Des bruits réguliers réveillèrent Alya en plein milieu de la nuit. Elle avait l’impression que l’on toquait à sa fenêtre. Elle resta un instant immobile, s’attendant à ce que les sons s’éloignent. Non. Ils persistaient. Elle jeta un coup d’œil sur sa montre : il était près de cinq heures du matin. Une dizaine de messages de Jun s’affichèrent. Les yeux rougis par le sommeil, elle souleva sa couette et s’avança vers la baie vitrée. Une fois celle-ci ouverte, elle découvrit une scène déconcertante.
Jun était installé dans un aérosphère au toit ouvert et portait un habit de patrouilleur.
— Alya ! J’ai cru que tu ne te réveillerais jamais !
— Qu’est-ce que tu fais là ? questionna-t-elle alarmée.
— Nous devons partir ! Maintenant ! Mon père vient de me prévenir. Dans une heure, les Têtes vont déclencher un éclair d’absence général !
— Quoi ? hoqueta la jeune femme. Tu en es sûr ?
— Ta grand-mère est-elle rentrée ?
— Non, je ne crois pas.
— Ça ne m’étonne pas. Les Têtes se cachent dans les salles anti-rayons de la Cité.
— Non, elle nous aurait prévenues…
En prononçant ces mots, elle sut qu’elle avait tort.
— Mais pourquoi maintenant ? C’est si soudain !
— Je t’expliquerai en route ! Prends tes affaires et monte ! Le temps presse ! Je vais me faire repérer !
Alya le fixa, désespérée.
— Mais… Mais non, balbutia-telle. Je ne peux pas. Je ne peux pas partir sans ma mère !
Ils se dévisagèrent un instant. La jeune femme vit miroiter l’hésitation dans les prunelles de Jun. Elle craignit de l’entendre dire que c’était impossible.
— Alors, va la chercher ! lui ordonna le jeune homme.
Alya ne se le fit pas dire deux fois et courut jusqu’à la chambre d’Éline. Sa mère, en boule dans son lit, dormait profondément. Elle la secoua avec force.
— Maman ! Maman ! On doit partir ! Les Têtes vont nous effacer la mémoire !
Des grognements lui répondirent.
— Alya… Ce n’est pas grave, murmura la voix enfouie dans les couvertures, c’est comme d’habitude.
— Non, ça n’a rien à voir. Si j’oublie ce qu’il s’est passé ces dernières semaines, je vais devenir folle ! Lève-toi ! On doit partir de la Cité ! implora la jeune femme en empoignant la chemise de nuit de sa mère.
Éline s’assit avec maladresse sur le rebord du lit, le visage étrangement serein.
— Alya, je n’ai pas envie de partir… Ton père me l’avait déjà demandé. Je souhaite rester ici. C’est ma vie.
— Non, tu ne peux pas choisir de rester là, maman, l’exhorta Alya. Moi, je dois m’en aller !
Éline caressa avec douceur la joue de sa fille ainsi que sa main, toujours posée sur l’ourlet de sa robe.
— C’est le lot des parents de voir leurs enfants partir…
Une boule se forma dans la gorge d’Alya. L’émotion gagnait chaque partie de son corps et de son esprit.
— Non, je ne suis pas d’accord, rétorqua-t-elle d’une petite voix.
— Je savais que ce jour arriverait, ma puce.
— Mais qu’est-ce que tu racontes ? s’énerva Alya en s’affalant au sol. Maman ! Pars avec moi ! Je t’en prie ! Il n’y a rien pour nous ici !
Éline passa ses doigts dans la chevelure de sa fille pour l’apaiser.
— Je t’aime, ma puce. Plus fort que tout, rappelle-t’en quand les temps seront durs.
Les larmes montèrent aux yeux d’Alya, elle posa sa tête contre les genoux de sa mère.
Elle ne pourrait pas la faire changer d’avis.
Elle allait devoir l’abandonner.
Au plus profond d’elle-même, elle l’avait toujours su, mais cela ne rendait pas l’adieu moins déchirant.
Affligée, elle sortit de sa poche de pantalon le dessin de Jun représentant Valek. Elle s’y était dessinée juste en dessous, courant dans la cité. Elle le donna à sa mère.
— Ne nous oublie pas, s’il te plaît…
Les derniers mots s’étranglèrent dans sa gorge tant l’émotion la submergeait. Elle était incapable de dévisager sa mère. Elle aurait voulu lui dire qu’elle reviendrait, qu’elle trouverait un remède, mais les phrases ne passèrent pas la barrière de ses lèvres. Eline l’enlaça et susurra à son oreille.
— Fais attention aux Dieux, Alya… J’ai perdu ton père à cause d’eux.
Alya, en sanglots, ne releva pas l’incongruité du propos et se détacha brusquement de l’étreinte maternelle. Si elle ne quittait pas la chambre maintenant, elle n’en partirait jamais.
La jeune femme sortit de la pièce en trombe et courut dans un tourbillon nébuleux tant les larmes brouillaient sa vision. Comme un automate, elle s’empara de son sac de voyage, qu’elle avait commencé à préparer, et y ajouta différents objets sans vraiment y porter attention. Elle se tourna enfin vers la fenêtre. Jun, la main tendue vers elle, lui faisait signe de le rejoindre. Il n’avait pas l’air surpris qu’elle ne soit pas suivie de sa mère. Tremblante, Alya lui donna son sac puis elle chavira à l’intérieur de l’habitacle. Lorsque le toit se referma, une sensation d’oppression la saisit, le chagrin lui donna le vertige et lui confisqua le souffle. Elle ne se rendit pas compte que l’aérosphère glissait dans l’avenue à toute vitesse. Le regard fixe, les immeubles familiers se succédaient comme autant de mirages.
Le souffle rauque de Jun contrastait avec sa respiration haletante. Il ne chercha pas à l’apaiser. Ses traits étaient tirés par la concentration.
— Je vais d’abord te déposer à la salle du Sillage et ensuite je vais rejoindre les autres. J’espère qu’ils ont tous reçu mes messages. L’éclair d’absence va être activé dans 45 minutes. Ils vont effacer six mois de souvenirs.
Alya s’étouffa sous la nouvelle et ses sanglots reprirent de plus belle.
— Ils veulent se laisser du temps pour trouver un remède, déclara-t-il, mais c’est un énorme risque.
L’aérosphère filait dans le vide et Alya eut l’impression que son esprit se diluait dans la nuit. Partait-elle vraiment ? Ce jour si attendu advenait-il ? L’abandon de sa mère creusait une brèche dans son cœur. Plus les bâtiments se succédaient plus elle se sentait ployer sous le joug de la culpabilité.
Jun lâcha soudain une dizaine de jurons. Alya releva le visage émergeant de son marasme mental. – Que se passe-t-il ?
— Une patrouille. Ils nous ont repérés.
Elle se retourna. Un frisson d’horreur la parcourut : une bulle rouge perçait le vide à grande vitesse.
— Peuvent-ils nous arrêter ?
— Oui, les aérosphères des patrouilles possèdent des rayons paralysants. Si l’un d’entre eux nous touche, le véhicule sera immédiatement immobilisé et ils pourront nous stopper.
À cet instant, un trait lumineux écarlate passa à quelques mètres de leur engin.
— Comme celui-là.
— Oh, Jun… Qu’est-ce qu’on fait ? s’écria Alya, paniquée.
Son visage devint un masque de détermination. Comment pouvait-il rester si calme ?
— On les sème.
Sans attendre, il bifurqua dans une ruelle étroite où les bâtiments se touchaient presque. Alya ne cessait de regarder derrière elle, le cœur battant à tout rompre. Les patrouilleurs s’engagèrent dans la rue. Des éclairs rouges vinrent se perdre non loin d’eux. La jeune femme agrippait son siège de toutes ses forces. Jun zigzaguait dans l’espace, concentré. Il arrivait pour le moment à esquiver les tirs de leurs poursuivants. Soudain, Alya étouffa un cri qui fit sursauter Jun.
