Nohan à étioli
Les premières lueurs de l’aurore dansèrent dans les prunelles fatiguées de Cyla et Nohan. Leurs traits tirés, leurs lèvres asséchées, leur teint presque hâve : tout indiquait une nuit passée à veiller à la flamme de la bougie. Le Prince but une grande gorgée d’eau pour adoucir sa bouche irritée par la conversation. Il en proposa une à Cyla. Celui-ci accepta avec un sourire.
L’anxiété vis-à-vis du tournoi leur avait ravi le sommeil. Nohan s’inquiétait pour son frère qui affûtait ses armes quelques mètres plus haut et pour cette affaire de poison, car, il le savait, elle n’était pas terminée. Cyla devait souffrir de sa captivité et de la séparation avec son père.
Nohan avait préféré attendre l’aube pour le faire s’échapper. Dès que le clairon du tournoi résonnerait, il savait que le palais se viderait de ses habitants et il pourrait alors le guider sans encombre jusqu’aux souterrains.
Les heures s’étaient donc égrainées au son de leur voix respective. Cyla lui avait raconté son existence dans les montagnes. Parfois, il avait rejoué sa vie en mimant, en sautant, en courant dans la pièce, il s’était même agrippé aux larges piliers du lit à baldaquin pour rendre une scène plus réaliste. Son récit l’avait transporté sous la chaleur incandescente du soleil et l’âpreté des montagnes.
Tout de suite, Cyla l’avait fasciné, un mélange d’innocence et de force émanait de lui.
Lorsque son flot de paroles fut tari, il lui avait raconté, à son tour, la vie dans le quartier des femmes, le quotidien au Palais, le faste de la cour, les colères de sa sœur, les folies de son jumeau et les affaires étranges de Kian. Le garçon, bien qu’étranger à ce monde, avait porté une oreille attentive à ses propos et avait ponctué son écoute d’onomatopées étonnées ou choquées.
Lorsque le clairon résonna enfin dans le Palais, le même frisson les pétrifia, le même fardeau parut affaisser leurs épaules. Cette nuit intense avait été comme une parenthèse dans le chaos à venir. Nohan le redoutait comme lorsqu’on sent que l’orage est sur le point d’éclater. Ils se dévisagèrent un instant. Les prunelles dissemblables de Cyla brillèrent, captant un rayon de lumière.
Nohan pensa que le soleil avait le don d’embellir les choses et les gens : sauf lui-même.
Il se leva en étirant son corps courbaturé puis garnit un sac en toile de nourriture et de vêtements, d’un parchemin et de gourdes d’eau. Il tendit ensuite la tunique d’un garde à Cyla.
— Si on t’aperçoit, on te prendra pour un apprenti soldat, cela te fera gagner du temps. Le problème c’est qu’aujourd’hui les gardes ne portent pas les mêmes tuniques que d’habitude, termina-t-il en se massant les tempes. Je ne sais pas pourquoi…
— Ça fera l’affaire, Nohan, je vais me débrouiller.
Le jeune garçon récupéra le vêtement et partit dans la salle adjacente pour se changer.
— C’est bon je suis prêt, on y va ! annonça-t-il d’une voix ferme en rentrant dans la pièce, tout habillé de noir. De quelle couleur sont les autres uniformes ?
— Jaunes, je crois.
— Ce n'est pas une couleur que les Ombres apprécient. Nous avons fait des tests avec mon père. Ils repèrent très bien le jaune et le rouge.
Nohan resta muet. Sa mère préparait quelque chose. Mais quoi ?
— Prends le sac alors et suis-moi.
Cyla récupéra le tout et emboîta le pas au Prince dans les escaliers en colimaçon. Ils longèrent d’interminables couloirs et ne rencontrèrent pas âme qui vive. Nohan s’en félicita, tout le monde se préparait à partir.
— Et si j’arrive trop tard, Nohan ? interrogea anxieusement Cyla.
— Nous n’arriverons pas trop tard, ton père ne va pas être dans les premiers à participer. Kian va le garder pour la fin, car il a de plus fortes chances de réussir.
Le garçon acquiesça, mais ne parut pas vraiment rassuré. Le prince lui fit signe de s’arrêter .
— C’est ici. Il faut que tu pousses cette porte et cela va te mener à une première intersection.
Il lui tendit la carte qu’il avait dessinée pendant la nuit.
— Suis bien mes flèches, elles t’indiquent où passer. Normalement, si tu suis bien toutes mes instructions, ce chemin-là te mène jusqu’aux falaises, dans une cavité. Tu pourras, de là-bas, observer les événements et intervenir.
— Merci, Nohan. Un jour je te revaudrai ce que tu as fait pour moi.
— Tu n’as pas besoin, Cyla. J’ai l’impression que c’est la seule action que je ne regretterai jamais.
Les deux adolescents se sourirent, puis Cyla lui fit un signe de tête et s’avança vers la porte. Il l’ouvrit et disparut dans le souterrain. Nohan eut l’impression qu’un grand vide emplissait soudain son cœur et l’appréhension du tournoi fut si forte qu’il se mit à trembler. Il se força à prendre de grandes inspirations pour se donner du courage. Il devait rejoindre sa famille.
Ewen
Ewen comptait les visages. Mille. Deux mille. Dix mille, cent mille peut-être ?
Seulement des hommes. Pas un visage féminin. Certains étaient arrivés dans la nuit. Pour bien voir. Plus haut. Plus loin.
Ce tournoi sentait la charogne, l’odeur prophétique de la mort. Ce lieu auparavant si tranquille s’était transformé en attraction sordide.
Depuis la veille, Ewen fulminait intérieurement. Un rien l’énervait. Un nuage l’exaspérait. Ses doigts, parfois, se refermaient sur la gorge invisible du Kâ. Ou alors du Prince héritier. Ses pensées tournoyaient sans fin vers Cyla et sa poitrine se comprimait à l’idée qu’on lui fasse du mal. Il sentait une rage qu’il n’avait pas ressentie depuis sa fuite du Palais vingt ans auparavant.
La foule s’amassait près des falaises, observant les Ombres en criant et agitant les mains face aux monstres ailés en contrebas. Quelle bande d’ignares ! Ces magnifiques créatures méritaient de vivre en paix.
Des tambours résonnèrent dans l’aube, la caravane du Kâ arrivait. Encadré par une multitude de gardes en habits noir et or, le Kâ, assis sur une chaise surélevée, observait son peuple avec condescendance. Ses cheveux rouges flottaient derrière lui comme une crinière de lion. Ses lourds colliers en or ornés de saphirs et de rubis scintillaient dans l’aurore. Sa toge, similaire par les couleurs à celle des soldats, se composait de deux pans de tissus qui se chevauchaient en de multiples froissements. Derrière lui, Kian suivait à cheval, toujours aussi élégant, les cheveux tressés en arrière, des dessins au henné étendus le long des bras et dans le cou. Ewen chercha Cyla des yeux. Elle n’était pas là. Rien d’étonnant : Kian devait la retenir prisonnière au Palais. Il espéra de tout son cœur que le Prince était un homme de parole.
Les gardes formèrent une rangée d’honneur qui se termina par un demi-cercle autour de la falaise.
Une clameur monta du peuple lorsque la reine Astrée et la princesse firent leur apparition. La Kâ avait fait confectionner une bulle-prison aux barreaux en or, l’ensemble était monté sur de grosses roues et tiré avec difficulté par plusieurs serviteurs. Des piques surmontaient la construction pour empêcher les oiseaux de s’y percher ou les hommes d’approcher. Enfermée dans son char doré, la reine envoyait des sourires et des baisers au public. Vêtue d’un caftan bleu ciel, elle respirait la jeunesse et la beauté. Ses longs cheveux blonds étaient coiffés en deux longues tresses entrelacées de perles.
Ewen se demanda si le peuple n’était pas venu pour admirer la Reine plutôt que pour assister à ce tournoi stupide…
Assise sur les genoux d’Astrée, une petite fille de six ou sept ans, bien dodue pour son âge, enveloppait du regard la populace venue pour l’occasion. Elle gigotait dans les bras de sa mère, certainement impressionnée par le monde.
Ewen abandonna la reine et sa fille des yeux et porta son attention sur les Princes cadets, dont il ne se rappelait jamais les noms. Tous deux étaient revêtus des habits d’apparats. L’un d’entre eux portait les diverses armes du Kansaï sur lui. De loin, ils paraissaient se chamailler.
Un concert de trompette mit fin au brouhaha de la foule. Le Kâ et son cortège venaient de s’arrêter près de l’estrade préalablement construite par les ouvriers d’Ewen.
Kian lui fit signe de les rejoindre. Il s’exécuta, la tête courbée, et rejoignit les tribunes. Il s’assit derrière la famille royale, un peu à l’écart, mais proche du bord de la falaise.
Le Kâ se présenta au peuple. Il exultait, un sourire immense dévorait son visage.
— Très cher peuple, voici venir le jour que vous attendiez tant. Le jour où vous pouvez prouver votre valeur. Si vous réussissez à m’apporter l’un des œufs de ces créatures, vous aurez le privilège de choisir une femme qui sera à vous pour toute la vie ! D’obtenir par la même occasion une somme de 50 000 Etioles et un appartement dans mon palais ! Au signal de la cloche, vous passerez par dix. Vous avez le droit de faire des alliances, mais attention : l’œuf ne peut pas être partagé… Vous avez le droit de vous servir d’armes, les arcs sont autorisés ainsi que toutes les armes du Kansaï. Une fois que vous avez l’œuf, vous devrez aller le donner au Prince qui attendra en haut de la falaise. Un drapeau rouge sera hissé, proclamant le vainqueur.
Des murmures enthousiastes accompagnèrent sa tirade. La foule se sépara en plusieurs groupes, se répartissant devant les entrées symbolisées par des drapeaux jaune vif. Les escaliers sculptés à flanc de falaise étaient noirs de monde. Un faux pas et les hommes, comme des dominos, tomberaient dans les vagues.
— Bien sûr, il va sans dire, que si l’un d'entre vous s’approche de la cage où mon épouse et ma fille observent le spectacle, ce sera là son dernier geste… J’espère que vous m’avez bien compris… QUE LE SPECTACLE COMMENCE !
La foule en délire hurla. Ces cris sortant des gosiers de milliers d’hommes formèrent un grondement guttural qui rappela à Ewen le tonnerre.
Plusieurs Ombres prirent de l’altitude et survolèrent la foule, intrigués par tant de vacarme, créant des empreintes obscures sur le sol. Ewen se dirigea vers l’escalier d’un pas décidé. Kian le héla et lui fit un signe de la main. Il serra les dents de frustration et le rejoignit à contre-coeur .
— Restez ici un instant, rien ne presse. Votre fille est un sacré numéro ! s’exclama-t-il.
— Elle va bien ? s’inquiéta Ewen.
— Parfaitement bien, ne vous tracassez pas. Dès que vous me donnerez en mains propres ce magnifique œuf, vous serez réunis. Avez-vous établi une tactique ?
— Oui, certaines aiguilles rocheuses sont lisses ou trop éloignées du rivage, le rocher à l’est est le plus praticable.
Les deux hommes portèrent leur regard vers le large : les participants plongeaient dans les eaux tumultueuses, certains se faisaient déjà emporter par les flots, usés par la nage, et d’autres arrivaient péniblement aux premières canines. Les Ombres virevoltaient en contrebas, encore ignorant des actions qui se tramaient. Ewen se rendit compte que ses mains tremblaient ; un seul élément le rassurait : que sa fille ne soit pas présente.
Soudain, à quelques mètres d’eux, des éclats de voix se mêlèrent aux encouragements du public. Les deux hommes se retournèrent.
Le jeune prince albinos empoignait fermement son frère jumeau par le bras et l’empêchait de rejoindre l’escalier.
— N’y va pas, Anaël ! Tu vas te faire tuer ! suppliait-il.
— Lâche-moi, Nohan, tu es insupportable ! C’est ma vie ! Je veux participer ! Lâche-moi !
D’un mouvement brusque, il repoussa son jumeau qui s’étala au sol. Le jeune albinos lança un regard désespéré au Kâ et à son frère aîné.
Le souverain, s’il avait entendu la querelle, n’y accorda aucune attention. Il semblait complètement absorbé par le tournoi. Kian, quant à lui, les fixait d’un air scandalisé.
— Anaël ! Reviens par ici ! Tu sais à peine nager, crétin !
Le jeune prince s’arrêta à quelques pas de l’escalier et leur lança :
— Vous êtes rien que des faibles, vous n’avez aucun courage ! C’est facile d’y envoyer des sous-fifres ! MOI JE VAIS VOUS MONTRER CE QU’EST UN VÉRITABLE PRINCE !
