Chapitre 1: querelle

Par Cordis

J'ai fait un rêve.Un effroyable songe où les cauquemares de leur mains obscures m'enlaçais la gorge.

J'ouvrai doucement mes yeux encore endormi presque noyé dans la torpeur. Mon regard se baladait sur la modeste pièce, à vrai dire le plus luxueux des capharnaüm, en effet c'était là le genre.

Je me levais, trempais mes pieds dans la broussaille pouilleuse qui caressait les armoiries de la la famille Séyies, rejoignais mon frère, ce misérable en neurones doté d'une charmante répugnance. 

Quand il m'eu enfin aperçu il pris l'intonation d'un gars de la campagne avant de demander d'un ton arrogant :

« Oh là mamzell t'a pas oublié d'faire queque chose ? » 

—Qu'ai-je oublié ? Sortir la guillotine pour y déposer ta trombine de foutriquet peut être ? Tu sais que ce que tu fais est delictuel !

—Mais c'est qu'elle est indignée la bigleuse, tu louches cocotte, vas voir un ophtalmo, courtisane de bas étage, même chez tes congénères t'es en bas de l'échelle, tu fais pitié. Je t'avais demandé de me supprimer ces journaux du visioboist !

—Je ne vois pas pourquoi tu veux les supprimer, c'est l'actualité après tout.

—Mensonge !

—Arrête de croire que le monde te ment, à faire le complotiste ça vas te jouer des tours.

Nous entendîmes soudain la porte grincer, ce qui éteinga les étincelles de notre querelle, puisque que l'homme qui en passa le seuil n'était autre que le lieutenant colonel David Séyies.

Il devait avoir tout entendu puisque qu'il se recria de colère et fit mention de notre engueulade. 

—Edgard, Mélodia, cessez vos algarade ! Ed arrête de provoquer ta sœur si tu ne veux pas te retrouver au tribunal ! 

Il ferma les yeux, sortie un visioboist et continua son discours un peu plus quiet. 

—Ed, Mél, j'ai quelque chose à vous annoncer, nous sommes tout les trois convié à la cérémonie du dragon de saphir qui se tiendra le 14 juillet au côté de dame Maria Francesca, j'aimerai pouvoir compter sur vous lors de cette réunion de la plus haute importance. 

Mes yeux s'illuminaient de milles étoiles filantes à l'entente de cette nouvel, là où Edgard semblé au contraire fort agacé. 

Pour une raison que j'ignore il avait en abomination auprès du gouvernement et de tout ce qui pouvait être relié à lui. 

Mon frère vint contrer mes pensé, fit la gorge chaude tout en me demandant :

—Pourquoi tu aimes tant Maria ? 

Je répondait les deux mains jointes contre mon cœur et adouci ma voix. 

—Elle a tout pour elle. Sa musique arrive capturé l'attention de n'importe qui. Elle est respectée de tous et ses chansons amène paix et amour. 

Cette fois il riais à gorge déployé sans s'arrêter. 

—AHAHAHAHAHAHAHAHAHAH ! MAIS QU'EST CE QUE TU ES NIAISE, PUÉRILE GANACHE ! Franchement tu penses que c'est pour quel raison que cette peigne-cul essaye de nous "rassurer" en nous disant d'oublier notre ancien roi ? 

Je me retournais pour ignorer la question , dont en vérité je ne détenais pas de réponse. 

Pour être honnête je préférai voir cela comme une forme d'encouragement vis à vis d'un deuil. 

Cela me faisait rappeler mon cauquemares, avec cette étrange cristal derrière une porte m'ayant l'air vaguement familière, mais enfin bon, je préférais ne pas m'y attardé. 

Car sur l'honneur de Koclys, nous avons juré que plus jamais nous ne seront trahi.

Et puis, Maria ne nous a jamais laissé tombé, n'est ce pas ? 

 

Vous devez être connecté pour laisser un commentaire.
Stefan_G
Posté le 15/10/2024
Le postulat de départ est intéressant. J'aime bien les uchronies en général.

Cependant, plusieurs écueils.
D'abord, le plus visible, les fautes de grammaire et d'orthographe. Facile à corriger de nos jours.
Ensuite l'emploi de mots modernes, voire anachroniques (complotiste, ophtalmo,...) Ça décrédibilise le propos, je trouve.

Ensuite, des formules obscures : "trempais mes pieds dans la broussaille pouilleuse qui caressait les armoiries de la la famille Séyies".

Enfin, je trouve que ça manque de contexte, de description. On ne sait pas où se situe l'action. Un village, un château, dedans, dehors ? Comment sont habillés les personnages (ce qui donnerait une idée de leur niveau social) ?

Bref, il y a de l'idée, mais ça demande un peu de travail.
Cordis
Posté le 15/10/2024
Tout ça sont des éléments renseigné dans les chapitres d'avant justement !^⁠_⁠^
Cordis
Posté le 15/10/2024
Oh attend je viens de me tromper de chapitre je suis désolé, effectivement il y a des choses qui ne sont pas renseigné ici mais dans les chapitres d'après mes excuses
GoatWriter
Posté le 31/07/2024
Cher Cordis,

Votre synopsis offre une perspective intrigante sur une France transformée en Koclys, promettant une utopie cachant des secrets sombres. Le contraste entre l'apparente paix et la vérité sous-jacente est captivant, établissant un cadre riche pour une exploration de la dissimulation et de la révolte.

Dans le Chapitre 1, vous introduisez un conflit familial dynamique entre Edgard et Melodia, qui met en lumière des tensions sous-jacentes liées au gouvernement et à ses représentants. Le dialogue vif entre les personnages ajoute une touche d'authenticité et révèle les personnalités divergentes qui enrichissent votre récit. Les références à la guillotine et aux journaux ajoutent une dimension critique à l'univers de Koclys, tout en instaurant un climat de méfiance et de curiosité.

La scène de la querelle, bien que quelque peu chaotique, est efficace pour instaurer un conflit et préparer le terrain pour la découverte de la vérité. Cependant, certaines phrases pourraient être clarifiées pour renforcer la compréhension et la fluidité du texte. Le contraste entre l'enthousiasme de Melodia pour Maria Francesca et le cynisme d’Edgard est particulièrement bienvenu, apportant profondeur et complexité aux relations entre les personnages.

En somme, vous avez établi une base solide pour une exploration fascinante des thèmes de la vérité et de l'illusion dans une société utopique. Je suis curieux de voir comment les révélations à venir influenceront les personnages et l'intrigue.

Vivement la suite !

GoatWriter...
Cordis
Posté le 15/10/2024
Je te remercie pour ton retour, et je ferai plus attention au détail que tu as relevé !
Vous lisez