Un second aérosphère venait d’apparaître derrière eux. La course-poursuite s’annonçait mal.
La ruelle se termina et ils débouchèrent sur une artère gigantesque où les gratte-ciel les plus hauts se réunissaient. Jun abaissa le volant, l’appareil se retrouva dressé à 90 degrés. Ils furent plaqués contre leur siège alors que l’aérosphère fusait vers les terrasses des immeubles. Une fulguration rouge s’égara près d’eux. Quelques centimètres vers la gauche et ils auraient été touchés. L’appareil se faufila à travers les ponts et les ascenseurs de verre puis, pendant un instant, ils se retrouvèrent au-dessus de la ville. Surmontant les tours et les toits désordonnés, Jun prit la direction des anciens quartiers.
— On pourrait se cacher, Jun ! Regarde cette terrasse, elle peut aisément nous dissimuler à la vue des patrouilleurs !
— Nous n’avons pas le temps, Alya. Il nous reste moins de trente minutes avant l’éclair d’absence.
L’évocation de l’heure rendit la jeune femme nauséeuse. Elle ne supporterait pas de perdre six mois de son existence. Elle ne supporterait pas d’oublier les dernières semaines. Cela la rendrait définitivement folle.
Cette manœuvre allait aliéner la plupart des habitants. Jamais les Têtes n’avaient tenté un Oubli aussi important.
Sa cité était vouée à l’implosion.
À la vue des habitations grisâtres des premiers résidents, un infime espoir commença à germer dans son esprit. Ils arrivaient. Jun entama une descente vertigineuse en serpentant parmi les passerelles et les terrasses. Elle avait l’impression qu’il avait conduit à cette vitesse toute sa vie. Elle se retourna : une seule bulle rouge les suivait.
— Jun, l’une des patrouilles a disparu…
Il ne réagit pas, focalisé sur la conduite. Il fit une embardée pour éviter de justesse un trait lumineux et fonça vers un bâtiment marron. Alya, toujours sur le qui-vive, regardait de tous côtés pour essayer d’apercevoir la patrouille envolée. Soudain, elle hurla, remarquant enfin l’engin dissimulé derrière un pont :
— ILS SONT LÀ ! TOURNE À GAUCHE !
Trop tard : le tir avait atteint son but. L’aérosphère s’immobilisa immédiatement, les commandes ne répondirent plus, les lumières disparurent. Leurs ceintures de sécurité freinèrent leur projection. Alya fut complètement sonnée par le choc. Jun, sembla un instant aussi sonné avant d’ouvrir le toit de l’aérosphère. L’engin semblait s’être arrêté, par miracle, près d’une fenêtre. Le jeune homme attrapa leurs affaires, se posta près du vide et donna de puissants coups de pied dans la baie vitrée. Celle-ci après plusieurs tentatives explosa en de multiples débris, plusieurs morceaux vinrent se planter dans le corps de Jun. Il n’y prêta aucune attention, comme s’il s’agissait de vulgaires taches de peintures, et pénétra dans la pièce. De là, il tendit les bras vers Alya pour l’aider à s’extraire de l’engin et passer à l’intérieur, tout en évitant les dents de verre. La jeune femme, toujours hébétée et maculée de sang, bascula dans ses bras au moment où les patrouilleurs arrivaient à leur rencontre.
La lumière s’alluma dans la pièce, Jun se rua vers la personne endormie dans le lit et la tira de force de ses draps.
— OUVRE-NOUS ! s’époumona-t-il
Le clone, terrorisé, courut jusqu’à la porte d’entrée et apposa son pouce sur le lecteur d’identité. Jun et Alya sortirent avec précipitation de l’appartement, dans la panique la plus totale.
— Où est-on ? pressa la jeune femme affolée.
Jun jeta un coup d’œil à sa montre. Il avait téléchargé une carte de la ville et un point bleu indiquait sa localisation.
— C’est bon, on n’est pas loin. Suis-moi.
Ils se mirent à courir dans les couloirs de la Cité. L’adrénaline l’envahissait. Ils filèrent dans les escaliers, descendant toujours plus bas dans les entrailles de Mallaig. N’entendre que le martèlement de leurs pas la rassura. Personne ne les suivait. Ses foulées s’attachaient à celles de Jun dans un rythme presque identique.
Ils passèrent devant de nombreuses salles, puis Jun ralentit enfin l’allure et s’arrêta face à une porte blanche, similaire à tant d’autres. Essoufflée, ensanglantée et épuisée, Alya s’adossa contre le mur.
— C’est ici. Ça donne sur une pièce que seuls les Silleurs peuvent ouvrir, l’informa Jun d’une voix enrouée.
Alya sentit ses épaules s’affaisser sous un poids invisible. La terreur s’empara d’elle à l’idée d’être livrée à elle-même. Pendant toutes ces années, elle avait cru être seule, elle avait envisagé de tout faire par elle-même. Compter seulement sur ses capacités, son raisonnement, sa force intérieure. Elle avait bâti des murs, des défenses pour garder le cap. Jun pourtant avait contourné les murs et il avait obtenu sa confiance et là, elle allait être de nouveau abandonnée.
— Tu ne peux pas passer avec moi ? supplia-t-elle.
— Non. C’est impossible et je dois rejoindre les autres. Sans moi, ils ne pourront pas s’échapper.
La jeune femme se mit à trembler. Elle n’avait pas envie qu’il la laisse. Et si son plan avec les autres recrues ne fonctionnait pas ? Et si elle se retrouvait toute seule dehors et qu’elle ne le revoyait jamais ?
Jun lui saisit les mains pour la rassurer.
— Tu peux y arriver, Alya. Ne t’inquiète pas. On se retrouve à l’Extérieur.
La jeune femme plongea son regard dans ses yeux. Elle y lut un déchirement aussi fort que le sien et cela l’apaisa un peu.
Alya porta leurs mains entremêlées à ses lèvres. Leurs fronts se touchèrent. Elle ferma les yeux.
— Merci pour tout, Jun, susurra-t-elle.
Elle désenlaça ses doigts de ceux du jeune homme et se retourna vers la porte. Elle ne pouvait plus faire demi-tour. Les pas du jeune homme s’éteignirent dans le couloir et le silence lui succéda.
L’ambiance pesante, assourdie la tétanisa jusqu’à ce qu’elle entende de nouveaux bruits de pas qui l’ébranlèrent.
D’un mouvement vif, elle poussa la porte battante et pénétra dans une petite pièce sombre. Seules des veilleuses orange éclairaient faiblement la salle. Un immense tableau blanc occupait tout le mur. En son centre, un sillage avait été dessiné. Les trois sillons parallèles semblaient se mouvoir sur la surface glacée du tableau. Elle s’approcha jusqu’à se tenir à quelques centimètres de la cloison. Instinctivement, elle posa sa main sur la paroi. Des picotements lui remontèrent des doigts, puis dans le bras et enfin jusqu’à l’épaule. Une violente sensation de brûlure la saisit. Elle eut l’impression que son Sillage prenait feu et qu’il bougeait…
Celui sur le mur s’agita, chaque ligne forma un cercle et le Sillage devint un nouveau symbole. Trois cercles parfaitement concentriques.
La pression sous la main d’Alya disparut et son bras traversa la paroi, se noyant dans un liquide tiède et blanchâtre. Elle resta complètement abasourdie par le phénomène puis décida d’avancer. Elle eut l’impression de traverser un bocal empli de formol. Avec une grande inspiration, elle disparut dans cette sève incolore. Elle fit quelques pas en retenant son souffle puis sa main tendue retrouva l’air sain, et son corps tout entier. La chaleur du dehors l’enveloppa. Ses premières respirations lui provoquèrent une toux violente comme si ses poumons s’habituaient à l’atmosphère réelle de la Terre. Fébrilement, elle avança et trébucha contre un caillou. Elle tomba sur le sol rocailleux. Pas de ciment ici. Pas de sol miroitant. Seulement de la terre à perte de vue. Ses doigts égrenèrent les composants de ce monde qu’elle découvrait enfin. Une bourrasque tiède souleva ses vêtements et ses cheveux.