Nohan, accroupi au sol, pleurait à chaudes larmes. Il jetait des regards implorants au Prince héritier. Kian soupira avec force, serra les dents, puis dégaina son tarkah de son fourreau. Il leva l’arme au-dessus de sa tête, visa, et la projeta de toutes ses forces. La lance fendit l’air dans un sifflement et vint érafler le mollet d’Anaël. Celui-ci hurla de douleur et s’affaissa par terre. Le sang gicla de la blessure. Nohan accourut immédiatement vers son frère pour le secourir. Il n’obtint pour accueil que des jurons et des coups d’Ekri dans le vide.
Le Kâ, alerté par le boucan, se détourna du spectacle et analysa rapidement la situation. Son regard se posa sur chacun de ses fils avec irritation.
— VOUS ME FAITES HONTE ! hurla-t-il. Gardes ! Ramenez les jumeaux au palais !
Anaël s’offusqua en foudroyant ses frères des yeux.
— Non, non, père, laissez-moi au moins regarder !
— Te crois-tu en état de négocier, imbécile ?
Anaël baissa la tête sur sa jambe meurtrie et se mit à pleurer. Le Kâ fit un signe aux porteurs qui soulevèrent le Prince et le hissèrent dans une caravane, laissant une traînée de sang dans son sillage. Le jeune albinos s’installa lui aussi dans une chaise et les porteurs prirent la direction du Palais.
Ewen croisa les yeux furieux de Kian. Il lui fit signe de partir avec un mouvement négligent du poignet, comme s’il était une mouche que l’on chasse.
Il s’exécuta, en notant mentalement que si le Prince avait transpercé la jambe de son propre frère avec une lance, c’était qu’il n’envisageait vraiment pas que l’on puisse survivre à ce tournoi…
Ewen descendit quelques marches avant d’être bloqué par la longue file d’attente. Il porta son regard vers l’horizon.
Certains hommes avaient commencé leur ascension, enflammés par les cris d’excitation du public. Nombre d’entre eux se retrouvaient bloqués à un endroit où les prises manquaient. Un participant sur deux chutait tant l’escalade était périlleuse. C’est à peine si Ewen remarqua les premiers morts. Il était obnubilé, tout comme la foule, par un jeune homme de grande taille qui s’approchait dangereusement d’un des nids. Il grimpait avec agilité, utilisant bien ses pieds pour assurer un bon équilibre. Parmi le public, les hommes se donnaient des coups de coude pour mieux le voir.
Ses mains agrippèrent les épaisses branches d’arbre qui constituaient la fondation du nid. Il se hissa sans difficulté sur l’imposant promontoire.
L’œuf trônait au centre, seul, impérial ; aucun volatile ne gardait le lieu. Ewen retint son souffle. Le garçon n’était pas armé. Il s’avança vers l’œuf, jetant des coups d’œil apeurés aux alentours, ouvrit son sac et tendit la main vers l’objet de convoitise. À peine eut-il le temps de l’effleurer qu’un Ombre avec une vitesse stupéfiante tomba sur lui comme une pierre. Ses griffes se plantèrent dans ses épaules et, d’un coup de bec, l’oiseau lui arracha la tête.
Des milliers de personnes hurlèrent d’épouvante et de plaisir. La tête de l’homme fut projetée hors du nid, tandis que son corps s’effondrait sans vie près de l’oiseau. Le même traitement fut réservé à l’homme suivant, d’un certain âge, qui venait de grimper sur un sommet voisin. Dès le moment où ses deux pieds touchèrent les ramures de l’abri, un volatile le décapita d’un coup de griffe.
Les mains d’Ewen devinrent complètement moites et son cœur se mit à battre à tout rompre. Parmi les candidats, beaucoup se découragèrent ; d’autres, pensant que la chance pouvait leur être favorable, continuèrent leur escalade. Les corps, les plumes, le sang ne tardèrent pas à s’essaimer dans l’air tels du pollen. Le spectacle était terrifiant et grandiose… L’océan se maculait de taches vermeilles.
Une évidence le frappa : il ne devait pas perdre une seconde avant que les choses ne s’enveniment. La file d’hommes à flanc de falaise ne réduisait pas et le temps lui s’écoulait. Ewen décida alors de désescalader le pan rocheux pour gagner du temps.
Cyla
Cyla, de la cavité, avait une vue en plongée des aiguilles. Elle plissait les yeux pour discerner la silhouette de son père dans les flots, mais ne le distinguait pas.
— Où es-tu, Papa… répétait-elle d’une voix à peine audible.
Un bruit de pas, derrière elle, la fit se retourner. Elle se retrouva nez à nez avec le Prince.
— Nohan ? Qu’est-ce que tu fais là ? l’interrogea-t-elle, interloquée.
— Il y a eu un petit incident avec mon frère… Mon père nous a ordonné de revenir au Palais, mais j’avais envie de voir ce qui allait se passer et je voulais t’aider à retrouver ton père.
La jeune fille lui sourit, étrangement, elle se sentit soulagée par sa présence.
Des cris d’encouragement mirent fin aux explications.
Un homme à la stature de montagne gravissait l’aiguille la plus à l’est avec aisance.
— C’est Dabdeh Arnan, le champion de mon père, l’informa Nohan.
Il se balançait d’une prise à l’autre à la seule force de ses bras. Son habit noir et or étincelait sous la lumière éclatante du soleil. Il atteignit les ramures du nid et se hissa avec force à l’intérieur.
Cyla et Nohan le virent dégainer son tarkah, prêt à défendre chèrement sa vie. Il sauta dans un mouvement fluide en faisant virevolter son arme autour de lui. L’oiseau plongea, toutes griffes en avant, et vint s’embrocher sur l’arme. Une vague de hurlements euphoriques s’empara du public.
Dabdeh retira d’un coup sec le Tarkah ensanglanté du corps de l’Ombre avec un cri de joie libérateur et leva les bras au ciel face aux acclamations de la foule.
L’allégresse générale ne dura pas longtemps. Ce qu’il se passa ensuite plongea Cyla dans une angoisse et une terreur indescriptibles.
Au moment où Dabdeh tendait ses énormes mains vers l’œuf du volatile, plusieurs Ombres fondirent sur lui. Il n’eut pas même le temps de lever son arme pour se protéger. Dans un déluge de plumes et de sang, les oiseaux le dépecèrent, ne laissant de lui qu’une chair à vif et sanguinolente.
À genoux, agonisant, le colosse mit plusieurs secondes avant de s’effondrer au sol.
Un silence sinistre s’abattit sur le tournoi. Cyla pressentit la suite des événements. Jusqu’à présent, les Ombres n’avaient pas eu de pertes, ils avaient seulement défendu leur progéniture, mais l’un des leurs venait de périr. Les humains passaient de petits êtres nuisibles à menace sérieuse.
Plusieurs Ombres se posèrent sur le nid de leur congénère assassiné. Les griffes plantées dans les rameaux, ils scrutaient avec férocité la marée humaine qui les surplombait. Les volatiles faisaient claquer leurs becs de manière inquiétante et les plumes de leurs têtes formaient maintenant une crête sinistre. Leurs yeux jaunes brillaient de mille feux dans le soleil de midi. Brusquement, les monstres ailés s’envolèrent. Ils prirent de l’altitude, les serres dépliées, les ailes déployées.
Une pluie de flèches s’abattit sur eux. Les Ombres esquivèrent sans difficulté l’attaque. Ils disparurent de la vision de Cyla. Une clameur de terreur perça ses tympans. Les bêtes venaient d’attaquer.
C’est à ce moment précis que Cyla aperçut son père en train d’escalader l’un des rochers.
— PAPA ! hurla-t-elle.
— EWEN ! s'égosilla Nohan.
Ils répétèrent leurs hurlements plusieurs fois, mais le chaos emportait leurs cris.
— Je dois aller l’aider, Nohan ! Est-ce que tu me suis ?
— Oui Cyla, je te suis.
EWEN
Ewen commença son escalade, il avait compris que quelque chose se tramait quelques mètres plus loin, mais il devait utiliser toute sa concentration pour grimper. Il sentait la rugosité de la roche sous ses doigts. Il devait être attentif à chaque mouvement, réfléchir au meilleur moyen d’atteindre le nid. Il ne pouvait se permettre aucune erreur. Plus rien n’existait à part sa grimpe. Il avait l’impression de voir chaque prise avec une clarté étrange. Son pouls s’accéléra.
Il contourna un passage où la roche se désagrégeait et commença à grimper la partie en surplomb. «Pense aux pieds, pense aux pieds » se répétait-il mentalement. Si ses pieds lâchaient, il s’épuiserait en quelques secondes. Il jeta un coup d’œil en bas. Il était à la perpendiculaire de l’eau. Ses bras l’élançaient. Il ne voyait pas les prises suivantes. Il étira son corps à la recherche d’un trou. Rien. Il ne posait la main que sur des petites anfractuosités qui ne pourraient pas l’aider à se rétablir. Pourquoi avait-il dû se rabattre sur cette épine au lieu de celle qu’il avait travaillée ?
La panique commença à l'envahir. Sa concentration s’envola. Il sentit la sueur faire glisser ses doigts.
En dernier recours, il ramena ses deux mains sur la même prise. Ses pieds volèrent. Il lui sembla que son corps pesait deux tonnes. Il fit une traction sur ses deux bras pour se rapprocher du rocher et tendit ses doigts vers une fissure à sa droite. Ses jambes pendaient toujours lamentablement dans le vide. Il balança l’une d’elles vers la gauche pour parvenir à se redresser et tira sur ses membres de toutes ses forces.
Rétabli, il souffla un grand coup. Son pouls battait à tout rompre le long de ses veines. La sueur gouttait sur son front, ses bras, son dos. Le soleil l’éblouissait. La tête lui tournait. Le sommet lui paraissait si loin.
Il tenta de se reposer un peu en délayant lentement ses mains l’une après l’autre. Après quelques minutes, les forces revenues, il continua son ascension méticuleusement.
Le nid se rapprochait, ultime but, ultime espoir. Une douleur lancinante commença à lui étreindre les membres, comme si on lui piquait la peau avec des milliers de fines aiguilles. La tétanisation approchait. Il n’en avait plus pour longtemps. Ses doigts se mirent à trembler. Puis ses bras et ses jambes. Il inspira un grand coup comme si son souffle pouvait le hisser jusqu'au sommet. Sa vue se brouilla. Son emprise se déroba.
Un cri perçant et familier le réveilla dans sa défaite. Héclion était là. Fidèle compagnon. Sa présence lui redonna la force d’espérer. Il continua sur quelques mètres et agrippa les branchages du nid. Le ramage, ingénieux et solide, soutint son poids. Il se hissa et se retrouva sur l’imposant promontoire. Un Ombre tournoyait quelques mètres plus haut, menaçant.
L’oiseau se préparait, les serres tendues, les yeux fixés sur lui. L’affrontement approchait.
Ewen devait se trouvait une arme, il avait perdu son tarkah dans l’eau. Un moyen de défendre dignement sa vie. Il tira sur plusieurs branches du nid et, sous la traction, l’une d’entre elles se déroba. Au moins avait-il un bâton…
Long d’un mètre cinquante, il semblait plutôt solide. Il tenta de calculer ses chances de survie : elles étaient minces. Il vit Héclion voler à bonne distance de l’Ombre. Son aigle pouvait faire diversion. Il siffla quelques notes, pria tout haut la déesse Meï et se rua vers l’œuf. L’ombre s’abattit sur lui dans un cri perçant.
Il se jeta au sol et se retourna pour tenter de planter son bâton dans le corps du volatile. Il ne toucha que de l’air. Des gouttes de sang noires l’éclaboussèrent. Héclion venait de crever les yeux de la bête. Celle-ci, furieuse, tenta de se débarrasser du petit volatile par des claquements de bec enragés. L’Ombre vint se poser maladroitement dans le nid, ses yeux mordorés injectés d’un liquide sombre et gluant. Il émettait des piaillements aigus qui ressemblaient à des bouts de verre crépitant dans un feu. Voyait-il encore ?
Ewen, malgré la situation critique, fut empli d’une bouffée de compassion à son égard : l’oiseau ne faisait que défendre sa progéniture, rien de plus. Il vit son fidèle ami s’interposer entre lui et la bête.
Héclion était si petit par rapport à cette espèce. Sachant le combat inégal, Ewen se dépêcha de parcourir les quelques mètres qui le séparaient de l’œuf et le souleva. Il pesait lourd, peut-être une vingtaine de kilos, et mesurait plus de trente centimètres.
Lorsque l'Ombre s’en aperçut, il émit un claquement terrible. Les plumes de sa tête se dressèrent et il se rua sur lui en zigzaguant. Héclion s’attaqua de nouveau à ses yeux ; l’Ombre, s’y attendant, lui déchira l’aile d’un violent coup de bec. Le faucon s’effondra au sol, le corps secoué de soubresauts.
Ewen se mit à courir, l’œuf dans les bras, et sauta du nid. Il sentit l’animal le suivre dans sa chute. L’une de ses griffes lui déchira l’épaule. Il faillit lâcher son précieux paquet sous la douleur.
