Lors du repas le roi m'expliqua la fameuse mission, je dois aider ces fils à trouver quelque chose d'important et de précieux, on entendit un verre se briser dans un énorme fracas. Le roi et Aaron ont décidé d'aller voir d'où cela pouvait bien provenir. Lorsqu'ils reviennent, le roi avait le teint pâle et tremblait un peu, Aaron lui avait un air désolé ce qui ne rassurait personne
- Il faut qu'ils aillent chez May, dit Charles
- Quoi ? mais pourquoi ? demande Éloise
- Qu'as-tu lu sur ce fichu papier pour demander ça ? demande Aaron
Le visage de Charles s'assombrit soudain, je compris que c'était bel et bien en rapport à un problème qui arriva plus vite que prévu, et apparemment, il n'était point le seul à l'avoir compris puisque la reine aussi avait le visage assombrit. Un frisson a parcouru mon corps en pensant à des choses horribles qui pourraient pousser le roi a envoyé ses fils loin de lui.
- Les enfants allez faire vos sacs, vous partez dès ce soir, dit Aaron les larmes aux yeux
Gaston et Edward ne comprenaient rien, surtout moi qui étais complètement perdue. Les garçons ne prononcèrent rien et montèrent dans leurs chambres faire leurs sacs tandis que moi je ne bougeais pas de ma place comme si elle était paralysée.
- Louise monte faire tes bagages, ordonna Aaron
- j'aimerais, mais je n'arrive pas à bouger, je sens plus mon corps, déclarais-je absolument paniquée
- Sa forme doit être à son terme, mais ce n'est pas le moment, EDWARD ! cris Éloise
Edward descend des escaliers à grandes vitesses et comprend que c'était par rapport à Louise. Éloïse lui demande de me porter dans ma chambre tandis qu'elle ordonne à Lucile de faire mon sac et qu'elle viendrait me voir une fois qu'ils auront fini de parler. Les deux s'exécutent et le font sans broncher.
Pendant qu'il montait dans ma chambre je vois Gaston descendre pour déposer leur sac. Par la suite je suis prise dune énorme migraine infernale et je voyais des petites étoiles de partout jentendais Edward me demander si jallais bien, mais impossible de lui répondre ensuite il fait tout noir plus rien je nentends plus rien je sens quon me pose sur une chose douce mais impossible douvrir les yeux.
Jentends des voix, je les entends faiblement, ce sont les garçons !
- Tu penses que c'est par rapport à Hirile? demande Jane
- J'en suis même sûre, la dernière fois qu'on est allé voir tante May sur un coup de tête, c'était à cause de lui, dit Edward d'un ton mélancolique
Soudain, un énorme bruit sourd provenant de l'extérieur. Lucile cria de peur et Edward lui dit de prendre nos sacs et de descendre, il me porte sur son dos et descend en se précipitant en bas lorsque jentendis faiblement quelquun dire "Fey", je pu entendre des bruits de pas qui cours en notre direction et Edward se mit à parler.
- Que se passe-t-il ?!, demandé Edward paniqué
- On a entendu une explosion, tout le monde va bien ? Dit Jane
- Hirile est déjà là, dit-il d'un ton froid
Hirile ? jai déjà entendu ce nom mais je narrive pas à savoir doù.
- tu le sera bientôt ma chère, murmura une petite voix
Puis silence, qui était ce je n'ai pas assez de force pour bouger donc je ne cherchais pas beaucoup et essayais de me concentrer sur autre chose, soudain jentends des cris de terreur, des bruits de pas, des gens courir, crier et pleurer pour certains.
Le roi nous criait quelque chose que jeus du mal à comprendre au début puis cria plus fort puis jentendis Gaston.
- Courrez ! Partez ! prenez le long couloir délabré au sous-sol, il vous fera sortir du royaume en sécurité ! ordonna Charles
- Venez avec nous aussi ! je ne veux pas partir sans vous ! cris Gaston
- Gaston dépêche toi ! dit Edward et tirant le bras de Gaston
- Père ! Mère ! continua de crier Gaston
Mais hélas il était déjà trop tard Hirile et son armée de Morcle venaient de pénétrer dans le palais et tuait tout ce qui avait un coeur qui battait encore. La grande porte dargent venait de se refermé derrière nous.