Les brises l’enveloppaient. Des odeurs assaillaient ses narines. Tant d’odeurs. Toutes inconnues. Quelles sensations étranges ! Elle avait réussi. Elle était dehors !
Elle se releva péniblement, avança dans le désert puis fit face à Mallaig.
La cité, encore plongée dans le noir, semblait flotter dans un liquide étrange. Les tours de la ville rappelaient un cristal. Elle était belle, d’ici. Elle resta de longues minutes à observer Mallaig, obnubilée par ce paysage si familier et soudain si lointain.
Subitement, un éclair blanc frappa la cité : le flash d’absence. Cela l’éblouit, mais Alya ne s’évanouit pas comme à l’accoutumée. Elle espéra de tout son cœur que Jun et les recrues avaient réussi à s’échapper. À l’intérieur de la Cité, les clones se réveilleraient avec six mois de leur vie effacée…
Elle porta une main à son dos. Son Sillage la brûlait toujours, elle avait l’impression qu’il pulsait à un rythme décalé de son cœur. Peu à peu, des images s’imposèrent à son esprit.
Non, pas des images. Des souvenirs.
Elle se rappelait tout.
De son père.
De son grand-père.
De chaque moment effacé.
De chaque moment oublié.
Les larmes roulèrent sur ses joues.
— Alya ?
La voix qui la tira de son passé lui était grandement familière. Elle se retourna, s’attendant à ne découvrir que le désert et les montagnes à perte de vue. Le choc la tétanisa.
— Grand-mère ? Mais qu’est-ce que tu fais là ?
Tu en gardais sous le coude hein ?! La vache !!! J'ai été pris aux tripes !!!
JE VEUX UN FIIIIIIIIIILM !!!!
Bon je me calme et on y va :
1. Lecture extrêmement fluide (au passage c'était déjà le cas dans les premiers chapitres, et je suis content de retrouver cette fluidité).
2. Magnifiques descriptions de la scène d'action (sensations de vitesse + vertige + tensions de la poursuite à cause des poursuivants)
3. Jun hyper concentré qui ignore les propos d'Alya, c'était tellement bien fait que je le voyais piloter l'aérosphère comme si j'étais au ciné (oui oui je me répète par rapport au film).
4. Ca va droit au but. Incroyable.
Je me répète, mais c'est un bouquin qui se relit pour saisir la puissance du récit. Pas possible autrement. (J'en profite pour répondre à un commentaire d'hier :) --> Niveau personnages, j'avais juste eu du mal à saisir les tenants et aboutissants concernant Kian, le Kâ et leur univers à eux. Tous les autres ça allait. Mais maintenant ça va pour tout le monde, j'arrive à suivre. Sinon niveau violence j'étais surpris à moitié vu la dureté de l'univers. Mais comme j'ai pas souvenir d'en avoir vu au début, ça reste surprenant.)
5. C'est plus de mon côté, mais comme indiqué dans mon message de présentation sur le forum, je suis un passionné de musiques de film. Du coup, même SANS SAVOIR que le chapitre allait être une course poursuite, je l'ai lu comme les précédents avec une bande originale.
Pour info, j'ai mis la première musique de la BO du Labyrinthe III. La voici : https://www.youtube.com/watch?v=cNYb6reeDx4&list=PL70BAiJ_Aqr-u-6TE3jyAuM_62u6_Iw5j&index=1
Crois-moi, ça m'a pris aux tripes. Ca matchait à la perfection. J'en croyais pas mes yeux à quel point j'étais à fond dedans. De la folie. Je suis choqué. Je vais relire ce chapitre.
Merci pour cette aventure <3
Tu DOIS trouver un éditeur à tout prix. Pas le choix.
Alors, c'est vrai que j'ai soigné ce chapitre et que j'écoutais moins même une musique de film (mais pour ce passage, je ne sais plus laquelle). Après, j'ai écouté celle que tu m'as envoyée et c'est vrai qu'elle colle parfaitement à ce passage ! C'est dingue :)
Franchement, j'ai hâte que tu arrives sur la fin, pour savoir ce que tu penses des rebondissements finaux (car oui, tu n'es pas au bout de tes surprises :p) - oui, je te vends le truc effrontément :p
Pour l'éditeur, figure toi que j'ai commencé les envois depuis 1 an et demi et pour l'instant c'est chou blanc, j'ai eu deux retours construits très élogieux (que je t'enverrai si tu veux quand tu auras fini ta lecture pour que tu puisses me dire ce que tu en penses !)
Bref, je n'ai pas encore eu tous les retours car avec le covid, il y a des traitements plus longs encore des manuscrits...
Allez je file répondre à ton dernier commentaire mais franchement merci pour ces commentaires <3
Et sinon : fan-tas-tique ton message :) et bien évidemment je suis pour recevoir les retours des éditeurs quand j'aurai fini le livre.
PS : Je t'imagine bien en cours, la main sur la bouche pour ne pas rire trop fort ^^ hahaha
Et cette fin qui sonne l'heure de tous les mystères haha, j'adore <3
Je suis super contente de t'avoir entraîné dans cette course poursuite :p
Tu t'y attendais de voir débarquer la grand-mère ?
Le chapitre suivant est riche en rebondissement aussi ;)
A bientôt Louison <3
plusieurs morceaux vinrent se planter dans le corps de Jun. Il n’y prêta aucune attention, comme s’il s’agissait de vulgaires taches de peintures = Non, les morceaux de verre ne ressemblent pas à de la peinture, je suppose que tu voulais parler du sang, mais dans ce cas il faudrait le formuler autrement // Comme si son sang répandu n’était que de vulgaires tâches…
Super aussi la façon dont les peurs de Alya ont été écrites. Je suis toujours autant intriguée par ces « sillages » d’autant plus que c’est le titre du livre, pour l’instant on ne sait pas encore trop ce que c’est… ça promet d’être intéressant !
Yess ! les souvenirs reviennent, du coup j'ai la réponse à ma question, je suppose que la fille qui ne pouvait plus parler a retrouvé l'usage de la parole ? à moins que son état à elle soit trop grave pour être guéri ? Je me suis demandée un instant si tu n'allais pas coincer Alya alors que tous les autres s'enfuient... ça aurait été bien sadique mais nous lecteurs, on aurait vraiment flippé pour elle !
Tu as totalement raison pour les taches de sang, je vais la changer^^
"Super aussi la façon dont les peurs de Alya ont été écrites. Je suis toujours autant intriguée par ces « sillages » d’autant plus que c’est le titre du livre, pour l’instant on ne sait pas encore trop ce que c’est… ça promet d’être intéressant !" => Tu vas en savoir plus bientôt :) (le prochain chapitre avec Alya!)
"Yess ! les souvenirs reviennent, du coup j'ai la réponse à ma question, je suppose que la fille qui ne pouvait plus parler a retrouvé l'usage de la parole ?" => Tout le monde ne va pas retrouver la mémoire malheureusement...
Je me suis demandée un instant si tu n'allais pas coincer "Alya alors que tous les autres s'enfuient... ça aurait été bien sadique mais nous lecteurs, on aurait vraiment flippé pour elle !" => j'y ai pensé ! Mais cela ne va pas avec la suite de l'histoire :p
Petites propositions de style :
" Les larmes montèrent aux yeux d’Alya, elle posa sa tête contre les genoux de sa mère " : deux passés simples ainsi suivis me perturbent... A mon avis, tu pourrais remplacer la virgule par un "et" ou mettre l'un des verbes à l'imparfait en modifiant un peu la structure
Jun pourtant avait contourné les murs et il avait obtenu sa confiance : Problème dans la place du "pourtant" dans la phrase.