Dans une gerbe d’écume, il s’enfonça dans l’eau. L’océan le goba, le submergea et le happa ; le poids de l’œuf l’entraîna vers le fond. Il battit frénétiquement des pieds pour pouvoir remonter. Rien. Chaque mouvement semblait l’attirer inexorablement vers les ténèbres. Les bulles s’échappaient de sa bouche sans qu’il puisse les retenir. La lumière avait disparu, il s’enfonçait. L’air commença à lui manquer. Le choix était simple : il devait lâcher l’œuf s’il souhaitait vivre. Or, il ne pouvait se résoudre à lâcher le fruit de tant de lutte. Le silence l’enveloppa. Une étrange impression de flottement s’empara de lui. Il n’eut plus froid, plus mal.
Tout fut soudain clair : il avait pour la première fois l’impression d’être libre…
Kian
Lorsque Dabdeh Arnan mourut, Kian sentit que les habitants d’Etioli et lui-même couraient un grand danger. La première ligne de spectateurs commença à reculer lentement. Très lentement.
Instinctivement, personne ne tournait le dos aux bêtes, personne ne se regardait. Kian ressentit une terreur comme jamais il n’en avait ressentie auparavant. Les lignes suivantes, qui avaient un mauvais angle de vue, prirent la place des fuyards, ne se doutant pas qu’ils se condamnaient.
Il serait responsable du futur carnage. Pourquoi écoutaient-ils toujours les dieux ? Kian ordonna à ses archers de se préparer à tirer. Il allait défendre les habitants, même s’il devait y laisser sa vie. Les premières flèches filèrent dans le vide et ne touchèrent aucun volatile. Ses pensées s’envolèrent vers Azzan, si loin de l’événement. Heureusement. Au moins serait-il sauf.
Le Prince héritier somma les gardes de sortir leurs armes et de protéger le Kâ. Dans le soleil de ce début d'après-midi, les lances ressemblaient à des épis de blé.
Les Ombres fondirent sur la marée humaine. Les tympans de Kian faillirent exploser sous les hurlements de la population. Tout n’était que confusion et débandade. Les hommes, dans le chaos le plus total, se dispersaient vers la Cité en courant. Ils se poussaient, s’agressaient, s’agrippaient les uns aux autres avec l’énergie du désespoir. Ils se ruaient contre leurs frères, leurs pères, se jetaient au sol pour éviter les serres des bêtes. Les malheureux qui tombaient étaient piétinés par les autres. Kian aperçut même un père qui levait son enfant vers le ciel comme pour faire une offrande aux volatiles.
Les Ombres, dans des plongeons en chandelle, faisaient valser les hommes comme de candides poupées de papier. Ils attrapaient dans leurs énormes griffes épaules, têtes, bras, et relâchaient leurs victimes quelques dizaines de mètres plus haut. Des victimes qui portaient toutes des uniformes rouges et ors, comme Dabdeh. Comme son père. Cela ne pouvait être une coïncidence. Sa mère avait ordonné la confection de ces habits.
Le Kâ était en train de rebrousser chemin, entouré par une foule de gardes. Il s’époumonait pour lancer des ordres dans le but de protéger sa femme et sa fille, toujours dans la bulle dorée. Les Ombres clairsemaient les rangs en fondant parmi les soldats. C’était un massacre, un carnage.
Kian porta son regard vers les aiguilles et il aperçut Ewen sauter du nid, l’œuf dans les bras.
Il a réussi ! pensa-t-il.
Il avait besoin de cet œuf. Il devait le récupérer par tous les moyens.
— KIAN !
Le cri de son père le fit se retourner. Un Ombre était posé sur la cage dorée ; les piques lui perforaient les serres, mais il ne semblait pas y porter grande attention. Autour de la cage, plus aucun garde ne se tenait debout. Les corps gisaient, presque en cercle autour de la bulle. Le Kâ tenait un tarkah dans la main, il tentait de repousser le volatile au-dessus de lui de manière désespérée et désordonnée.
Kian se mit à courir à son secours, la lance levée vers les nuages. L’arme fila dans les airs et rata le volatile. La pointe du tarkah se ficha dans le sol à quelques centimètres de l’oiseau. Kian resta ébahi de son acte manqué. Jamais il ne ratait sa cible…
Avant qu’il puisse tenter autre chose, l’Ombre s’élança vers son père et planta ses serres dans ses épaules.
Kian ne hurla pas. La soudaineté de l’action, l’horreur de la scène étouffa son cri.
Le monstre prit son envol en emportant le corps de son père, il prit de l’altitude et relâcha soudain sa proie. Le souverain s’écrasa au sol dans un bruit d’os brisés.
Le prince héritier resta un moment tétanisé, les hurlements d’Astrée lui montèrent au cerveau. Sa vision se brouilla. Il accourut près du corps comme un pantin.
Le diagnostic fut rapide : la poitrine explosée par le choc, les yeux révulsés, les os apparents : le Kâ était mort.
Kian, bien qu’habitué à la vue de cadavres, s’affaissa près du corps sans vie, complètement sonné, presque nauséeux.
Son père était mort. Son père était mort.
Il ne voulait pas régner.
Ewen
Ewen ouvrit brutalement les yeux. La lumière l’inonda. L’ardeur du soleil lui abîma la rétine. Ses cils le piquèrent. Il brûlait devant le bleu du ciel. Un ciel dépecé de nuage, d’un bleu acier. Le sel emplissait sa bouche, ses habits. Avait-il rejoint la déesse Meï ? Ce silence était si agréable !
Son épaule l’élançait, il la bougea imperceptiblement. Un visage familier surgit dans son champ de vision. Cyla. Une bouffée de bonheur et de soulagement l’emporta, le poids sur ses épaules disparut et les larmes roulèrent le long de ses joues. Il avait cru ne jamais la revoir. Elle était bien vivante. Il avait tellement eu peur…
— Papa, Papa, chuchota-t-elle, transportée par les sanglots. J’ai cru que tu étais mort.
Elle posa sa tête contre son torse. La poitrine d’Ewen se soulevait sous des spasmes de pleurs. Les cheveux de Cyla sentaient l’océan, sa peau le sel, il s’enivra des effluves.
Cyla murmura :
— Je déteste ces oiseaux, Papa, ils ont failli te tuer…
Ewen se redressa dans un gémissement de douleur.
— Cyla, ne blâme pas la bête quand c’est l’homme qui est fou.
Sa fille hocha la tête. Ewen remarqua alors le prince albinos, en retrait, derrière Cyla. Il tenait dans ses bras l'oeuf d'Ombre. Son corps se raidit.
— Ne t’inquiète pas, il est avec moi, s’empressa de dire Cyla. Il m’a aidé à te secourir. C’est lui qui t’a porté jusqu’à la plage. Et ensuite, il a récupéré l'oeuf !
Ewen lui lança un regard suspicieux, mais il n’était pas en état de se battre.
— Mais par la déesse, pourquoi es-tu ici ? préféra-t-il demander.
— Il s’est enfui ! l’informa le prince. Et je l’ai aidé à rejoindre les falaises.
L’emploi du masculin le tranquillisa.
— Ça ne m’étonne pas de toi, répondit-il avec un regard tendre pour sa fille.
Il leva les yeux au ciel, les rapaces volaient calmement. Aucun bruit d’hommes ne venait troubler la quiétude naturelle des lieux. Le chaos avait pris fin.
Il souleva l’œuf et le tendit à sa fille. Cyla le réceptionna et fit de nombreux commentaires sur son poids.
— Tu vas retourner à la maison. Emporte l’œuf. Il te servira de monnaie d'échange s'il m'arrive quelque chose.
— Quoi ? Pourquoi ? Tu vas faire quoi ? Tu ne viens pas avec moi ? fit-elle d’une voix alarmée.
— Non, Cyla, cette petite aventure m’a appris une chose. Si je ne change pas les règles, tu ne seras jamais en sécurité. Je sens que je peux saisir une opportunité..
Il eut peur que sa fille argumente, essaie de le retenir, mais elle n’en fit rien. Il adressa un signe à Nohan pour qu’il l’aide à se relever. Celui-ci s’exécuta.
— Papa, ce sera long ce que tu souhaites faire ?
— Certainement, Cyla.
Il dévisagea ensuite l’albinos avec défiance avant de s’adresser à sa fille.
— Tu lui fais confiance ?
— Oui, Papa. Il n’est pas comme le reste de sa famille.
— Je t’avais dit de ne faire confiance à personne…
Cyla regarda par terre, honteuse d’avoir failli aux conseils de son père.
Ewen soupira. Qui était-il pour la juger ? Il avait dans le passé accordé plus d’une fois sa confiance. Ewen fixa le prince d’un air grave.
— Peux-tu le guider dans les souterrains jusqu’aux montagnes ?
— Oui, monsieur.
— Tu as sa confiance, donc la mienne. S’il lui arrive quelque chose, je te retrouverai et je te ferai subir des souffrances que ton imagination est incapable de produire…
Nohan acquiesça en déglutissant. Cyla sourit, amusée, et aida son ami à ranger l’œuf dans son sac en toile. Elle vint enlacer son père une dernière fois. Il déposa un doux baiser sur ses cheveux et la laissa partir. Les deux adolescents grimpèrent jusqu’à la cavité et disparurent dans le souterrain.
Ewen prit une grande inspiration et se dirigea vers l’escalier à flanc de falaise. Son épaule l’élançait énormément, il ne connaissait pas la gravité de sa blessure. Des corps jonchaient le chemin. Principalement des participants ou des soldats. Il commença à monter. Les marches étaient souillées d’un sang frais, cela le répugna. Lorsqu’il atteint le promontoire, le spectacle le tétanisa.
Une scène d’apocalypse se présentait à ses yeux.
Les morts parsemaient la terre. Les habits noirs et or miroitaient sous le soleil de l’après-midi. Le sang tapissait le sol comme un vernis. La bulle dorée traînait au milieu du gâchis. Il apercevait deux silhouettes avachies l’une sur l’autre. La reine et sa fille semblaient bien vivantes. Quelques mètres plus loin, il reconnut Kian, de dos, penché près d’un corps.
Ewen remarqua des ouvriers qui sortaient peu à peu de leur cachette, des habitants revenaient aussi vers le lieu du massacre, le pas traînant, la mine assombrie. Peut-être venaient-ils récupérer les corps de leurs frères ou de leurs amis ?
Ewen s’avança d’un pas décidé vers Kian. Il ramassa un narah au sol et se força à rester particulièrement silencieux. Lorsqu’il fut à une dizaine de mètres, il s’arrêta. Le corps sans vie était celui du Kâ. Une grande satisfaction s’empara de lui.
Avec un sourire, il prit un instant pour viser et projeta le bâton liane dans la direction du Prince. Le fouet s’enroula dans un claquement sec autour de la gorge du jeune homme. Celui-ci porta immédiatement ses mains à son cou pour tenter de se délivrer. Ewen le tira vers l’arrière, Kian s’étouffa. Les habitants se rapprochèrent de la scène. Ewen fit signe à un de ses ouvriers d’aller délivrer la reine et sa fille. L’homme, sans poser de questions, lui obéit. Kalie se précipita vers le corps sans vie du Kâ. Astrée resta immobile, à bonne distance de la dépouille de son époux. Ewen montra le prince du doigt et d’autres habitants accoururent vers Kian. Ils attrapèrent ses bras fermement, paralysant ses membres. Ewen relâcha la pression sur la nuque du jeune homme pour le laisser respirer. Il ne souhaitait pas le tuer.
Un otage serait nettement plus intéressant pour l’avenir. Il se déplaça vers la cage, suivi par le Prince et ses geôliers. Ceux-ci firent grimper le prisonnier dans la bulle et ils refermèrent avec soin la structure. Kian, délivré du Narah, s’agrippa aux barreaux.
— Ewen, que faites-vous ? Je ne suis pas une menace ! Que voulez-vous ? Le pouvoir ?
Ewen l’ignora superbement et se percha sur un énorme rocher.
Des ouvriers, des habitants l’entourèrent, leurs yeux emplis d’une certaine déférence.
— Mes amis ! Mes frères ! Habitants d’Etioli ! Vous avez été bien trop longtemps opprimés ! Vous avez longuement souffert du joug de la tyrannie ! Relevez-vous ! Le Kâ est mort ! Faites passer la nouvelle ! On vous a volé vos femmes ! On vous a volé vos filles ! Cette séparation ne peut durer. Rejoignez-moi ! CE SOIR NOUS ALLONS DÉLIVRER LES FEMMES !
Les hommes reprirent en chœur.
— Allons délivrer les femmes !
— Tous au Palais !
— Tous au quartier des femmes !
La clameur résonna un peu partout, la nouvelle se répandait comme un écho et le groupe de révoltés enflait, grossissait à vue d’œil.
Les hommes armés prirent la direction du Palais.
Renversement de pouvoir dans le sens des protagonistes yes !
