Nous allons et nous nous réveillons dans une nouvelle années. Les cuisinier avaient préparé un petit-déjeuner de fête. Je rejoint mon groupe et Tchoquo nous expliqua le but de la journée :
« - Aujourd’hui on va construire une grande barque ou un radeau, vous préférez quoi, explique Tchoquo.
- Je préfère un radeau, ça ira plus vite, suggère Calixte.
- Je donne mon accord, je dis.
- Let’s go, on y va, explose Tchoquo. »
On demande du bois aux constructeurs, mais ils tiennent à le faire eux-même, donc on va faire un répertoire des espèces connues :
- Ruisselant: animal marin qui ronge tout et ressemble a des phoques
-Mourin: animal de la taille d’un éléphant qui mange tout le fond marin.
-Grac: Sorte de gardien marin qui fais la même chose et lui ressemble.
-Corni : un animal impossible a approcher a moins d’un mètre car il est recouvert de corne a part le ventre.
_Charéne ; Animal qui rend justice sur un territoire marin car il parle plein de langue différent comme le Français.
-Mirréne; Animal qui produit des mirage pour attiré ses proie
-Bakin : animal aquatique ressemblant à ornithorynque, mais il a une corne.
-Beur : animal qui donne sa graisse aux autres animaux.
-Bita : insecte aquatique qui se sacrifie aux Bakin.
-Fari : animal blanc qui peut recouvrir tout le monde de blanc.
-Gardiens : animaux ressemblant aux cerfs mais ses cornes poussent en cas de danger. Il prévient et protège les animaux des dangers.
-Lacoux : lapin aux oreilles remplacés par de couteaux.
-Taxi : espèce servant de taxi. Il est très grand et gris.
-Madiga : animal sans poil qui étouffe pour tuer
Mais très vite on s’ennuie, alors on prévoit un planning pour le lendemain. On va visiter toutes les îles qu’on trouve, le soir, on va s’installer sur une île qui sera un avant-poste. On mettra sur cette île de la viande séchée, et on rentrera après et on tracera une carte de cet océan. On fera ça régulièrement pour l’explorer entièrement. Donc voilà ce qui est prévu pour ce mois, on va alterner jusqu’à l’année prochaine, exploration maritime ou terrestre. A midi, les constructeurs viennent nous dire que le radeau est fini et qu’on peut aller le tester. Nos mangeons à la vitesse de l’éclaire et filons l’essayer. Il est très beau, les rondins sont accrochés ensembles avec des planches. Cela fait une plateforme lisse. Nous montons dessus et Fabienne Petitebelid saute dessus pour nous rejoindre, mais le radeau chavire et nous tombons à l’eau. Maintenant nous sommes trempés et le radeau aussi. Nous allons nous sécher au soleil, nous ferons les essais plus tard. Mais très excités de partir, nous retournons le tester. Le gouvernail mis au point marche très bien. Nous pouvons tourner facilement et les barrières nous empêchent de tomber à l’eau. Quand la nuit tombe, nous rentrons à la plage, exténués mais heureux. C’est avec appétit, que nous mangeons le repas préparé par les cuisiniers. Et je reçois un mot de Julien : Rejoins-moi dans ma noix de coco quand la lune sera au sommet du ciel. Quand cette heure arrive, je le rejoins, il me demande :
« - Veux-tu devenir ma compagne ?
- Oui, je bafouille.
- Alors, tu iras prévenir ton chef, explique Julien, maintenant, viens partager ma noix de coco cette nuit. »
Cet ainsi que nous dormons ensemble et le lendemain, nous sortons ensemble de sa noix de coco. Il m’a dit que demain, nous pourrions nous installer dans sa maison. Nous allons voir Tchoquo pour le prévenir que je suis la compagne de Julien.
Tchoquo nous dit qu’on peut décaler le jour de départ. Les constructeurs nous fournissent des meubles et nous aident à rentrer les noix de coco à l’intérieur. Dans notre maison, il y a trois pièces au rez de chaussée et une à l’étage. En haut, nous installons la salle de bain, les constructeurs amènent des toilettes sèches, une chaudière, une baignoire, un évier et un meuble de rangement. Ils nous installent tout. En bas, nous mettons à l’entré le salon, ensuite la salle à manger. Nous ne serons plus obligés de prendre tous les repas avec tout le monde, comme Salomé et Emilien. En dernier la chambre. C’est trop cool, les cuisiniers nous livrent tout tout chaud, chez nous. Nous prenons le repas du midi à la table de la salle à manger. J’ai l’impression d’être au paradis. Sur le toit, il y a une réserve d’eau que la chaudière chauffe pour notre cuisinière et notre salle de bain. Au dessus de la cuisinière, il y a des pots pour préparer des infusions, des tisanes, etc. …
On est pas obligé de préparer nos repas, mais on peut préparer ce qu’on veut, on peut même passer une commande au cuisinier pour avoir le repas qu’on veut. J’adore cette organisation. Hier soir, j’ai vu des sentinelles monter la garde à minuit. C’est impressionnant. Je suis contente d’être là. Le repas du soir nous est livré. Je mange et je lis à la chandelle. Puis je vais me coucher dans ma noix de coco avec Julien. Aujourd’hui nous partons explorer. Nous passons devant les îles que j’ai déjà explorées avec Julien. Nous ne nous arrêtons pas et continuons. La première île que nous avons croisées avait l’air inabordable : des îlots de verdures nous en empêchaient. Derrière il y avait de hautes montagnes. Mais dans une grande crique, une petite île était abordable sur deux plages en forme d’ailes. Nous débarquons sur l’une d’elle et établissons notre camp pour la nuit. D’ici, nous voyons que de la mer à perte de vue. Le lendemain nous partons explorer cette petite île : surprise, un pont de pierre la lie à la grande île. Nous entrons dans une forêt claire sans liane. La progression est facile. En début de soirée, nous arrivons au pied d’un piton rocheux. Ce soir, nous allons dormir là, mais avant, nous allons discuter :
« - Nous pourrons laisser quelqu’un ici et il explorera l’île. Nous le récupérerons au retour, propose Gourmi.
- Bonne idée, vous pourrez me laisser ici, je construirai une maison et j’explorerai l’île, je propose.
- D’accord, approuve le reste du groupe. »