"La pression sous lamain d’Alya" : mots collés (scène où elle se retrouve face à la porte)
puis sa main tendue retrouva l’air sain, et son corps tout entier : J'ai un peu beugué sur cette phrase... Peut-être mettre un "suivi par son corps tout entier" ?
Voilà, j'espère que ça te semblera pertinent ! :)
"Ce cliffanger de FOU :-O" => Ahahah oui, on se dit mais qu'est-ce qu'elle fout là, la grand-mère^^
Je note pour les remarques sur certaines phrases, cette version n'était pas la plus à jour, je vais voir si j'avais pas déjà un peu modifié^^
Mais en tout cas, ne t'inquiète pas, toute remarque est pertinente ;)
Alors, dans l'ensemble :
Au début, je trouve Alya énervante ! Mais ça se comprend avec son âge on va dire. Mais scrogneugneu je ne veux pas combattre, rolala Jun m'a regardée ! IN-SU-POR-TA-BLE xD
Ça doit faire partie de son caractère, mais ça m'a étonnée c'est vrai ^^
Le passage avec Eline me brise le cœur. Quelque chose chez Eline m'émeut et même si je doutais qu'elle ne la suivrais pas (parce que c'est souvent ce qu'il se passe dans ce genre de situation), j'en suis super triste.
Tu as réussi à créer autant d'émotion pour un personnage si peu évoqué, bravo !
Une course poursuite !!!! J'adore les courses poursuites ! Un régale ! Avec la tension liée au temps qu'il leur reste avant d'oublier 6 mois de leur existence, c'est vivant, stressant, prenant : On adore !
Mes coquillages et autres crustacés :
"Nous allons passer à la dernière phase de la préparation, commença Jun, l'entraînement au combat."
-> C'est étonnant que ce soit la dernière phase. Généralement l'entraînement au combat est quelque chose de long si on n'en a jamais fait.
Ta scène du début me fait presque penser à l'entraînement dans Hunger Games, le moment où certains s'entraînent à la force, lancer de couteau, tir à l'arc ou alors au camouflage.
Je verrai bien un mélange pareil où certains étudient les différents animaux pendant que d'autres s'entraînent physiquement et ça alterne.
Mais j'imagine que ça t'embête de tout changer :/
"Jun l'appela. Elle attendit qu'il la rejoigne."
-> Jun appelle qui ? Elle qui ? il manque du Alya dans le paragraphe pour qu'on se situe vraiment, juste avant tu parles des clones et pas d'Alya, donc c'est bizarre.
"Alya fixa intensément le sol en réfléchissant à cette possibilité, peut-être est-ce le cas ? Comment savait-il pour son grand-père ?"
-> Dans mes souvenirs, Alya n'est pas du genre à baisser les yeux, même si Jun la trouble, le fait qu'il sache pour son grand-père devrait lui faire passer son trouble pour qu'elle l'interroge du regard, non ?
"Pars avec moi ! Je t'en prie !"
-> Je t'en supplie aurait encore plus de poids et d'émotion je trouve.
"Elle ne supporterait d'oublier les dernières semaines."
-> Elle ne supporterait pas*
Ta course poursuite mériterait d'avoir un peu plus de description de la ville je pense, ça ferait des respirations pour le lecteur, qui retient son souffle ;), et aussi parce que tu en fais déjà, mais elles sont à peine assez développées, ce qui est assez frustrant. J'ai eu du mal à comprendre comment étaient fait les ponts et les terrasses. Et redécrire la forme des bâtiments, leurs matières... Ça ne fait pas de mal ;)
"Lorsque votre mémoire vous fait défaut et que vos proches parents désertent ou perdent la tête, l'avancement solitaire paraît le seul chemin possible."
-> L'utilisation du "vous" ici est très déroutant, je ne sais pas si tu l'as utilisé jusqu'ici :/
"Elle était belle d'ici. Elle resta de longues minutes à observer Mallaig."
-> Elle qui ? la cité ou les tours de la ville ? Et pareil pour le Elle représentant Alya. Ce passage peut être retravaillé ;)
Whaaaaat ce cliffhanger !!! :o :o :o :o Et le fait qu'elle se rappelle de tout ! Oulala hâte d'en apprendre plus sur ses souvenirs oubliés !!!
"Au début, je trouve Alya énervante ! Mais ça se comprend avec son âge on va dire. Mais scrogneugneu je ne veux pas combattre, rolala Jun m'a regardée ! IN-SU-POR-TA-BLE xD" => Ce souhait qu'à Alya d'être non-violente, je ne sais pas si je vais le garder ou en tout cas je vais le traiter différemment. Surtout qu'ici, je vais couper ce chapitre en deux en développant la partie entrainement et en rajoutant un passage où Alya va voir sa grand-mère au Conseil des Têtes. Je voulais rajouter des infos sur les particularités des Génomes :p
Pas étonnant que la scène te fasse penser à hunger games ! J'ai débuté ce bouquin au moment où j'ai découvert Hunger games donc il y a quelques empreintes... lol
Mais, tu as raison, terminer pas le combat n'est pas forcément la meilleure stratégie, et tu n'as pas été la seule à me le dire donc c'est pour ça que je vais couper le chapitre en deux (donc du coup je vais tout changer !)
"Le passage avec Eline me brise le cœur. Quelque chose chez Eline m'émeut et même si je doutais qu'elle ne la suivrais pas (parce que c'est souvent ce qu'il se passe dans ce genre de situation), j'en suis super triste.
Tu as réussi à créer autant d'émotion pour un personnage si peu évoqué, bravo !"=> Merci ! Je suis contente si le passage a réussi à te toucher ! C'est ce que je voulais !
"Dans mes souvenirs, Alya n'est pas du genre à baisser les yeux, même si Jun la trouble, le fait qu'il sache pour son grand-père devrait lui faire passer son trouble pour qu'elle l'interroge du regard, non ?"=> Mmmm je vais relire, dans mon idée de départ, elle est confuse. Dès qu'on parle de son père ou de son grand-père, elle perd un peu ses moyens.
Je note pour les descriptions de la ville, ce sera rajouté dans la future réécriture :)
"Lorsque votre mémoire vous fait défaut et que vos proches parents désertent ou perdent la tête, l'avancement solitaire paraît le seul chemin possible." => Tu n'es pas la seule à avoir beuguée sur cette phrase. Je vais la reprendre.
"Whaaaaat ce cliffhanger !!! :o :o :o :o Et le fait qu'elle se rappelle de tout ! Oulala hâte d'en apprendre plus sur ses souvenirs oubliés !!!" => Ouiiiiiiiiiiii j'adooooore les Cliffhangers :) Tu vas me tuer dans la deuxième partie :p
Pleins de bisous volants
Merci encore pour tes remarques <3
Et voir le conseil des Têtes aussi peut être intéressant pour comprendre un peu plus la politique de Mallaig o/
Que de bonnes idées ! J'ai hâte de lire ça ;)
Bon, figure-toi que dans ma tête je m’étais blindée pour un truc beaucoup plus dur sur ce chapitre : je pensais qu’ils allaient rater leur fuite et qu’ils allaient tout oublier xDD Alya comprise, évidemment, sinon c’est pas drôle ! Du coup je suis soulagée que tu sois plus sympa que moi, au moins elle s’en est sortie et je pense / j’espère que Jun va débarquer de nulle part et casser la gueule à la grand-mère !
Le ship Alya/Jun était encore total mais bon, est-ce que je dois vraiment le rappeler parce que ça reste une évidence XD
Par contre, je pense que Jun va pas rester en vie bien longtemps s’il continue de se vautrer dans des bris de verre MAIS BON c’est juste un détail ! Je suis pratiquement sûre qu’il survivra à pire.
Allez, je tente le prochain chapitre ! Je pense que t’as condensé tous les retournements de situation là xD
NAN, PAS LA GRAND-MÈRE ! POURQUOIIII ! => Parce que la grand-mère est reloueeeeee XD et que j'aime les persos retords
Tu t'es vraiment fait un film sur une fuite ratée toi ! En vrai j'y ai pensé mais là, je serai partie pour trois tomes avec des retournements comme celui-là...