J'ai bien fait d'être fan d'Ewen dès le début. Meilleur perso du livre (pour moi). Il a exactement la dimension épique que j'imaginais. Merci infiniment pour la création de ce personnage. (J'ai peur pour la suite par contre. Pitié pas d'Ewen qui agonise en disant à Cyla à quel point il l'aime !! Hahaha Je le sens très mal !)
Je suis vraiment contente que tu aimes Ewen, moi aussi je l'adore (même si ce n'est pas mon préféré).
"(J'ai peur pour la suite par contre. Pitié pas d'Ewen qui agonise en disant à Cyla à quel point il l'aime !! Hahaha Je le sens très mal !)" => Hum je ne dis rien, je ne dis rien
Ahah hâte de te voir commencer la seconde partie maintenant !
A bientôt Joren ! Merci pour tous ces commentaires, tu as illuminé ma journée :p
Me revoici :) Désolée des qql jours (semaines? :o) depuis mon dernier message, j'ai lu d'autres plumes entre temps ^^
Mais sinon: je me suis laissée porter par le plaisir de la lecture pour qql chapitres, raison pour laquelle je n'ai pas tant commenté, et donc c'est un point vraiment positif pour toi, car s'il y avait eu des choses qui m'avaient gênée, je te l'aurais fait signaler ;)
Pour reprendre certains points:
-alors je dois dire que j'apprécie de plus en plus tes personnages et que suivre leurs péripéties est un vrai plaisir ! J'aime cette pluralité de voix qui évoluent dans le même univers et qui finissent par se rejoindre, mue par un même but, à savoir fuir leur ville respective ^^ Spéciale mention pour Nohan, je suis tombée en amour de ce personnage, et le duo qu'ils forment avec Cyla, vraiment j'adore haha. Même Kian, qui pourtant n'est pas tout tendre, a su me toucher, je sais pas mais qqch en lui m'attendrie, sûrement parce que je comprends ses motivations profondes :) Et l'impertinence d'Alya, toujours aussi phénoménale cette fille (et moi qui ai fangirlé sur son rapprochement avec Jun dans le chapitre précédent haha).
-Concernant l'intrigue: l'étau se resserre et l'intensité augmente. Ce chapitre-ci était particulièrement captivant et prenant, je salue les superbes descriptions que tu as fait de la scène et de son carnage. On sent l'horreur de la situation et s'imagine à merveille la férocité des bêtes, on somme on s'y croirait et on tremble avec tes personnages, tu as vraiment une belle faculté de conteur :)
Bon voili voilou, je n'ai pas tellement d'autres choses à te dire, si ce n'est que j'apprécie tout particulièrement ton histoire et que je réjouis d'en découvrir la suite. A tout bientôt ! :D
Ton message m'a fait super plaisir ! ça me fait tellement du bien de lire ce type de retour, ça me remotive !
Le "couple" Nohan/Cyla gagne tous les suffrages dans cette histoire :p
"l'impertinence d'Alya, toujours aussi phénoménale cette fille (et moi qui ai fangirlé sur son rapprochement avec Jun dans le chapitre précédent haha)."=> Mmm toi tu vas aimer la suite :p
"tu as vraiment une belle faculté de conteur :)" => Merci <3
"j'apprécie tout particulièrement ton histoire et que je réjouis d'en découvrir la suite. " => J'ai très hâte que tu lises la suite en particulier que tu arrives au chapitre de l'Odalisque :) Tu me diras ce que tu en penses.
Tu verras que les rebondissements s'enchaînent dans la deuxième parite ! Tu ne vas pas t'ennuyer !
Pleins de bisous volants !
A bientôt sur ton histoire ou sur la mienne <3
Super cette réflexion « pensa que le soleil avait le don d’embellir les gens, sauf lui » il est tellement touchant, j'adore Nohan…
Je trouve ça génial que personne ne se rende compte que Cyla est une fille, ça lui fait un secret, même si normalement sa voix devrait la trahir… Après si elle se comporte toujours comme un mec, ça doit finir par faire illusion…
J’ai l’impression que c’est la seule action que je ne regretterai jamais. = Trooooop chou !! J’adore !
Pourquoi Ewen a-t-il fui le palais avant ? À cause de la naissance de sa fille ? Je ne me rappelle plus si c’est dit ou pas.
La reine et la princesse sont enfermées dans une cage ??
« Bien sûr, il va sans dire, que si l’un d'entre vous s’approche de la cage où mon épouse et ma fille observent le spectacle, ce sera là son dernier geste… J’espère que vous m’avez bien compris » = est-il nécessaire pour lui de le préciser ? Les gens devraient le savoir, non ?
Nohan pleure alors que son frère est un parfait crétin ? Haha j’adore la suite !
Wow ! On se demande comment Ewen va s’en tirer, ça serait dommage qu’il meure maintenant…
Ah bah au moins y’en a un qui n’est pas complètement idiot ! C’est cool que Kian veuille défendre la population.
Allez ! Retournement de situation, plus de Ka… bon bah comme ça il va y avoir du changement ! Révolution !! génial ! Super chapitre ! J'aime vraiment ton histoire !
"Je trouve ça génial que personne ne se rende compte que Cyla est une fille, ça lui fait un secret, même si normalement sa voix devrait la trahir… Après si elle se comporte toujours comme un mec, ça doit finir par faire illusion…" => Alors, je pars du principe que les persos pensent que Cyla n'a pas mué encore, ce qui est plausible car j'ai beaucoup d'élèves garçons qui ne muent que vers 14/15 ans. Après, vu que c'est un monde où il y a très de filles, je pense que les personnes ne se posent pas trop de questions...
Tu as raison pour la phrase du Kâ, il n'a peut-être pas besoin de le dire !
"Pourquoi Ewen a-t-il fui le palais avant ? À cause de la naissance de sa fille ? Je ne me rappelle plus si c’est dit ou pas." => Mmmm je l'expliquais dans mon ancienne version et je l'ai enlevé dans ma nouvelle. En gros, le Kâ a tué sa famille (sauf son frère) car elle lui faisait de l'ombre.
"Nohan pleure alors que son frère est un parfait crétin ? Haha j’adore la suite !" => Mais oui mais c'est son jumeau tout de même^^
"Wow ! On se demande comment Ewen va s’en tirer, ça serait dommage qu’il meure maintenant…" => T'as aimé le passage d'escalade :D ?
"Ah bah au moins y’en a un qui n’est pas complètement idiot ! C’est cool que Kian veuille défendre la population." => Kian n'est pas un méchant homme tout de même ;)
"Allez ! Retournement de situation, plus de Ka… bon bah comme ça il va y avoir du changement ! Révolution !! génial ! Super chapitre ! J'aime vraiment ton histoire !" => Hiiiiii merci <3. ça me fait super plaisir <3
J'apprécie beaucoup de voir Nohan et Cyla ensemble, ils sont adorables en début de chapitre, j'espère les voir encore longtemps ensemble ces deux-là !
Bref, je vais poursuivre ma lecture.
A bientôt :)
"Quel chapitre ! J'ai été entraîné dans toute cette action. "=> Oui j'avais dit de prendre de la ventoline ! hihi.
"J'ai bien cru qu'Ewen allait mourir :o" => Il n'est pas passé loin ! XD
"J'apprécie beaucoup de voir Nohan et Cyla ensemble, ils sont adorables en début de chapitre, j'espère les voir encore longtemps ensemble ces deux-là !" Ne t'inquiète pas, c'est prévu !
Merci de ta lecture ! A bientôt !
Une seule question se pose : quel est le but d’Ewen ? Est-ce en accord avec les magouilles de la reine ? J’ai aussi très peur pour les habitantes du quartier des femmes...
J’ai aussi très peur pour les habitantes du quartier des femmes... => Je dirai seulement que les femmes ont plus d'un tour dans leur sac :p
Je file répondre à tes autres coms ! Merci <3
-les personnages sont cohérents avec leurs actions, certains sont frondeurs dans l'âme, d'autres sages. Tous très attachants (jun et Alya forment un super duo, Alya est très humaine et j'aime beaucoup cela). Ewen est le père rêvé, je l'adopte n'importe quand !).
- L'action est dosée, juste, (tu gères l'alpinisme ou l'escalade non?), on y croit, on est plongé dans ton récit et tu utilises super bien la forme pour faire comprendre le fond de ton récit.
- Tu distilles toujours les notions qui te semblent chères autour de la relation homme /nature (en effet, les oiseaux ont raison de se défendre...), la technologie et l'homme, le souvenir et la mémoire...
On passe un très bon moment (même si mon coeur fait un peu les montagnes russes, mais ça, je crois que ça t'amuse !!) , on s'émeut de leurs destinées et on découvre un univers toujours aussi foisonnant !
En plus, je trouve que ta partie s'achève avec brio : le "Allons sauver les femmes" est absolument génial ! Bravo !
Oh je suis trop contente de te revoir par ici :D
En plus avec un peu de chance, tu vas pouvoir avoir la fin du tome pendant les vacances :) Chanceuse va ! (certains attendent depuis longtemps ! mdr)
Rohhh lalaa tu me fais trop de compliments, je vais finir par y croire ! lol
En effet, je pratique l'escalade donc je me suis bien amusée dans cette partie pour décrire l'ascension d'Ewen :)
Je suis contente que mes thèmes de prédilection te plaise ( mémoire, féminisme, l'homme contre la nature ;-) )
Comme tu vas le voir, la partie 2 est plus sombre, plus "adulte" je dirai.
Je suis contente si tu aimes les persos mais attention ne te fie pas trop à eux :p
Pleins de bisous volants <3
Je t'ai fait mes réactions à chaud pendant la lecture, je n'ai pas réussi à m'arrêter et je te dis un grand bravo ! (Et désolée à l'avance pour les pétages de câbles xD)
Même si je suis un peu dure pour certains passages, j'ai vraiment aimé et c'est plus sur la forme que sur le fond, donc comme tu n'as pas encore fait de relecture pour ce chapitre, j'espère que ça pourra t'aider ;)
"Cyla récupéra le tout et emboîta le pas au Prince"
-> emboîta le pas du* Prince, non ?
La relation entre Nohan et Cyla est très belle, une amitié qui se construit naturellement sur la souffrance mutuelle et le besoin de survivre dans leur monde respectif.
J'espère qu'on aura l'occasion de les revoir ensemble et que Nohan aura l'occasion de savoir que Cyla est une jeune fille :)
"Bien sûr, il va sans dire, que si l'entre vous s'approche"
-> que si l'un* d'*entre vous
J'ai eu peur pour Anaël ! Je ne sais pas pourquoi je me suis attachée à ce gosse insupportable et misogyne, mais je suis contente qu'il ne participe pas !
OK, je ne m'attendais pas à autant de violence ! :o Tu me mets en panique avec ton tournoi. Je retiens mon souffle, l'ambiance est monstrueusement bien décrite ! Et c'est de pire en pire dans la suite !!!
Ah bah on revoit Nohan et Cyla ensemble, suffisait de demander mdr
"Plus rien n'existait à part sa grimpe."
-> son ascension* ça permet de moins répéter le mot "grimper" que tu utilises pas mal ici et ça me semble plus français également ^^
Si tu veux des synonymes de grimper : écheler, ascensionner, escalader, gravir, monter, s'élever, se hisser, varapper
Bon c'est plus un avis personnel parce que mes parents sont grimpeurs, mais je pense que tu pourrais retravailler le passage d'Ewen sur la falaise avec un vocabulaire plus compliqué et plus adapté à l'escalade.
L'ambiance et le stress sont là, mais les mots un peu "simples" gâchent un peu le tout je trouve.
"Héclion venait de crever les yeux de la bête."
-> COMME FUMSEK AVEC LE BASILIC !!!! J'ai la réf alors que si ça se trouve y en a même pas xD
"Tout fut soudain clair : il avait pour la première fois l'impression d'être libre..."
-> Euh non, je ne suis pas d'accord, pas ça, tu n'as pas le droit ! Cyla va le sauver hein ? Kian ? Alya ? La grand mère d'Alya ? Batman ? QUE QUELQU'UN SAUVE EWEN, S'IL VOUS PLAIT !!!!!
"Au moins serait-il sauf."
-> Cette phrase est bizarrement tournée. Ce sont les pensée de Kian j'imagine, mais pourquoi tu formules ça sous forme interrogative ? "Au moins il est sauf/en sécurité" semble plus correct, non ?
"les lances ressemblaient à des épis de blé"
-> Cette image est à la fois inattendue et emprise de sens, j'aime beaucoup !
"dans un ballet de plongée/contre plongée"
-> What ? keskecé ? une fatigue passagère ? Tu mets des slashs maintenant dans ton récit ? xP
De plus, la contre-plogée est un terme qui s'utilise plus dans le domaine de l'image (photographie, cinéma ...) du coup, même si je comprends le sens de ta phrase, je ne trouve pas trop que ça ait sa place dans cette situation.
"Ewen ouvrit brutalement les yeux."
