Cela faisait deux semaines que le preux chevalier marchait dans la forêt. Le pauvre Avallach n'en pouvait plus du tout. Dès qu'il faisait un pas, il avançait petit à petit dans la pénombre.
Arrivé au bout d'un long et large sentier, il découvrit le fameux château du Seigneur.
Une grande tour se dressait devant lui, peut-être la plus haute qu'il n'ait jamais vue.
Tellement fatigué, il ne pensait qu'à une chose : se reposer. Mais il ne se décourageai pas, ce n'était pas le moment. La suivante de la dame, voyant Avallach par la fenêtre vint l'accueillir.
«-Enchanté, moi c'est Bertille, la suivante de la dame du château, et vous, que faites-là ? »
«-Heureux de vous rencontrer, je suis Avallach, le vaillant chevalier de La Fare.»
«-Que puis-je faire pour vous ? » demandait-elle.
«-Je viens défier le Seigneur.»
La suivante fit un rire moqueur.
« -Avez-vous perdu la tête ! Vous savez il est très puissant.»
«-Je n'en doute pas, mais je vous en prie damoiselle, je le veux.» dit-il ne voulant pas perdre espoir.
«-Bien, quelle assurance, alors suivez-moi.»
Elle le mena dans un escalier en colimaçon, une fois monté il entra dans une pièce lugubre et soudain, Bertille l'enferma à clé. Le jeune homme vit entrer une créature verte de moins d'un mètre, avec un œil au milieu du visage, munit de deux lances enflammées : c'était un gobelin !
Mais Avallach, ne craignant pas cette chose à la petite taille, brandit son épée et son écu, le personnage lança ses deux lances, Avallach esquiva ces dernières en se baissant pour récupérer sa gourde et éteindre le feu.
Maintenant qu'elles étaient mouillées, il en lança une en visant sa patte pour l'immobiliser. Et planta la deuxième dans son cœur, blessé, le gobelin hurla et tomba à la renverse.
À ce moment là, il réalisa qu'il avait remporté la victoire, c'était le plus heureux du monde car c'était son premier combat loyal. Il passa une grande porte ouverte, traversa un couloir au bout duquel se trouvait le Deigneur avec son épouse. Le chevalier s'agenouilla, les mains jointes et dit :
«-Messire, Gente Dame, je suis honoré d'enfin vous trouver.»
Le garçon tellement content après cette aventure, mais il n'oublie pas qu'il doit se venger et que c'est un ennemi. Il a quand même tué son père et cela Avallach ne l'oubliera jamais.
«-En quel honneur me vaut votre visite ? »
«-Je me présente, Avallach brave chevalier de La Fare.»
«-Qu'attendez-vous en venant ici ? »
«-Demander la main de votre fille Monseigneur.»
Il avait terriblement peur que le seigneur le reconnut et se rappela de son père, mais il espérait tout de même que cette petite comédie fonctionnait.
Je viens de terminer ton chapitre, et comment dire... Je ne sais pas à quelle époque ton histoire se situe, je pense tout de même qu'il s'agit d'un roman Fantasy, donc tu peux prendre des libertés. Cependant, il y a des codes à respecter dans le vocabulaire. Tu devrais te renseigner. J'ai aussi remarqué des fautes d'orthographe. Quant à ton histoire, tu devrais l'étoffer, ça la rendrait attrayante.
Au plaisir