Le ship Alya/Jun était encore total mais bon, est-ce que je dois vraiment le rappeler parce que ça reste une évidence XD => Oui je veux bien que tu le rappelles, ça me permet de savoir si "l'alchimie" fonctionne toujours^^
Je suis pratiquement sûre qu’il survivra à pire => Tu verras ! XD
Allez, je tente le prochain chapitre ! Je pense que t’as condensé tous les retournements de situation là xD=> Oui, il y a pas mal de rebondissement dans le chapitre suivant :) Mais mon rebondissement préféré c'est celui avec l'Odalisque <3
bon, ça y est, j'y suis enfin...
et je commence direct dans les petits détails...
"Alya n'avait jamais été douée pour se rappeler les prénoms. En particulier ceux des clones. Ils n'étaient qu'une série de miroirs sur lesquels ses yeux se posaient sans s'attarder.
Le regard rétrospectif sur sa vie lui révéla que la solitude gouvernait depuis trop longtemps son existence. L'intrusion de Jun avait eu comme effet de fêler le verre." [en fait, pour ce début de chapitre il y a un truc qui me chiffonne sans forcément réussir à mettre le doigt dessus. Je vais essayer d'étayer mes propos... je crois déceler que c'est l'enchaînement entre Alya n'est pas douée blabla et le regard rétrospectif qui me gènent. D'une part, j'ai l'impression que tu commences à nous mener quelque part avec les trois premières phrases pour nous jeter ailleurs juste après... au point que j'en perds le sens. Et d'autre part, LE regard rétrospectif... me pose problème. Ne voulais-tu pas dire UN regard ? En creusant, je me suis demandée si tu ne cherchais pas à dire quelque chose du genre : Alya a toujours eu du mal avec les prénoms, notamment ceux des génomes, blablabla (comme tu le fais, c'est très bien, joliment écrit). D'ailleurs à force de les regarder elle finit par s'égarer dans ses pensées/regarder sans les voir et elle réalise que malgré sa présence dans le groupe elle se sent seule/isolée, blablabla. Jun l'a sorti de son isolement, blabla, toutefois, ils ne s'étaients plus vus seuls, à son grand désarrois puisqu'elle avait tant de question à lui poser.... j'enlèverais même cette phrase "Plusieurs soirées s'étaient succédées depuis leur premier rendez-vous." je trouve que cela induit en erreur, je pensais qu'il s'agissait de leur rencard de couplage et non de leur regroupement collectif. :)]
"La veille, Jun leur avait livré le plan d'évasion pour la semaine suivante." [j'ai un doute, je me demande s'il ne faudrait pas un S à leurs ; mais passons, je venais plus te parler ici du pour... ^^ C'est le moment tant attendu par tous, je me questionnnais sur le fait de faire un peu monter la sauce et je trouve (c'est subjectif) que le pour enlève un peu de tension. Exemple : La veille, Jun leur avait enfin livré le plan d'évasion final. La semaine prochaine, tous en auraient fini avec Mallaig. ... (ce n'est qu'un exemple ^^)]
"Seule Alya ne pouvait les accompagner. Elle n'avait aucun clone..." [Elle n'a aucun clone ou ce n'est pas un clone ??? ;) ]
"Nous allons passer à la dernière phase de la préparation, commença Jun, l'entraînement au combat." [et là, après l'accroche du chapitre, c'est le deuxième point qui me chiffonne un peu. Toutefois, je vais nuancer mon propos parce que c'est de la lecture morcellée et honêtement, je ne sais pas ce que ça pourrait donner en relisant tout d'une traite. En gardant les souvenirs de mes lectures précédentes, je me demande pourquoi Jun ne commence pas par l'apprentissage du combat ?! Comme il le dit si bien, c'est quelque chose qui va les maintenir en vie, autant que de reconnaître des plantes ou des animaux... Je comprends que cela dessert ce que tu veux dire à ce moment, mais en perspective dans l'histoire, j'ai une petite interpellation à ce sujet. à la limite, quand la première partie sera complétement terminée, je te referai un commentaire global et si ça se trouve, cela passe comme une lettre à la poste ^^]
"Si tout vas bien nous partirons la semaine prochaine."
"« Un virus a été diagnostiqué dans la Cité, les symptômes sont une absence complète de sensations. Pour vous faire soigner rendez-vous au bureau de la FSOR, il est crucial de vous faire connaître pour que nous puissions endiguer l'épidémie " Est-ce que la Cité n'est pas dans une volonté de tout cacher à ses citoyens ? Je pense que Alya et Jun pourraient avoir la discussion qui suit sans l'intervention du haut-parleur. D'autant que si la Cité cherche les malades et prétend vouloir les soigner, il n'y aurait aucun raison pour qu'elle lance son attaque mémoriale gigantesque après ? D'autant que tu le dis plus tard, "Tu te doutes bien que les Têtes ne veulent pas que cela s'ébruite." même si tu parles de la révolte des génomes bas, il y a bien un désir de taire les choses. peut-être qu'à la limite, tu devrais être plus vicieuse et que les haut-parleur ventent un cadeau à gagner, un concours à passer , un recencement... genre The Island]
"Tu as tardé, ce garçon ne devrait pas te laisser si tard..." [je rajouterai un rentrer entre si et tard... et attention, tu as tardé "redondonne" avec tard ;) ]<br />
"Des bruits réguliers réveillèrent Alya en plein milieu de la nuit." [on commence le feu de l'action, plutôt que bruits, je te proposerai bien des coups secs, un tapage inhabituel, ...]
"Alya, en sanglots, ne releva pas l'incongruité du propos, se détacha brsuquement de l'étreinte maternelle." [erreur de frappe brusquement ;)]
"Elle ne supporterait d'oublier les dernières semaines." [il manque un petit pas après supporterait]
et une dernière remarque : Entre le moment ou Jun dit qu'il reste moins de 30 minutes, ils arrivent à la fameuse porte où Alya peut passer, elle sort et pouf il y a l'éclaire blanc dans la cité... J'ai pas eu l'impression qu'il s'était passé assez de temps, notamment pour laisser l'espoir que Jun puisse s'en sortir. En ressenti, j'ai eu l'iporession qu'il la dépose, elle sort et BAM l'éclair et donc il n'a pas eu le temps de rejoindre les autres... Alors que si tu suggères qu'Alya pert la notion du temps après être sorti jusqu'a ce que l'éclair apparaisse, cela pourrait donner une échelle temporelle plus réaliste et porteuse d'espoir (même si je ne sais pas ce que tu as prévu pour Jun et que j'ai très très très peur, snif).
Voilà voilà pour mes retours. Ce chapitre est vraiment trop bien. Plein de rebondissements, c'est très agréable à lire... et QUOI tu nous laisses comme ça avec cette **** de Grand-mère ?
Et puis, c'est quoi les enfants de la Lune, non mais ! ^^ (bon, ça j'ai une idée quand même) mais j'avoue avec la grand mère, cela m'a séchée, je m'y attendais pas du tout, c'était une véritable surprise. Même en cogitant je n'arrive pas à déterminer si elle est amie ou ennemie... l'un dans l'autre je l'aimais bien en tant qu'ennemie, et je crois que j'aurais du mal à lui faire confiance par la suite, quoi qu'elle dise... Elle pourrait être là pour porter la voix des dirigeants qui lui demandent d'aller retrouver les autres cités pour aider Mallaig à réduire le fléau des problèmes de clone... En gros, elle reste méchante et se sert de sa petite fille parce qu'elle est vile et le restera. ha ha ha ha.
à quand la suite ?? :)
Merci pour ton long commentaire et tes remarques toujours pertinentes !
Je note pour ta remarque sur le regard d'Alya sur sa vie, ton explication est ma vision exacte de la scène donc tu as bien compris ce que je voulais dire malgré quelques maladresses^^. J'en tiendrai compte pour ma relecture, merci !