-> OK ! FAUSSE ALERTE ! TOUT VA BIEN ! Ewen est en vie ! Je respire ! (Oui t'as vu, pour le coup le Kâ ça ne me fait pas grand chose, oups)
BON ! Je vais laisser mon coeur se calmer avant d'aller lire la suite ;)
Bisous !
Roooh j'attends toujours les réactions de ce chapitre avec impatience :p
Hihihih je t'avais dis de prendre de la ventoline ! XD
Je suis super contente si tu l'as lu d'une traite (tu sais qu'il fait tout de même 7000 mots ce chapitre !)
"La relation entre Nohan et Cyla est très belle, une amitié qui se construit naturellement sur la souffrance mutuelle et le besoin de survivre dans leur monde respectif." => Ah ça me fait plaisir car j'ai eu pas mal de retour me disant que cela allait trop vite entre eux !
"J'espère qu'on aura l'occasion de les revoir ensemble et que Nohan aura l'occasion de savoir que Cyla est une jeune fille :)" => Bah oui, ils vont se revoir ! OF COURSE !
"J'ai eu peur pour Anaël ! Je ne sais pas pourquoi je me suis attachée à ce gosse insupportable et misogyne, mais je suis contente qu'il ne participe pas !"=> Oui, bon Kian est obligé de sortir les grands moyens mais bon...
"Euh non, je ne suis pas d'accord, pas ça, tu n'as pas le droit ! Cyla va le sauver hein ? Kian ? Alya ? La grand mère d'Alya ? Batman ? QUE QUELQU'UN SAUVE EWEN, S'IL VOUS PLAIT !!!!!"=> MDR, tu m'as fait trop rire ! T'inquiète pas ! Il joue un rôle important par la suite !
"OK, je ne m'attendais pas à autant de violence ! :o Tu me mets en panique avec ton tournoi. Je retiens mon souffle, l'ambiance est monstrueusement bien décrite ! Et c'est de pire en pire dans la suite !!!" => Oui j'avoue que même si je ne suis pas fan de la violence, elle était nécessaire. On se doute bien que les Ombres ne vont pas se laisser faire...
Alors pour le passage avec la grimpe, au début j'avais écrit quelque chose de bien plus technique ( car je fais de l'escalade, c'est ma passion), une amie m'a dit que c'était trop technique donc j'ai un peu simplifié. Je pense qu'à part un ou deux mots, je ne vais rien changer ;-)
"COMME FUMSEK AVEC LE BASILIC !!!!" Purée avant de comprendre la référence à Harry Potter, j'ai cru que tu me parlais d'une recette de cuisine ! XD
"What ? keskecé ? une fatigue passagère ? Tu mets des slashs maintenant dans ton récit ? xP" => Tout à fait Madame ! Lol. J'avoue que c'est pas la meilleure tournure, je vais réfléchir pour la changer !
"(Oui t'as vu, pour le coup le Kâ ça ne me fait pas grand chose, oups)"=> En même temps, je trouve que personne n'a été réellement attristé par sa mort ! Lol
Merciiiiiii beeaucoup pour ton ressenti, j'ai bien rigolé ( oui je suis sadique, I know^^)
En vrai, les 7k mots ne se ressentent pas tellement parce que ça s'enchaîne très fluidement et qu'il se passe beaucoup de choses !
"Oui, bon Kian est obligé de sortir les grands moyens mais bon..." -> j'ai un peu l'impression que si tu ne sors pas les grands moyens avec Anaël il fonce comme un idiot dans le mur xD
Ta violence reste hyper bien dosée dans ce chapitre, bravo :D
"une amie m'a dit que c'était trop technique donc j'ai un peu simplifié" -> Je pense que tu peux faire un entre deux du coup (ouai j'aime placé des références à mon livre comme ça mdr) mais je comprends oki !
ALORS, tu peux essayer de faire de la cuisine avec un Basilic, mais fais gaffe, les crocs sont empoisonnés ;P Mon copain bug aussi quand je lui parle de basilic pour les tomates, il ne comprend pas pourquoi je veux mettre du "serpent" dans les tomates *facepalm*
Le Kâ qui ? #TeamEwen !
À part ça, quand même, bravo Ewen parce que moi je l’avais enterré avant même qu’il descende sa falaise. Je suis vraiment pas optimiste, je m’en rends compte à présent XD
Toutes les scènes d’escalade puis d’action avec Ewen sont très bien décrites et je trouve que tu enchaînes les points de vue au top. J’étais contente quand le Kâ est mort XD je suis pas sympa, mais comme il était con je n’ai point de scrupule.
Et vas-y Cyla, élève ces petits Ombres, chevauche-les et apprend leur à tuer tous tes opposants \o/ J’espère qu’elle ira à Astrakam là-dessus, ça ferait une superbe entrée en matière, c’est sûr que sa mère l’aimerait de nouveau (après l’avoir abandonnée lâchement !)
Bon par contre, on est d’accord qu’Ewen et sa révolution, on n’y croit pas trop ? XD Le mec décide de faire un coup d’état sur un coup de tête, après avoir failli mourir noyé avec un gros œuf de poule. Calme-toi Ewen, retourne dans les montagnes, l’air de la ville ne te réussit pas !
Entre elle et la grand-mère franchement, c’est l’enfer ce roman XD => Bah écoute dans un monde d'hommes les femmes doivent se faire une place par tous les moyens :p
"À part ça, quand même, bravo Ewen parce que moi je l’avais enterré avant même qu’il descende sa falaise. Je suis vraiment pas optimiste, je m’en rends compte à présent XD" => en même temps tu sais ce qu'il va se passer mais tu ne sais pas quand XD
"Toutes les scènes d’escalade puis d’action avec Ewen sont très bien décrites et je trouve que tu enchaînes les points de vue au top".=> Cool ;) J'ai tellement bataillé sur ce chapitre ! ( c'est le plus long d'ailleurs ! 7000 mots je crois !)
"J’étais contente quand le Kâ est mort XD je suis pas sympa, mais comme il était con je n’ai point de scrupule"$> Moi non plus ! xd
"Et vas-y Cyla, élève ces petits Ombres, chevauche-les et apprend leur à tuer tous tes opposants \o/ J’espère qu’elle ira à Astrakam là-dessus, ça ferait une superbe entrée en matière, c’est sûr que sa mère l’aimerait de nouveau (après l’avoir abandonnée lâchement !)"=> C'est prévu :-)
"Bon par contre, on est d’accord qu’Ewen et sa révolution, on n’y croit pas trop ? XD "=> Bah tu verras bien :p
"Le mec décide de faire un coup d’état sur un coup de tête, après avoir failli mourir noyé avec un gros œuf de poule".=> TU ME FAIS MOURIR DE RIRE MEUF
"Calme-toi Ewen, retourne dans les montagnes, l’air de la ville ne te réussit pas !"=> Ne t'inquiète pas Ewen, moi je crois en toi <3
Pleins de bisous léthouille <3
Bon, j'y suis, je viens enfin commenter ces chapitres !
Je trouve que la multiplicité des points de vue de ce chapitre est plutôt intéressante. Elle apporte plusieurs lectures de cet événement et je trouve que cela amène du dynamisme et du suspens.
Quelques remarques tout de même !
Je suis moyennement ''convaincue'' par la relation Cyla et Nohan (même si elle est chouette ;) ). Du moins, elle est un peu subite. Je crois avoir lu quelque part que tu voulais rajouter un peu de liant entre eux, et je trouve que ce serait une bonne chose :) Ils le mérient tous les deux :)
La mort du Kâ n'était pas prévisible, je pensais même que c'est plutôt sa femme et sa fille qui passeraient à la casserole ^^ Je suis par contre suprise de certaines réactions. Pour Astrée qui se jete sur son mari mort : (d'ailleurs la menace des oiseaux planne-t-elle encore à ce moment ? j'ai l'impression qu'elle prend fin avec la mort du Kâ ? ce n'est pas un peu abrupt ? ) avec ce que j'avais intégré de sa personnalité, n'aurait-elle pas plutôt déguerrpie (en fait, je ne pensais pas qu'elle ait quelque chose à faire de son mari... non ?). Parce que mari mort = danger pour elle(s) aussi... quitte à ce qu'elle se fasse ratrapper par les villageois après...
Il y a deux intentions qui ne m'appraisse pas clairement. Je nuance mon propos ici parce que j'aimerai relire cette première partie afin d'être plus objective dans ce que ce je te raconte. Je te le dis quand même, mais ne le prends pas pour argent comptant ;)
- d'une part Kian, que j'aime beaucoup, mais j'ai du mal à cerner le personnage. Je me doute que tu veux ménager des effets et des surprises, mais c'est troublant parce que je ne sais pas si je dois avoir de l'empathie/sympathie ou non pour ce personnage. En fait, je crois que je le trouve trop trouble et ce flou pourrait être dérrangeant à la longue. Sans tomber dans un manichéisme prévisible, au contraire, la dualité de ce qu'il pense ou ressent pourrait être un levier, je pense que ce perso pourrait avoir une envergure plus importante et déclancher des enjeux phares dans ton histoire. Par exemple, Anaël est méchant, mais on sent qu'il cache ses failles via sa méchanceté. Il n'est donc pas que méchant et a ses zones d'ombres/lumières aussi. Nohan, c'est le ''différent'' de la famille, timide au grand coeur, élevé à la dur et sous les railleries des siens, il n'a pas une place facile, partagé entre loyauté et haine. Sur ces deux personnages, on sait pourquoi on peut s'attacher (ou pas) à eux. mais je trouve que Kian, c'est dur de dresser un portrait de lui. Quel que soit le rôle que tu lui réserves, je garde un petit goût d'inachevé.
-d 'autre part Ewen. Mener une révolution sans le vouloir c'est un pari... je sais qu'il veux changer la société. Peut-être pourrais-tu insister sur le fait que si lui n'y va pas, les choses resteront comme elles sont. De voir Kian affaibli lui donne envie de s'octroyer le droit de faire changer les choses. Il ne vient plus pour argumenter avec lui, mais dans la faiblesse de son ''adversaire" il y voit une opportunité. Je ne suis pas sûre d'être claire, mais je crois que je ne sens pas assez de colère chez Ewen pour se retrouver à mener une révolution et prendre le leadercheap auprès des autres.
Enfin voilà... Bon, ce ne sont, très honnêtement, que des réflexions à voix haute... je relis tout ça et jete ferai un retour plus complet sur cette première partie. Si ça se trouve, tout coule tout seul ;)
En tout cas, très joli travail, tu nous tiens en haleine, tu crées des rebondissements supers et j'ADOOOOORE cette histoire ! <3 <3
bisettes et à très vite :)
Merci pour tes supers retours <3
Je suis moyennement ''convaincue'' par la relation Cyla et Nohan (même si elle est chouette ;) ). Du moins, elle est un peu subite. Je crois avoir lu quelque part que tu voulais rajouter un peu de liant entre eux, et je trouve que ce serait une bonne chose :) Ils le mérient tous les deux :) => Je pense rajouter un chapitre sur eux pour approfondir leur relation :)
Pour Astrée qui se jete sur son mari mort : (d'ailleurs la menace des oiseaux planne-t-elle encore à ce moment ? => Non, en effet, la menace se termine après la mort du Kâ car les oiseaux ont tué tous les gardes.
avec ce que j'avais intégré de sa personnalité, n'aurait-elle pas plutôt déguerrpie (en fait, je ne pensais pas qu'elle ait quelque chose à faire de son mari... non ?). Parce que mari mort = danger pour elle(s) aussi... quitte à ce qu'elle se fasse ratrapper par les villageois après... => Ce serait intéressant, je vais y réfléchir.
Je prends note de tes remarques sur Kian. J'ai choisi délibéremment de le rendre un peu trouble car il n'a pas (encore) de point de vue et qu'on le voit seulement par le biais des autres personnages... C'est vrai que du coup on a du mal a avoir de la sympathie pour lui mais bon ça ne me dérange pas !
Pour Ewen, lors de ma relecture, je pourrai revoir un peu ses pensées et son rôle pour rendre sa révolte plus crédible :). Après, je souhaitai montrer que cette colère est enfuie, presque oubliée grâce à Cyla. Le tournoi fait renaitre ses sentiments...
En tout cas, très joli travail, tu nous tiens en haleine, tu crées des rebondissements supers et j'ADOOOOORE cette histoire ! => Roh ça me fait plaisir que tu dises ça. Depuis mon échec au concours, j'ai l'impression que tout ce que j'écris c'est nul et je commence un peu à perdre la foi dans cette histoire...
Merci de me redonner du courage <3
Pleins de bisous volants
Bravo pour un premier jet : ça tient la route et je dirais même que ça file à toute vitesse. En plus, tu as un rythme soutenu dans la publication de tes chapitres rebravo !
