans la main, dans leur jardin. Ils parlaient, riaient, s'amusaient, mais quand la flèche atteint leurs poignets, il se lâchèrent. Et leurs paroles se transformaient en insultes, leurs rires en cris, et leurs amusements en dispute, pour toute sorte de choses ridicules. La femme s'en alla d'un pas décidé, et claqua le portillon.
Un sourire malicieux se dressait sur le visage de la jeune fille en face, comme si elle était fière de son acte. Puis elle s'envola aussitôt, comme si elle était prête à recommencer une nouvelle fois.
Mais ce qu'elle ignorait, c'est que pendant tout ce temps, Cupidon était blotti derrière un buisson, et fronçait les sourcils, car il avait tout vu et il comptait bien prévenir son supérieur.
En tout cas, à présent il en avait le cœur net, on trafiquait son travail, ne restait plus qu'à découvrir qui était cette mystérieuse jeune fille gothique...
Ça fait un petit bout de temps que je ne suis pas venue, alors j'en profite pour faire une petite relecture.
C'est un bon chapitre, relativement bien écrit, mais j'ai juste des petites remarques à faire :
"C'était un homme grand, fort, à la voix rauque. Tellement grand,[...]"
Au lieu de mettre un point au milieu de ces deux phrases, tu peux mettre un point-virgule pour les relier, ça améliorerait la lecture.
"Tellement grand, qu'il fallait lever la tête plus haut que les nuages, pour apercevoir ne serait-ce, que le bout de son nez. Il portait une longue tunique blanche, qui couvrait ses pieds."
Quand tu mets un pronom relatif, tu n'as pas besoin de mettre une virgule devant, ça alourdi le texte, tu as d'ailleurs fait ça plusieurs fois.
"[...] quand il ouvrit son carnet, il voit la moitié des noms effacés." Petit problème de temps, tu mets au passé simple puis au présent, il faut mettre "il vit".
Dernière petite remarque : Pour tes dialogues, tu n'utilises pas le bon tiret, il faut utiliser le tiret cadratin (alt+0151), et en plus de ça, tu mets << >>, mais tu es censée refermer tes guillemet seulement quand il n'y a plus de dialogue.
Petit exemple en utilisant ton texte :
Version original :
"«-Vous avez raison, alors que faire ?»
«-J'entends ce que vous me dîtes, continua Dieu, et je vous promets d'y réfléchir.»
«-Oh merci maître !»"
Version possible :
«-Vous avez raison, alors que faire ?
-J'entends ce que vous me dîtes, continua Dieu, et je vous promets d'y réfléchir.
-Oh merci maître !»
Essayes de mettre un espace entre tes guillemets et la ponctuation, ce serait beaucoup mieux !
(C'était pas si long, non ? Courage, essaye de lutter contre la flemme et surtout, tape ton texte sur PA quand tu as du temps devant toi, on va éviter de touuuttttt refaire !)
Je n'avais même pas capté que je ne les mettais pas moi-même, je me contredis T-T . Alors, dans ce cas, fait comme tu veux !