Pou le plan d'évasion, tu as totalement raison donc je viens de changer et j'ai pris ta proposition de phrase :)
je me demande pourquoi Jun ne commence pas par l'apprentissage du combat => ce point a été mentionné par quasiment toutes les plumes qui ont lu le chapitre mais pour l'instant je ne sais pas trop quoi faire. Soit je rajoute un chapitre qui viendrait avant celui-ci et qui se passe après le rdv entre Alya et Jun . Là je pourrai tranquillement développer l'apprentissage du combat soit j'explique juste que Jun ne voulait pas commencer l'entrainement avant car ils ne sentaient pas ses recrues prêtes... Qu'en penses-tu ? Sorryf qui a lu les 13 chapitres en 2 jours a dit qu'au niveau du rythme elle trouvait ça bien comme c'était.
En ce qui concerne la phrase dans le haut parleur, elle est nécessaire, car les Têtes ne connaissent pas l'empleur de l'épidémie, ils ont donc besoin d'identifier tous les porteurs. C'est avec cette action qu'ils se rendent compte de l'énorme problème que cela pose.
peut-être qu'à la limite, tu devrais être plus vicieuse et que les haut-parleur ventent un cadeau à gagner, un concours à passer , un recencement... genre The Island => J'ai pas compris ton idée...
En ce qui concerne la gestion du temps, c'est une remarque que l'on m'a faite aussi et qui est vraiment pertinente, je pense que je vais rajouter qu'alya perd la notion du temps et qu'elle regarde pendant de longues minutes la ville avant que l'éclair ne se déclanche^^
même si je ne sais pas ce que tu as prévu pour Jun et que j'ai très très très peur, snif => ahaha tu verras !!!!
Ce chapitre est vraiment trop bien. Plein de rebondissements, c'est très agréable à lire... et QUOI tu nous laisses comme ça avec cette **** de Grand-mère ? => bah oui car je suis sadique !! héhéhé. Je suis vraiment contente qu'il t'ai plu car il m'a donné du fil à retordre ( et il continue encore) lol.
Les enfants de la Lune => Dans le chapitre précédent je le mentionne, je ne sais plus si tu t'en souviens...
Ah et la grand-mère <3 J'aime bien jouer l'ambiguité avec les personnages <3
En gros, elle reste méchante et se sert de sa petite fille parce qu'elle est vile et le restera. ha ha ha ha. => interprétation très intéressante :)
Bon maintenant il te reste un chapitre à lire, j'espère qu'il va te plaire ma petite mldlg, j'ai un peu le trac, c'est tout de même la fin de la partie 1 !
Pleins de bisous volants, à bientôt <3
Eh bien, quel sadisme de nous laisser sur une fin pareille. Une part de moi espère que la mamie est du côté d'Alya, une autre craint qu'elle soit là pour la capturer. Je me dis que si ça avait été le cas, sa mère n'aurait pas été aussi passive.
Bien, le chapitre est réussi, il est haletant et on se surprend à stresser pour Jun et Alya. Ma mémoire de poisson rouge m'a fait tiquer sur les clones au début, je n'avais pas souvenir qu'il y en avait. En revanche, les explications sur les génomes étaient claires et je pense avoir tout saisi.
Je trouve aussi qu'Alya gagne en maturité, notamment quand elle doit abandonner sa mère. C'est un choix difficile, mais elle a eu raison de le faire.
Bref à quand la suite ?
Eh bien, quel sadisme de nous laisser sur une fin pareille. => Moi sadique ? Absolument pas :p
Camilla, la grand-mère est un personnage très complexe, elle n'est ni contre Alya, ni avec elle ;-) Mais tu vas savoir bientôt pourquoi elle est dehors ;D
Je suis contente si le chapitre est haletant, c'était un peu mon but, je ne te le cache pas ^^
Ma mémoire de poisson rouge m'a fait tiquer sur les clones au début, je n'avais pas souvenir qu'il y en avait. => Oula tu as loupé un épisode ! Lol
Je te copie-colle le passage du chapitre 5 où cela est expliqué :
"Tous les habitants de Mallaig étaient clonés à partir des 110 premiers arrivants, soixante hommes et cinquante femmes. Ce clonage, appelé recyclage, avait été pensé pour répondre à la stérilité des hommes. Les premiers habitants avaient donc suivi une serie de test pour déterminer leur quotient intellectuel ainsi que leur espérance de vie et leur attractivité physique.<br />Les clones étaient donc classés du génome 1 (le plus intelligent) au génome 52 pour les hommes et les femmes (le clonage sur certains habitants n'avaient pas réussi).<br />La cité avait instauré un sytème de compétition, plus les habitants travaillaient bien pour la Cité, plus ils avaient de la chance d'avoir pour enfant un clone au génome plus bas (4-5-6 par exemple). Les génomes bas avaient peu de clones au contraire des génomes hauts (48 par exemple)."
Est-ce que cela te revient ? => Suite à ta remarque j'ai rajouté des précisions dans le chapitre 5.
Je trouve aussi qu'Alya gagne en maturité, notamment quand elle doit abandonner sa mère. C'est un choix difficile, mais elle a eu raison de le faire.=> Super je suis contente que tu l'ais noté; c'est le cas :D
Je bosse sur le chapitre 13, j'aimerai le finir avant la fin du mois :)
Merci encore de ton passage <3
Pleins de bisous volants !
Tu as dû prendre du plaisir à écrire ce chapitre riche en péripéties, autant que moi à le lire. Il tient en haleine du début à la fin. La menace de l’effacement prend enfin son sens et le rôle des Têtes est clair.
Y a-t-il beaucoup de temps écoulé depuis le restau ? Je demande par rapport à la blessure de Jun qui est décrite toujours visible. Elle pourrait le gêner dans sa conduite de l’aérosphère.
« Son génome unique ferait échouer toute l’opération »>tu devrais expliquer davantage, elle pourrait être reconnue, car elle n’a pas de double.
Alya ne pourrait-elle pas seulement demander à Jun un instant pour aller dire au revoir à sa mère ? Ça n’enlèverait pas d’intensité à la scène. Dans un dernier élan, elle pourrait lui demander de venir avec eux. Sinon il faudrait amener cette décision avant.
Se méfier des enfants de la lune ? Pourquoi Alya devrait se méfier de Nohan ? Je crains le pire pour la suite.
L’entrainement au combat pourrait être un nouvel entrainement où ils revoient des détails plutôt que le premier…Ce serait plus logique dans la préparation de la fuite.
La course poursuite dans les airs est vraiment géniale, mais elle ne semble pas pouvoir durer quinze minutes. C’est long. Il faudrait peut-être revoir le décompte : quand ils sortent de chez Alya, il reste 45 minutes, après 30 min.
Pareil, quand Jun quitte Alya et le déclenchement de l’éclair d’oubli, ça fait très court pour rejoindre les autres et sortir de la ville. L’éclair pourrait éclater en fond derrière la grand-mère. La chute du chapitre serait tout aussi géniale. Ou alors, ajouter un dialogue à Jun pour dire que les autres sont à côté, qu’en deux minutes c’est possible. Ou alors, ils n’ont pas réussi à sortir L Non Makara n’est pas aussi sadique !
Le bilan des sentiments d’Alya envers Jun pourrait être déplacé après « revoyait jamais » plutôt que pendant qu’ils courent.
La grand-mère tu sais que je suis larguée avec ce personnage… Peut-être que les Têtes voulaient qu’Alya sorte ?
Bravo Makara continue comme ça ;) Des bisous étoilés
Tu as dû prendre du plaisir à écrire ce chapitre riche en péripéties, autant que moi à le lire. Il tient en haleine du début à la fin. La menace de l'effacement prend enfin son sens et le rôle des Têtes est clair. => Oh ça c'est super chouette <3 Bon ça veut dire que je ne me suis pas trop loupée^^ ahaha
Y a-t-il beaucoup de temps écoulé depuis le restau ? Je demande par rapport à la blessure de Jun qui est décrite toujours visible. Elle pourrait le gêner dans sa conduite de l'aérosphère. => En gros environ 1 semaine car il y a trois entrainements et ils ont lieu une fois tous les deux jours. Je pense que cela a le temps de cicatriser, il ne s'est pas cassé la main...