Je ne l’avais pas vu venir. Je pariais sur la mort d’Ewen et ce retournement de situation où la famille royale se retrouve en mauvaise posture m’a agréablement surprise. J’ai accueilli avec plaisir tout ce qui leur arrive. Je n’avais aucune sympathie pour le Kâ. Kian souverain avec une révolte sur le dos ça promet de meilleurs développements que son père fou.
Au départ, je n’étais pas convaincue par le PDV d’Ewen, j’avais une impression bizarre d’observer le concours à distance et, même si j’aime la multiplication des focales, je trouvais que ça manquait de dialogues, les personnages étant la plupart du temps seuls face aux événements. Mais tu m’as eue au fil de la lecture et j’ai été embarquée dans cette succession d’actions.
Le seul point à améliorer est le développement de la relation Cyla et Nohan surtout s’ils restent ensemble à la fin de ce chapitre. Leur rapprochement si rapide dans le précédent chapitre m’avait déjà interpelée. Je trouve qu’il manque quelque chose pour croire à cette amitié ou peut-être sont-ils décrits trop proches, trop confiants à ce stade de l’histoire. Je les verrais bien partenaires contraints et forcés dans un premier temps. Le début du chapitre peut être facilement retravaillé pour donner autre chose au lecteur.
Peccadilles :
Il est peu probable qu’Ewen en un coup crève les deux yeux de l’Ombre.
L’histoire d’élever l'oiseau tombe un peu comme un cheveu sur la soupe.
Si l’œuf est si lourd quand Ewen le récupère, je vois mal Cyla le porter dans son sac jusque chez elle. ;)
Hâte de voir comment tout ce beau monde se réunit dans la partie 2, bonne scribouille
Kian souverain avec une révolte sur le dos ça promet de meilleurs développements que son père fou. => Tu auras ta réponse au chapitre suivant :p
Au départ, je n'étais pas convaincue par le PDV d'Ewen, j'avais une impression bizarre d'observer le concours à distance et, même si j'aime la multiplication des focales, je trouvais que ça manquait de dialogues, les personnages étant la plupart du temps seuls face aux événements. Mais tu m'as eue au fil de la lecture et j'ai été embarquée dans cette succession d'actions. => Bon tant mieux si à la fin tu t'es laissée porter mais je ferai attention lors de la réécriture de retravailler ce chapitre. Pour l'instant je n'en suis pas pleinement satisfaite !
Tu as totalement raison pour Nohan et cyla, je pense rajouter un chapitre sur eux qui viendra juste après que Nohan la sauve ! (après il faudra voir si ne perd pas en rythme!)
Il est peu probable qu'Ewen en un coup crève les deux yeux de l'Ombre. => c'est son faucon qui lui crève les yeux mais ce n'est peut-être pas très clair je vais relire.
L'histoire d'élever l'oiseau tombe un peu comme un cheveu sur la soupe. => Tu as tout à fait raison, je n'ai peut-être pas besoin d'en parler maintenant.
Si l'œuf est si lourd quand Ewen le récupère, je vois mal Cyla le porter dans son sac jusque chez elle. ;) => En effet, j'y avais pas pensé ! xd :p
Merci encore de ta lecture :)
Pleins de bisous volants <3
J’avais prévu de te laisser ce com’ avant que le PArathon commence mais bon, euh, oups. Je le fais quand même là parce qui si j’attends un mois ça sera une catastrophe lol
Coquillettes et suggestions :
« il pourrait alors le guider sans encombres (encombre) jusqu'aux souterrains. »
« l'apreté (âpreté) des montagnes. »
« les colères de sa sœur, les imbécillités de son jumeau et les affaires étranges de Kian » Le terme me paraît un peu faible…
« - ça (Ça) fera l'affaire, Nohan, je vais me débrouiller. »
« - Très bien. Prends le sac alors et suis-moi.
Cyla récupéra le tout et suivit le Prince » Repet (emboîta le pas au Prince ?)
« Il lui tendit la carte qu'il avait dessiné(e) pendant la nuit. »
« ce chemin(-)là te mène jusqu'aux falaises »
« Il l'ouvrit et disparu(t) dans le souterrain »
« Enfermée dans son chars (char) doré »
« une petite fille de 6 ou 7 (six ou sept) ans, bien dodue pour son âge »
« une somme de 50 000 (cinquante mille) Etioles et un appartement dans mon palais ! Au signal de la cloche, vous passerez par 10 (dix) »
« toutes les armes du Kensaï (Kansaï, non ?) »
« devant les entrées symbolisées par des drapeaux jaunes vifs (jaune vif) »
« dès que vous me donnerez en mains propres ce magnifique œuf, vous serez réuni(s). »
« Certaines aiguilles sont lisses où (ou) trop éloignés du rivage »
« Les Ombres virevoltaient en contrebas encore ignorant(es) des actions qui se tramaient »
« - Vous êtes rien que des faibles, vous n'avaient (n’avez) même pas les couilles d'y aller »
« Ewen décida alors de desescalader (désescalader) le pan rocheux pour gagner du temps. »
« Les Ombres dans un ballet de plongée/contre plongée faisaient valser les hommes » Un peu maladroit ce « / »…
« il tentait de repousser le volatile au(-)dessus de lui de manière désespérée et désordonnée. »
« Ils restèrent ainsi de longues minutes, enlaçés (enlacés). »
« il posa l'oeuf (œuf) sur ses genoux »
« - Il s'est enfui ! l'informa le prince(,) et je l'ai aidé à rejoindre les falaises. »
« - ça (Ça) ne m'étonne pas de toi, répondit-il avec un regard tendre pour sa fille. »
« - Je t'avais dis (dit) de ne faire confiance à personne... »
« Celui-ci sans poser de questions, lui obéit. Celles-ci se précipitèrent vers le corps sans vie du Kâ » Repet (et c’est un peu moche aussi, surtout qu’on a du mal à voir à qui ça se réfère)
« Vous avez été bien trop longtemps opprimé(s) ! »
« le groupe de révolté(s) enflait, grossissait à vue d'oeil (œil). »
Le changement de point de vue dynamisait vraiment l’ensemble, c’était cool ! En plus il y avait d’action et de aaaahh – tu as raison, la ventoline aurait été une bonne idée XD Il s’en est passé des choses dans ce chapitre en tous cas ! L’évasion de Cyla, le tournoi, l’œuf récupéré, l’alliance Cyla-Nolan qui continue, et puis surtout la mort du Kâ ! Ah !! Je ne m’y attendais vraiment pas ! Du coup, je me demande vraiment ce que ça va donner, avec la succession et tout… J’imagine que Kian sera moins libre d’aller se balader jusqu’à Astrakam s’il est souverain, hein ? Et puis avec Sinaï aussi, je ne sais pas si elle va être contente ou pas… ou plus libre de tenter quelque chose contre Astrée, hum ? Du coup son plan d’empoisonnement/chantage tombe probablement à l’eau aussi. Ah, j’ai hâte de savoir toutes les répercussions que ça peut avoir ça !
Et… euh… la révolte. LA REVOLTE QUOI. J’ai aimé comment tu amènes ça petit à petit, on ne s’en douterait pas la première fois qu’on rencontre Ewen, on pense que c’est juste un « fermier », et puis on en apprend plus sur son passé, et avec Cyla comme déclencheur… J’aime beaucoup les histoires de révolte en général, et je suis curieuse de savoir ce qui va advenir de celle-là.
Donc, mon avis sur ce chapitre pourrait se résumer en un mot, ou plutôt en une onomatopée : aaaaaah. Oui. Je m’en suis pas remise.
(Et sur un point plus constructif : l’évolution de la relation Cyla-Nolan ne m’a pas vraiment posé de problèmes, ils ont des points communs et puis les circonstances les ont rapprochés d’elles-mêmes, et la nuit passée à parler aussi est un bon point pour rendre le tout crédible. Voilà, ça me paraîtrait bizarre, par exemple, qu’ils soient prêts à mourir l’un pour l’autre, mais juste qu’ils se fassent (un peu) confiance, ça ne me perturbe pas.)
Merci pour ton com et merci comme toujours pour le repérage de coquillettes ! Celui-là il était pas trop relu, je m'attendais à pire ! lol. Comme d'hab, quand tu me sors la phrase, la faute ou la répétition me saute aux yeux^^ ahaha, Rimeko oeil de lynx :p
Je suis contente que le changement de point te plaise car ce n'était pas une mince affaire de coordonner l'ensemble dans le temps et dans l'espace !
Oui il s'en passe des choses dans ce chapitre, il fallait que la fin de la première partie termine en beauté :). Je suis contente si tu n'as pas vu venir la mort du Kâ, c'est que le retournement de situation a bien marché !
Toutes les questions que tu te poses sont très pertinentes :) , tu auras la réponse dans le chapitre 14, j'enchaine avec les évènements d'Etioli.
J'ai aimé comment tu amènes ça petit à petit, on ne s'en douterait pas la première fois qu'on rencontre Ewen, on pense que c'est juste un « fermier », et puis on en apprend plus sur son passé, et avec Cyla comme déclencheur... => C'est super ce que tu dis, tu es la première a repérer cette évolution ! C'est vrai qu'on ne pense pas qu'il va prendre tant d'importance !
Et... euh... la révolte. LA REVOLTE QUOI. => Je pense que je devrai peut-être rajouter deux trois petits dialogues d'ouvriers qui parlent de se révolter un peu avant non ?
Je note que pour toi le rapprochement Cyla/Nohan est suffisant je suis de ton avis, mais je vais peut-être un peu rallonger le chapitre 11 et le début du 13 avec quelques dialogues pour que tout le monde y retrouve son compte :)
Donc, mon avis sur ce chapitre pourrait se résumer en un mot, ou plutôt en une onomatopée : aaaaaah. Oui. Je m'en suis pas remise. => Bon ça me fait plaisir de voir que tu es à fond dans l'histoire :) Ne fais pas de crise d'asthme bichette hein ?
Merci encore de ta lecture <3
Pleins de bisous volants
Bon, plus sérieusement, j'ai lu en apnée et c'est vraiment haletant, super bien raconté. Le début est plutôt posé, puis on sent la tension qui monte avec le pov Ewen, et une fois que le tournoi commence, ça ne redescend plus !
Je ne m'attendais vraiment pas à la mort du Kâ ! La scène de panique avec les gens qui se marche dessus est parfaite : très glauque. Et l'acte manqué de Kian ! Génial !
Sur la forme, je pense qu'il faut que tu revoies calmement l'emploi des virgules. Moi j'ai tendance à en mettre trop, mais toi c'est le contraire et parfois ça gêne la compréhension des phrases. Ne t'inquiète pas pour la longue liste de remarques ci-dessous, ce sont des pinaillages, pour beaucoup (et bien sur, ce ne sont que mes avis, excuse-moi si le ton est parfois péremptoire).
Je me suis quand même demandé comment Nolan connaissait si bien les souterrains. Est-ce que tu l'expliques dans les premiers chapitres (et je l'aurais oublié, ce qui est loin d'être exclu) ?
Et enfin par rapport aux relations Cyla/Nohan, après avoir lu en entier, je plussoie ce qui a été dit : vu la confiance que Cyla et Ewen font à Nohan, ce serait en effet intéressant de le montrer avant.
En tout cas, bravo pour ce chapitre exaltant !
Détails et coquillettes :
"L'anxiété vis-à-vis du tournoi leur avait ravi le sommeil." : joli !
"Nohan avait préféré attendre l'aube pour le faire s'échapper. " : cette phrase me heurte un peu l'oreille (à cause de "pour le faire s'échapper"), mais je ne parviens pas à trouver une autre proposition... Peut-être "pour le faire échapper"? Ou rien du tout : "Nolan avait préféré attendre l'aube."
"et avait ponctué son écoute d'onomatopées étonnées ou choquées." : pas mega convaincue par "onomatopées". Exclamations ? (yep : pinaillage)
"le même fardeau parût affaisser leurs épaules." : je dirais (à vérifier) qu' affaisser est intransitif et obligatoirement pronominal. Les épaules peuvent s'affaisser, mais pas être affaissées par quelque chose... "parut peser sur leurs épaules" ?
"Nohan pensa que le soleil avait le don d'embellir les choses et les gens : sauf lui." : très belle phrase !
"Le garçon acquiesça mais ne parût pas vraiment rassuré. " : pas d'accent circonflexe sur "parut" au passé simple (tu l'as aussi écrit comme ça plus haut)
"Les deux adolescents se sourirent," : quel âge a Cyla déjà ? C'est pas un peu jeune pour "adolescent" ? Pourquoi pas "les deux garçons", comme tu es dans un pov Nohan ?
"se composait de deux tissus qui se chevauchaient en de multiples froissements." : là encore, pas convaincue par "froissements". "drapés" ? "superpositions" ? "plis" ? (Yep : encore pinaillage :) )
"Cela l'étonna car les vêtements ne possédaient pas de parfum à Etioli." : car on ne parfumait pas les vêtements à Etioli ? (toujours du pinaillage)
"lorsque la reine Astrée et la princesse firent leur apparition" : il manque le point
"La Kâ avait confectionné une bulle-prison aux barreaux en or," : ça fait bizarre, on dirait qu'elle l'a faite elle-même. "avait fait confectionner", non ?