Son génome unique ferait échouer toute l'opération=> Ok je vais essayer d'être plus explicite !
Ok pour la décision d'Alya au sujet de la mère, tu rejoins l'avis des autres, je vais essayer de retravailler le passage :) Idem au sujet de l'entrainement, il me faut un peu de recul avant de replonger dans ce chapitre :)
Se méfier des enfants de la lune ? Pourquoi Alya devrait se méfier de Nohan ? Je crains le pire pour la suite. => TU PEUX ! lol
Tu es la première à me parler de la gestion du temps et c'est très pertinent ! En particulier pour la fin entre le moment où Alya sort à l'extérieur et que l'éclair d'absence se déclanche ! Makara n'est pas aussi sadique (tu vas me détester pour le chapitre 13...)
Le bilan des sentiments d'Alya envers Jun pourrait être déplacé après « revoyait jamais » plutôt que pendant qu'ils courent. => Bah je l'aime bien ici comme ça, cela montre le temps qui passe...
Peut-être que les Têtes voulaient qu'Alya sorte ? => Il y a de l'idée :p
Merci encore pour ta lecture et tes encouragements <3
Pleins de bisous volants <3
Me revoilà, comme annoncé, grâce à un voyage en train :P (J’aurais souvent lu Sillages dans le train lol)
Coquillettes et suggestions :
"Le (Un ?) regard rétrospectif sur sa vie"
"Plusieurs soirées s'étaient succédé(es)"
"- ça (Ça) va ? Rien de cassé ? lui demanda-t-il.
- Ma fierté, oui (Ma fierté, si)..."
"tous les génomes se mirent en mouvements (mouvement)"
"Si tout vas (va) bien nous partirons la semaine prochaine."
"- Non, elle nous aurait prévenu(es)..."
"Lèves-toi (lève-toi) !"
"rappelles-toi (rappelle-toi) en quand les temps seront durs." Pas de -s à l'impératif.
"Jun qui n'avait rien ressenti ouvrit le toit de l'aérosphère" Euh… Même si son système nerveux a déclaré la grève, il reste toujours quelque chose qui s’appelle la commotion cérébrale XD Je veux dire, je ne crois pas que le fait d’être sonné dépende uniquement de notre perception de la douleur…
"Malgré la situation, Alya ressentit comme une bouffée d'adrénaline l'envahir." La situation me semble plutôt se prêter aux bouffées d’adrénaline ^^
"Cette révélation la terrifia plus encore que le compte à retour (rebours)."
"Avec une grande inspiration, son visage disparut dans cette sève incolore." Tiens, le retour de l’anacoluthe involontaire ; ce n’est pas son visage qui prend une grande inspiration.
J’ai vraiment aimé ce chapitre, tu as bien su gérer toutes ces péripéties ! Et j’ai failli pleurer sur l’épisode de la mère, aussi... (Voire j’ai peut-être pleuré pour de bon, mais j’ai mis ça sur le compte d’une réaction allergique mdr)
Comme les plumes le disaient sur ton JdB, c’est un peu étrange qu’ils s’entraînent au combat si tard. Il suffirait que tu rajoutes une petite phrase genre « Bon, on finit comme d’habitude sur une séance d’entraînement »… Et aussi, si tu veux garder la réaction d’Alya par rapport à la violence, tu peux dire qu’avant ils avaient juste fait du renforcement musculaire (pompes, abdos, etc, tu vois le tableau) ou des techniques purement défensives… ?
L’épisode de la mère, aussi, je n’avais pas vraiment tiqué, mais c’est vrai que ça aurait pu être un peu mieux amené… Là, c’était un peu confus, mais ça ne m’a pas trop dérangée parce qu’Alya est elle-même confuse à ce moment (avec le réveil brutal et tout). Et puis, je crois que je m’attendais effectivement à ce que la mère refuse de venir.
C’était une bonne idée d’amener un ultimatum d’ailleurs, ça bouscule l’intrigue et ça la pousse en avant ! Et la course-poursuite était bien gérée ^^
ET LA GRAND-MERE NONDIDJU POURQUOI COMMENT AAAAH JE VEUX SAVOIR
J'ai vraiment aimé ce chapitre, tu as bien su gérer toutes ces péripéties ! Et j'ai failli pleurer sur l'épisode de la mère, aussi... (Voire j'ai peut-être pleuré pour de bon, mais j'ai mis ça sur le compte d'une réaction allergique mdr) => Tu as pleuré ? Allez viens que je te réconforte (calin). Prépare les mouchoirs pour l'épisode 13 alors :p ( oui je sais je suis sadique^^)
Je vais réfléchir sur cette histoire de combat, j'ai pas encore trouvé la bonne amorce mais cela va venir :)
Bon pour l'épisode de la mère je vais certainement rechanger deux-trois trucs une fois que j'aurai un peu de recul sur le chapitre ;)
C'était une bonne idée d'amener un ultimatum d'ailleurs, ça bouscule l'intrigue et ça la pousse en avant ! Et la course-poursuite était bien gérée ^^=> Roooh trop cool ça me rassure :)
Et pour la grand-mère, je ne dirai rien mais c'est très logique qu'elle se retrouve dehors :p
Merci pour les coquillettes aussi ! Je vais corriger cela !
A bientôt Rimrim :)
Bisous volants
Bon, ben, c'était génial.
Honnêtement, j'ai eu un moment de frayeur avec la séance d'entraînement et particulièrement le personnage de Pavel. Je me suis dit "oulà ! dans quoi elle se lance ?". Je croyais comprendre que Jun avait choisi un génôme 48 à cause de sa force physique, genre pour servir de garde du corps, et je me disais que ça n'allait pas être très facile à gérer au niveau éthique cette différence entre les intelligents pacifiques et les cons qui n'hésitent pas à se servir de leur force physique... Mais quand on comprend qu'en fait, Pavel a le virus qui rend insensible, ça rétablit tout.
La poursuite est super : palpitante et très bien menée (juste une petite répétition pour les tirs des patrouilleurs qui "se perdent" plusieurs fois près d'eux, mais c'est vrai que le mot est bien trouvé). Je me suis demandé comment ils allaient s'en sortir, et je n'avais pas vu venir le coup de la fenêtre ! Très bien !
Ensuite, tout le passage dans la salle et à travers la "porte", avec les sillages, la matière bizarre à travers laquelle elle passe... c'est assez fascinant. Je pense que c'est l'effet que tu cherchais ? C'est réussi !
Et enfin, la fin... tu nous plantes alors que tous les souvenirs reviennent, qu'elle connait son rôle... sans rien nous expliquer ! Rhoooo c'est horrible. Et je parle même pas de l'apparition de la grand-mère !
Bref, c'est un très bon chapitre ! Une seule question : est-ce qu'il n'est pas un peu loin du précédent chapitre à Mallaig ? Mais ça vient peut-être de la lecture morcellée...
C'est quand la suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite ?
Pinaillages et coquillettes :
"Elle était persuadée qu'elle aurait pu le reconnaître parmi des dizaines de génomes 6" : ah mais ils sont tous semblables les gens qui ont le même gênome ? Ils ont exactement le même matériel génétique ? Je n'avais pas compris que c'était à ce point-là !
"Son vêtement brun souillé de ce liquide étrange qu'elle voyait peu." : c'est pas très clair. C'est exprès ? Ce n'est pas du sang, le liquide étrange ? Et pourquoi elle le voit peu ? Parce que le vêtement est brun ? Alors sauf si tu expliques ça plus tard, peut-être vaudrait-il mieux être un tout petit peu moins énigmatique sur cette phrase, parce que moi, elle m'a déconcertée plutôt qu'intriguée. Ca m'a sortie un peu du texte.