"Très cher peuple, voici venir le jour que vous attendez tant. " : ça fait bizarre "très cher peuple", et ça ne ressemble pas trop au Kâ. "Peuple d'Etioli" ?
"que si l'entre vous s'approche de la cage où mon épouse et ma fille observent le spectacle, ce sera là votre dernier geste... " : son dernier geste
"Les corps, les plumes, le sang, ne tardèrent pas à s'essaimer dans l'air tel du pollen." : à essaimer
"Il tenta de se reposer un peu en délayant lentement ses mains l'une après l'autre. " : j'ai un doute sur "délayant", pour moi ça veut dire dissoudre dans de l'eau. Mais je me trompe peut-être.
"Les Ombres dans un ballet de plongée/contre plongée" : oulà, je suis trop old school pour apprécier le / :D
"Il avait tellement eu peur..." : il avait eu tellement peur
"A l'endroit même où ses mains réunies, enserraient un œuf énorme." : comment elle peut poser sa tête si c'est à l'endroit où il y a l'oeuf ? (yep : surpinaillage)
"Il eut peur que sa fille n'argumente, essaie de le retenir mais elle n'en fit rien. " : tu as mis un verbe au négatif et l'autre non. Je dirais qu'il vaut mieux enlever la négation
"Quelques mètres plus loin, il reconnut Kian, de dos, perclus près d'un corps." : perclus ? A vérifier mais il me semble que ça ne s'utilise pas comme ça. Ca veut dire criblé (perclus de douleurs ou de rhumatisme)
Je suis contente si tu l'as lu en apnée (non non je ne souhaite pas ta mort ne t'inquiètes pas :p), je voulais vraiment terminer ma première partie avec plein d'actions :).
Cela marche bien du coup :p
Je ne m'attendais vraiment pas à la mort du Kâ ! La scène de panique avec les gens qui se marche dessus est parfaite : très glauque. Et l'acte manqué de Kian ! Génial !=> Super, ta réaction me rassure :)
J'avoue que j'ai pas trop relu le chapitre, d'où cette ponctuation un peu manquante^^ Je voulais trop le poster avant le PACNO :p et avoir vos ressentis :). Je vais me pencher dessus :)
Nohan connait bien les souterrains car il y reste souvent (dans le tout premier chapitre sur lui, on le découvre dans les souterrains^^) mais c'est vrai que je n'ai pas trop réinsister dessus dans le chapitre d'après. Je me le note :)
Merci d'avoir relever les coquillettes et les jolies phrases <3
Pour delayer c'est un vocabulaire de grimpeur (je fais de l'escalade donc j'ai pas mal pris mon pied à décrire la scène de grimpe d'Ewen). Si tu fais gaffe, tu verras aussi dans mes chapitres que la plupart de mes persos se retrouvent perchés en hauteur (alya sur la terrasse, cyla dans les cavités...) lol.
Bon je corrigerai toutes ces petites fautes dimanche :) Merci encore pour ton enthousiasme et pour tes mots reconfortants en mp <3
Bisous volants
Les premiers paragraphes sont très jolis. La suite manque parfois de points ou de virgules à mon goût. Mais dans l'ensemble ça s'enchaîne bien, j'étais à fond !
SPOILER ALERT
Par contre, la révolte finale m'a prise de court. On passe du "J'ai gagné" à "tous au palais" assez abruptement. Pour moi il faudrait amener cette révolte plus en amont dans le texte. Si on sait qu'Ewen en a après le roi, les autres, on en sait rien. Ou alors c'est trop en arrière et j'ai oublié depuis...
Ahaha mon petit com de ma plus jeune lectrice :) Il est important car tu es un peu la cible éditoriale du bouquin :p
Sorry pour la ponctuation, il faut que je me penche sur une bonne relecture^^
Oui les deux histoires vont bientôt se rejoindre ! Pas d'inquiétude !
Alors la révolte finale est un peu annoncée dans un des chapitres du point de vue de Nohan. Mais c'est vrai que je pourrai un peu en reparler tu as totalement raison :)
Bon je note tes reflexions pour ma phase de correction finale :)
Je suis vraiment contente si tu as été à fond durant tout le chapitre (c'est bien l'action tout de même^^)
Pleins de bisous volants
Comme je te le disais sur ton jdb, j'ai adoré ce chapitre qui m'a réellement transportée. J'ai toutefois quelques réserves, quelques petites choses qui m'ont gênée, je vais essayer de te les expliquer clairement.
Première scène avec Cyla et Nohan : comme mes coplumes je trouve que la relation entre eux va trop vite dans la suite su chapitre. Peut-être faudrait-il insister dans cette scène sur la confiance immédiate qu'ils ressentent l'un envers l'autre, cette impression de se ressembler... ça permettrait de faire passer la suite sans problème.
Scène ou Kian blesse Anaêl : ça renforce mon peu d'estime du personnage de Kian. JE n'ai pas trop compris pourquoi il le blesse, c'est cruel et c'est quand même Anael qui est puni.
La suite du chapitre est nickel pour moi, très prenante, bien écrite, tu avais raison de nous conseiller la ventoline ! je n'ai pas pu décoller mes yeux de mon écran jusqu'à la fin !!
La mort du Kâ m'a surprise, mais pas autant que le retournement de situation pour Kian ! Bien fait pour lui haha. J'imagine quand même qu'il ne va pas se laisser faire, déterminé comme il est. Il est très bien construit ton Kian, car il a l'air bien parti pour devenir le nouveau méchant, mais en même temps je comprends ses motivations, et je n'arrive pas à le détester complètement.
Encore une fois Bravo Makara et vivement la suite !
Je note pour tes remarques sur Cyla et Nohan. En fait, je vais certainement changer le point de vue et passer du côté de Cyla au lieu de Nohan !
Alors Kian blesse Anaël car il a peur qu'il meurt lors du tournoi, donc il lui sauve la vie (de son point de vue^^).
Je suis contente si la mort du Kâ t'as surprise car je ne voulais pas qu'on s'y attende :)
Il est très bien construit ton Kian, car il a l'air bien parti pour devenir le nouveau méchant, mais en même temps je comprends ses motivations, et je n'arrive pas à le détester complètement. => Je suis sure qu'à la fin du tome 1 tu vas finir par l'aimer :) On parie ????? hihihihi
Merci encore pour tes compliments, cela me fait très plaisir et ça me donne du baume sur le coeur (en ce moment un peu le moral dans les chaussettes...)
Pleins de bisous volants
Ps : J'espère que tu comptes avancer sur les rémanents pour que je puisse lire la suite !!!! <3
Voici un chapitre trépidant comme je les aime ! Mais je vais tout de même pinailler, sinon je me sentirais complètement inutile.
=> je vois bien qu’une complicité se noue entre Nolan et Cyla, ce qui me plait beaucoup sur le fond. Par contre, sur la façon de le montrer, je pense que tu peux faire mieux. En effet, tu es beaucoup dans le tell et pas assez dans le show à mon goût. Quelques péripéties, avec des preuves concrètes de leur amitié, seraient plus convaincantes qu’une nuit à discuter, surtout que la teneur de la discussion nous échappe.
=> Je me doutais bien que ce tournoi tournerait au massacre, mais la mort du Roi m’a surprise, c’est super bien joué ! À cause des tuniques et de la cage, on peut se demander si la Reine est responsable. En tout cas, elle n’aura pas prévu la révolte lancée par Ewen.
=> je trouve sa réaction très intéressante, ainsi la situation se retourne complètement et Kian, si sûr de lui, se retrouve pris au piège.
j’ai hâte de découvrir la suite !
Voici un chapitre trépidant comme je les aime ! => Bah je dois t'avouer que j'ai pas mal penser à toi en l'écrivant (en tout bien tout honneur, hein!), je me suis dis, allez il faut de l'action ! Elikya elle veut que ça avance ! Du retournement de situation, du rythme :) Donc je voulais vraiment terminer la partie 1 en beauté :)
En même temps, ta remarque sur Cyla et Nohan me laisse penser que tu aurais accepté un autre chapitre sur eux avant les grands évènements ? J'en avais une ébauche à la base mais que j'ai abandonné car j'avais pas grand chose à mettre dedans mis à part leur rapprochement et j'avais peur que l'on me reproche que cela trainait en longueur... Pour l'instant, je ne vois pas trop comment transformer ce tell en show en début de chapitre surtout que le chapitre est déjà long, j'ai peur qu'il soit interminable si je rajoute des péripéties... Qu'en penses-tu ?
Je suis contente que la mort du roi t'ai surprise, je ne pense pas qu'on s'y attende. La reine est en partie responsable, elle va devenir un personnage très important dans la partie 2.
la situation se retourne complètement et Kian, si sûr de lui, se retrouve pris au piège. => Oui on se demande comment il va s'en tirer^^
Je suis contente si t'as hâte de découvrir la suite, je fais essayer de profiter un max du pacno pour avancer ! :p
Merci encore de ta lecture <3
quelle fin mouvementée ! a Mallaig comme a Etioli.
Mallaig : j'ai bien aimé les interractions avec les clones, Pavel et la fille dont j'ai oublié le nom. J'espère qu'ils vont pas tous caner sur le chemin :(
La mère... j'ai adoré ! trop contente que Alya ne se soit pas barrée en l'abandonnant, trop contente que la maman l'ait encouragée à y aller !
Etioli : le Ka ! il a KAné ! il est KAputt ! ololololol >.< pardon
comme tu vois, ça ne m'a pas trop fait de peine XD Je ne sais pas trop quoi penser de la tournure des évènements, les foules en délire c'est jamais bon signe... heureusement que Cyla et Nohan sont loin !
Contente que Ewen ait survécu, je n'aurais pas parié dessus !
Kian... je note qu'il a sauvé la vie de son petit frère ! s'il devient héritier, adieu son idylle dans la 3eme ville avec son amoureux... fait chier putain è.é enfin il risque surtout de se faire destituer par la foule en colère pour le moment.
c'est carrément vrai ce que tu as dit dans ta rep de com que faut pas se fier a tes persos qui peuvent passer de gentil a méchant et vice versa très très vite. C'est vraiment très fort dans ta fiction, je ressent ça chez Kian, Anael, la petite soeur gatée, la mamie infernale...
Je dois attendre la suite maintenant ! j'espère que tu vas nous pondre plein de chapitres avec le PArathon !
Bah dis donc, tu auras tout lu en deux jours ! Bravo et merci ;-)
quelle fin mouvementée ! a Mallaig comme a Etioli. => Oui, ça met un peu de piment^^
J'espère qu'ils vont pas tous caner sur le chemin :( => J'espère aussi !
Est-ce que tu t'y attendais pour la grand-mère à la fin du 12 ?
Etioli : le Ka ! il a KAné ! il est KAputt ! ololololol >.< pardon =< Quel beau jeu de mots <3 respect <3 ^^ je vois que tu es contente :) T'attendais-tu à sa mort ?
les foules en délire c'est jamais bon signe... => en effet...
Contente que Ewen ait survécu, je n'aurais pas parié dessus ! => dans ma première version il mourrait ! héhé, mais j'ai un nouvel avenir pour lui :)
Kian... je note qu'il a sauvé la vie de son petit frère ! s'il devient héritier, adieu son idylle dans la 3eme ville avec son amoureux... fait chier putain è.é enfin il risque surtout de se faire destituer par la foule en colère pour le moment. => T'inquiète, Kian est loin d'avoir livré tous ses secrets^^
j'espère que tu vas nous pondre plein de chapitres avec le PArathon !=> Bah je vais essayer mais bon je bosse à côté et j'ai une montagne de copies à corriger (je culpabilise d'ailleurs beaucoup d'avoir passé la journée à écrire hier alors que j'aurai pu avancer sur mes copies :(.)
Enfin, toi qui vient de lire l'ensemble des chapitres en peu de temps, que penses-tu du rythme ? Est-ce que si je rajoute un chapitre sur Mallaig et un chapiitre à Etioli avant les deux chapitres "d'action ", cela passerait ?
Pleins de bisous volants, coéquipière ;-)
Comme prévu me voilà!
Alors prépare-toi un peu parce que je vais être un peu sévère avec ces deux derniers chapitres, mais rien qui ne soit modifiable si cela te semble pertinent. Après tout, on est là pour rendre nos histoires de mieux en mieux.
Et puis j'ose parce que j'ai vu sur les commentaire que je suis la seule rageuse, tu as du soutien!
Alors d'abord une critique commune sur les deux chapitres (qui est en fait ma critique princiaple): je trouve que tout va trop vite! Avec ces deux chapitres, j'en aurais fait 4:
1 Alya- La diffusion de la maladie, la préparation, la décision d'une date de départ. Dans cette aprtie j'aurai essayé de mettre une scène où Alya est témoin d'une des scène de violence/meurtre, car le fait de le raconter pendant un entraïnement, et bien, ça brasse beaucoup moins, ça ne permet pas de se rendre vraiment compte. Avec une scène de violence ou alya est impuissante et se cache, tu fais monter la pression pour le lecteur.
2-Cyla ou Nohan: Insister sur les liens de confiance (ça va un peu trop vite entre eux je trouve) et pourquoi pas parler de fuir ensemble (car dans la dernière partie, la proposition que Nohan vienne élever l'oiseau me parait sortie de nulle part). Puis la fuite et logiquement ouverture du tournoi.
3- Alya: Pero je rallongerai la course-poursuite un chouia. Attention à la notion de temps, on a l'impression que la scène se déroule en un quart d'heure au lieu d'une heure et que jun n'a clairement pas le temps de fuir.
4- Le tournoi: très correct comme il est.
Je me permet de revenir sur le sujet du Kâ qui meurt sans qu'on ait pu comprendre quelles étaient ses vértiables motivations. Est-ce qu'on va revenir dessus par la suite?
Légère remarque: Quand Kian voit son père mort, il pense:
"Il allait être le nouveau souverain..." Je trouve que ça pêterai beaucoup plus sans le futur. et même avec une phrase très brêve "Il était le nouveau roi" On sentirai le poids qui lui tombe dessus.
C'est tout (et c'est suffisant) pour les critiques.
Sinon, bien sûr, il y avait pleins de choses cool dans ces chapitres: du renversement de situation, de l'action, une grand-mère qui se trouve vraiment là où on ne l'attend pas XD , un roi qui meurt alors que je croyais dur comme fer que c'était le père qui allait mourir (c'était cohérent pour que Cyla puisse quitter la ville sans regrets) et deux magnifiques changements de situation. J'avoue que j'ai bien hâte de connaitre les révélation de Alya !
Mais bon c'est une fin de partin, donc c'est NORMAL.
:p
(Je me fais penser à mon père qui me disait qu'avoir 18/20 c'était normal, c'était avoir moins qui ne l'était pas)
Breffouille, je te fais des poutoux et je te dis à bientôt!
Lou
Bon; même si tu m'as prévenue, je dois t'avouer que la lecture de ton commentaire m'a mis le moral dans les chaussettes. C'est pas ta faute, je me suis montée le bourichon toute seule car j'avais vraiment hâte de lire ton avis sur ces deux derniers chapitres et j'avais trop envie que tu me dises que tu avais adoré... Bref, maintenant j'ai fini de pleurer, je vais essayer de surmonter cette déception débile car toutes tes remarques sont hyper pertinentes et je sais que cela va rendre les chapitres meilleurs.
1. Alya- La diffusion de la maladie, la préparation, la décision d'une date de départ. Dans cette aprtie j'aurai essayé de mettre une scène où Alya est témoin d'une des scène de violence/meurtre, car le fait de le raconter pendant un entraïnement, et bien, ça brasse beaucoup moins, ça ne permet pas de se rendre vraiment compte. Avec une scène de violence ou alya est impuissante et se cache, tu fais monter la pression pour le lecteur. => J'avais prévu cela à l'origine, dans mon ancienne version j'ai trois chapitres sur l'entrainement au combat et Alya se fait même étrangler par Jun. Mais d'une, ça faisait grâve divergent, et deuxio avec tous mes changements c'est impossible que Jun fasse cela... Alors je sais pas, soit je rajoute un chapitre de plus sur Mallaig avant la fuite pour parler des combats et avec une petite histoire de violence mais je sais pas j'ai peur que la partie 1 traine en longueur après...
2. Cyla ou Nohan: Insister sur les liens de confiance (ça va un peu trop vite entre eux je trouve) et pourquoi pas parler de fuir ensemble (car dans la dernière partie, la proposition que Nohan vienne élever l'oiseau me parait sortie de nulle part). Puis la fuite et logiquement ouverture du tournoi. => En effet, Elia m'a fait la même réflexion, le problème c'est que je n'ai pas le point de vue de Cyla, donc soit je rajoute un chapitre sur elle, ce que je ne veux pas, soit je ne fais pas partir Nohan avec elle. Je vais pencher pour cette solution, cela ne change pas grand chose pour l'instant, je le ferai partir plus tard.
3. Alya: Pero je rallongerai la course-poursuite un chouia. Attention à la notion de temps, on a l'impression que la scène se déroule en un quart d'heure au lieu d'une heure et que jun n'a clairement pas le temps de fuir. => On m'a déjà fait pas mal de remarques par rapport à ça, je suis d'accord je dois m'y pencher.
Au sujet des motivations du kâ : Est-ce qu'on va revenir dessus par la suite? => Non pas spécialement. Après je n'ai pas du tout écrit la suite donc je pourrai peut-être l'aborder.
Je change au sujet de la mort du souverain, tu as raison.
je croyais dur comme fer que c'était le père qui allait mourir => C'était le cas dans ma première version ! Mais au final je lui réserve autre chose ;-)
(Je me fais penser à mon père qui me disait qu'avoir 18/20 c'était normal, c'était avoir moins qui ne l'était pas) => Purée j'aurai pas aimé avoir ton père ! xd.
Bon je vais revoir tout ça du coup. Après je ne sais pas s'il vaut mieux que je concentre mon énergie à reprendre les deux derniers chapitres ou à avancer sur la suite ( surtout avec le pacno...). Je suis un peu perturbée, là.
Pleins de bisous volants
Eh bien, il s'en passe des choses dans ce chapitre. Du sang, des morts, de la chair, des os brisés... Tout pour instaurer une bonne ambiance !
Ce chapitre change, car on multiplie les points de vue. Il y a des choses intéressantes et d'autres qui m'interrogent. Déjà, je trouve que Cyla fait un peu vite confiance à Nolan, même si ok, il l'a aidé à fuir (quoi, je suis pessimiste ? Roooo); le point de vue d'Ewen était intéressant, mais je ne sais pas si c'était le plus pertinent de montrer la course de son point de vue, une fois encore, j'avais l'impression qu'il allait s'en sortir, je n'ai pas trop douté.
En revanche, l'horreur de la compétition est bien menée, même si la mort du Kâ ne m'a pas plus touchée que ça. Il le méritait !
Kian est détestable, et je suis content de la rébellion d'Ewen. J'ai hâte de voir où ça va mener ! Bref je râle, je chipote, mais c'est chouette à lire et si y a des points plus prévisibles, je suis impressionnée malgré tout par les retournements de situation que tu instaures. C'est très bien !
Par contre, pourquoi Ewen a un champion s'il doit concourir ? (oui, ne me tue pas, je sais que j'ai encore dû louper un détail --).
Allez, maintenant au boulot, je veux la suite :P
Ce chapitre change, car on multiplie les points de vue => En effet, c'était pas facile d'ailleurs, j'ai grave galéré ! Surtout au niveau de la temporalité !
Déjà, je trouve que Cyla fait un peu vite confiance à Nolan, même si ok, il l'a aidé à fuir (quoi, je suis pessimiste ? Roooo) => Tu as raison, le problème c'est qu'on a pas le point de vue de Cyla sur Nohan auparavant et que je n'ai pas envie de faire un chapitre en plus sur elle, la partie 1 trainerait en longueur... Par contre, je pense changer mon texte en mettant que Cyla ne propose pas à Nohan de l'accompagner dans les montagnes, cela, après reflexion semble peu probable...
le point de vue d'Ewen était intéressant, mais je ne sais pas si c'était le plus pertinent de montrer la course de son point de vue, une fois encore, j'avais l'impression qu'il allait s'en sortir, je n'ai pas trop douté. => Très intéressante ta reflexion ! Lol. Dans ma version précédente, il mourrait^^. Comme quoi, ce n'est pas passé loin ! Ahaha. Au final j'ai d'autres projets pour lui. Gueule de loup pensait justement qu'il allait mourir^^ comme quoi, le ressenti!
Kian est détestable, et je suis content de la rébellion d'Ewen. => Cool c'était le nut !
J'ai hâte de voir où ça va mener ! Bref je râle, je chipote, mais c'est chouette à lire et si y a des points plus prévisibles, je suis impressionnée malgré tout par les retournements de situation que tu instaures. C'est très bien ! => ça me rassure pas mal, j'ai eu des sueurs froides avec ce chapitre...
Par contre, pourquoi Ewen a un champion s'il doit concourir ? (oui, ne me tue pas, je sais que j'ai encore dû louper un détail --). => Lol, Ewen n'a pas de champion c'est le Kâ qui en a un ( Dabdeh Arnan), peut-être qu'une ligne de dialogue t'a menée en erreur, je vais vérifier.
Merci encore de ta lecture Elia !
Après, là, j'hésite à me repencher grandement sur les deux derniers chapitres car j'ai pas mal de choses à corriger mais en même temps j'aimerai bien avancer le plus possible... Je vais réfléchir^^
Pleins de bisous volants
Makara
Eh bien ! Il s’en passe des choses dans ce chapitre ! C’est pour ça que malgré sa longueur, il a filé aussi vite que les autres ? Voir même plus ? J’ai eu peur au début, parce que Cyla n’avait pas encore fui, mais finalement, elle attendait juste le moment propice ^^ Comme elle est partie seule, j’ai été heureuse que Nohan la retrouve au tournoi, mais j’avoue que j’aurais aimé lire sa fuite.
Quel tournoi ! Ou plutôt, quel massacre ! ^^ J’ai eu très peur pour Ewen, beaucoup moins pour le Kâ et les participants :O J’aime la façon dont il a réussi, c’est crédible, mais mince pour son faucon. Je sais que dans le feu de l’action, il n’a pas vraiment le temps, mais je trouve la mort du rapace d’autant plus triste qu’Ewen n’aborde pas son chagrin lors de la perte. Une toute pitite phrase ? Une pitite réaction ? Il s’est sacrifié, il le mérite :’(
Comment Cyla est parvenue seule à arriver presque à temps au tournoi ? J’étais contente qu’elle soit là, mais comme je suppose qu’elle était à pied, je me suis interrogé. Par contre je suis soulagé parce qu’en la voyant avec Nohan, je me suis dit que son père allait mourir et tu m’as détrompé, surtout qu’il risque bien d’avoir un chouette rôle dans le reste de l’histoire. :)
« Des victimes qui portaient toutes des uniformes noirs et or, comme Dabdeh. Comme son père. Cela ne pouvait être une coïncidence. Sa mère avait ordonné la confection de ces habits. »
J’ai retenu cette phrase parce que, je me demande comment la reine a pu manigancer tout ça. ^^ Elle a l’air sacrément dangereuse la madame… Très très dangereuse… Je me demande comment ça va tourner… Mais je me doute qu’au pouvoir, elle serait pire que son défunt mari…
Il n’y a pas à dire, tu continues à m’intriguer ! En plus, j’ai beaucoup aimé le retournement de situation, quand les oiseaux ont attaqué. Je trouve que tu les as bien respectés. J
Mince, il est 23h et pourtant, je me serais bien fait encore un ou deux chapitres… ^^ Sauf qu’en fait, l’effet sera toujours le même : j’imagine que je souhaiterais encore la suite après. ^^
Libérons les femmes !!! (Je suis à fond avec Ewen ^^ C’est chouette, il prend les choses en mains :D)
Ah THE chapitre :). Oui c'est mon plus long chapitre mais il y a beaucoup d'actions donc il se lit vite :p
j'avoue que j'aurais aimé lire la fuite de Cyla : Pourquoi pas, ce serait possible, étant donné que je suis en multi point de vue dans ce chapitre, après, par contre, il sera vraiment long... Surtout que tu es la deuxième à me poser la question "comment est-elle arrivée à temps jusqu'au tournoi". Il faudra lors de ma réécriture que j'explique que le Palais n'est pas très éloigné du littoral, je dirai 5-6 kilomètres. Elle part au même moment que le Kâ et sa famille et arrive juste un peu plus tard.
je me suis dit que son père allait mourir et tu m'as détrompé => Bah écoute, j'ai pas mal hésité ! XD mais j'ai besoin d'Ewen pour la suite, c'est un chouette perso et je lui réserve encore pleins de choses.
Au sujet de la femme du Kâ, tu vois juste (encore une fois!), elle est dangereuse ! Je n'ai pas placé cette phrase pour rien ! XD. Tu seras fixée dans le prochain chapitre et j'ai hâte de lire ta réaction^^
Il n'y a pas à dire, tu continues à m'intriguer ! => Tant mieux ! Je ne pense pas que tu serais revenus sinon ;-). (Je te réserve encore pleins d'intrigues^^)
En plus, j'ai beaucoup aimé le retournement de situation, quand les oiseaux ont attaqué => oui j'ai essayé de rendre cela crédible!
Bon à bientôt alors :) Moi àa me gêne pas que tu enchaînes pleins de chapitres :p
Pleins de bisous volants ma petite lionne <3