" Tu as tardé, ce garçon ne devrait pas te laisser si tard... " : il ne manquerait pas un mot ?
"Elle avait l'impression que l'on toquait à sa fenêtre." : cette phrase est trompeuse, parce que le "elle avait l'impression" laisse croire qu'elle se trompe. Du coup je n'avais pas compris qu'on frappait réellement à sa fenêtre. Bon, ok, c'est du pinaillage :)
" Je t'aime, ma puce. Plus fort que tout, rappelles-toi en quand les temps seront durs." : rappelle-t'en
"Cette révélation la terrifia plus encore que le compte à retour." : pourquoi ?
Bises !
Aaaaaaaargh ! Nan mais c'est quoi cette fin de chapitre ? Comment tu nous plantes ?! De toute façon je savais que tu étais sadique ! ;)+> OUI CARREMENT !!! (RIRE DEMONIAQUE) - Attends de lire la fin du chapitre 13 ! ahahah -
Bon, ben, c'était génial.=> Ro qu'est-ce que ces petits mots me font plaisir <3
Mais quand on comprend qu'en fait, Pavel a le virus qui rend insensible, ça rétablit tout. +> Ouf ! Je voulais aussi montrer avec les passages sur Pavel qu'Alya a beaucoup de préjugés sur les génomes en particulier les hauts génomes (les 48), le but c'est qu'elle apprenne à les dépasser dans la seconde partie du tome 1 :)
juste une petite répétition pour les tirs des patrouilleurs qui "se perdent" plusieurs fois près d'eux, mais c'est vrai que le mot est bien trouvé => Ok c'est noté je vais essayer de trouver un synonyme ! Je suis contente que tu aies été happée par l'action :)
Ensuite, tout le passage dans la salle et à travers la "porte", avec les sillages, la matière bizarre à travers laquelle elle passe... c'est assez fascinant. Je pense que c'est l'effet que tu cherchais ? => Tout à fait ! :p
Et enfin, la fin... tu nous plantes alors que tous les souvenirs reviennent, qu'elle connait son rôle... sans rien nous expliquer ! Rhoooo c'est horrible. Et je parle même pas de l'apparition de la grand-mère !=> Oui je me doute que le suspens doit être insoutenable mais la lecture de vos réactions c'est vraiment FORMIDABLE ! lol
Une seule question : est-ce qu'il n'est pas un peu loin du précédent chapitre à Mallaig ? Mais ça vient peut-être de la lecture morcellée... => C'est une très bonne question que je me suis posée, j'ai failli le mettre à la suite de celui d'Ewen mais après c'était l'histoire du poison de Nohan qui se retrouvait vraiment loin^^ Il n'y a que deux chapitres d'écart en fait donc ce n'est pas énorme ( mais vu que je mets 1mois à en sortir un bah c'est vrai que ça doit te sembler un peu éloignée^^).
"Elle était persuadée qu'elle aurait pu le reconnaître parmi des dizaines de génomes 6" : ah mais ils sont tous semblables les gens qui ont le même gênome ?=> Oui tous les habitants sont clonés à partir des 110 premiers arrivants (à peu près 60 hommes et 50 femmes). Plus ton génome est bas (entre 1 à 10) moins tu as de clones plus il est haut plus tu as de clones :) Peut-être qu'il faudrait que je refasse un petit rappel dans ce chapitre ?
Son vêtement brun souillé de ce liquide étrange qu'elle voyait peu." : c'est pas très clair. => Si c'est du sang mais je voulais juste accentuer sur le fait qu'elle en voyait rarement... (bon je pense que je vais reprendre la phrase).
Cette révélation la terrifia plus encore que le compte à retour.=> Alya se rend compte qu'elle tient de plus en plus à Jun et cela lui fait peur ( après c'est peut-être un peu too much, lol)
Merci encore pour tes remarques <3
J'ai hâte que tu découvres la suite (je commence dès aujourd'hui le chapitre 13 qui est déjà en partie écrit mais que je dois grandement remanier avec les derniers changements^^)
Pleins de bisous volants !
Bon, je vais continuer de te détester jusqu'au prochain chapitre, prépare-toi ! xD
Bah oui je suis cruelle ! Ahaah, attends de lire le chapitre 13, tu vas me détester encore plus ! Oui le début est un peu lent mais les évènements sont importants !
Je suis contente que la fuite t'ai tenue en haleine :)
Qu'as-tu pensé de l'arrivée de la grand-mère ? Tu t'y attendais ?
Et de la relation Jun-Alya ? Tu trouves toujours cela bien amené ? (tu es ma spécialiste des dystopies romantiques alors je me fie à ton jugement <3) ahaha
Merci encore de ta lecture, t'inquiètes je gère très bien la détestation ^^ahaha
Alors vos impressions ? À votre avis pourquoi la grand-mère d'alya se retrouve-t-elle à l'extérieur ?
:O !!!! ^^Je n’en sais rien du tout ! Mais j’aimerais vraiment qu’elle me l’explique. ^^ Elle complote la mami ? Mais de quel côté ? Sinon, c’est encore trop court ^^ Non mais, en vrai, tu achèves les chapitres pile à l’endroit où on a à tout prix envie qu’il se poursuive. C’est une forme de torture. ^^
En tout cas, très bon point, c’est que je n’ai pas lu pendant bien longtemps et que ça ne me gêne pas. J Je parviens très bien à suivre l’histoire J Et cette fois, j’ai relevé deux petites phrases qui me chagrinent :
« Alya avait tant de questions sur son père et sur lui en tête. » (Je comprends ce que tu as voulu dire, mais c’est un peu étrange quand même comme formulation ^^)
« - C'est ici. Cela donne sur une pièce que seuls les Silleurs peuvent ouvrir, l'informant Jun d'une voix enrouée. » (L’informa ?)
Et sinon… « - Fais attention aux enfants de la Lune... » ??? Mais pourquoi elle dit ça ? Ils ont quoi les enfants de la lune ? C’est drôle, mais je me demande si on ne risque pas d’en croiser quelques-uns à Astrakam… Et s’ils ne risquent pas de représenter une forme d’autorité pas cool. Étrange, c’est ce qui m’est venu à l’esprit… En tout cas, Nohan est un enfant de la Lune et cette petite phrase risque de créer des conflits au moment de la rencontre….
La suite !
Recoucou LionneBlanche <3
Elle complote la mamie ? Mais de quel côté ?=> Ahaha ça je ne te dirai pas :p
Sinon, c'est encore trop court ^^ Non mais, en vrai, tu achèves les chapitres pile à l'endroit où on a à tout prix envie qu'il se poursuive. C'est une forme de torture. ^^ => En même temps ce chapitre, je crois que c'est mon plus gros cliffanger écrit ( il y a un autre à venir^^)
Je note les deux petites phrases qui te charginent je vais essayer de les reformuler^^ :)
Je suis contente si tu arrives à suivre malgré ta pause :p. ça veut dire que l'histoire et les persos restent en tête donc c'est bon signe :D
Fais attention aux enfants de la Lune... » ??? Mais pourquoi elle dit ça ? Ils ont quoi les enfants de la lune ? C'est drôle, mais je me demande si on ne risque pas d'en croiser quelques-uns à Astrakam... Et s'ils ne risquent pas de représenter une forme d'autorité pas cool. Étrange, c'est ce qui m'est venu à l'esprit... => Bah écoute, tu te rapproches de la vérité :p, et tu auras les réponses bientôt^^
En tout cas, Nohan est un enfant de la Lune et cette petite phrase risque de créer des conflits au moment de la rencontre.... => Encore faut-il qu'il sache qu'il en est un et qu'Alya le comprenne aussi ! XD.
Bah écoute, je suis hyyyyyyyyper contente de te voir avancer dans l'histoire :)
En plus, je vais bientôt publier le chapitre 19, ça va te faire un chapitre de plus ;-)
Allez je file répondre à ton commentaire suivant <3