Le malheur s'abat sur le royaume d'Estella, hélas, larmée dHirile était en train de tout détruire, ces Morcle sont des créatures qui avalent lâme des personnes quils frôlent ou qui les regardent dans les yeux, ils ont lair être vivant, mais en réalité ce sont des êtres squelettiques dont les chocs de leurs os entre eux pouvait provoquer une terreur inhumaine, de nombreux habitants perdent leurs vies, d'autres essais de s'échapper pour aller en direction des royaumes voisins. Pendant ce temps quatre jeunes gens était en train de fuir le plus vite possible pour rejoindre leur tante qui a été très rapidement au courant de la situation et a envoyé ces sbires chercher les enfants pour les mettre en sécurités, hélas ils ne savent pas que leur père et leur oncle se battait dans un combat à mort contre Hirile. Les enfants venaient de sortir du palais, ils se retournèrent pour voir le royaume en feu avec les cris d'innocents qui pouvaient se faire entendre, ils continuaient leur chemin en direction du royaume d'Arions qui était de l'autre côté des montagnes d'Irila. Les enfants ne savaient pas qu'arriver là-bas, deux personnes les attendaient de pied ferme.
Après un moment où je me suis endormi, je me réveille et je me sens vide et pourquoi fait-il si noir, où suis-je ? les garçons, vous êtes où, par pitié faite que quelqu'un vient
- Heureuse de vous revoir maîtresse, dit une voix
- Qui est là ? sort de ta cachette ! criais-je
- Hélas je ne peux encore me montrer et je n'ai que très peu de temps pour, vous parler, explique une voix
- Que je veux-tu ? demandais-je
- Je suis une partie de toi, trouve ta mémoire pour comprendre et tu vas voir l'immensité de tes pouvoirs. Hirile est à ta recherche, il faut se dépêcher ! dit une voix
- De quoi tu parles ! criais-je
Un silence prit place, la voix que j'ai entendue avait disparu. J'avais beau hurler, aucune réponse, soudain une lumière blanche apparut, je me voyais petite dans une chambre qui n'était pas celle dans laquelle j'ai grandi, il y avait deux jeunes garçons qui me parlaient.
- Allez petite sur vient vers ton grand frère, dit un petit garçon.
- Non vers moi ! dit un jeune garçon
Puis une autre voix apparue, on l'appelait tous "maman" or ma mère ne porte jamais ce genre d'habit, la dame portait une robe comme celle de la reine. Que m'arrive-t-il ? après le flash-back disparu et j'ai repris conscience.
Je me suis réveillé dans une chambre qui devait être celle dun chalet lié à tout le bois qui se trouvait, la luminosité me faisait penser au moment détente que je prenais à laide dune lumière tamisé quand j'entendis Gaston m'appeler et me demandais comment je me sentais, Edward me tenait la main et était encore endormi donc on parlait moins fort pour ne pas le réveiller.
- Où sommes- nous ? pourquoi on n'est pas au palais ? demandais-je
Gaston qui souriait ne souriait plus en m'entendant poser cette question. Il m'expliqua comment Hirile était arrivé et ce qui s'était passé, il m'expliqua par la suite qu'on se trouvait au chalet Gorgons aux montagnes d'Arial et qu'on partirait une fois qu'Edward et Jane se réveilleront pour aller à Arions qui était un royaume voisin le roi était un ami du roi Charles et qu'il a été au courant de notre arrivée.
- Je ne m'attendais pas à ce que tu sois un furet, annonce Gaston
- Hein ? demandais-je
- Regarde-toi dans le miroir, me conseil Gaston
Je me lève du lit sans trop de difficultés en faisant bien attention de ne pas réveiller les autres, je me mets devant le miroir et je vis une longue queue fine touffue et de petite oreille mignonne, je tournais sur moi-même et je partis en fou rire.
- ha ! Qu-Qui aurait cru que ce serait cet animal qui me représente, dis-je en rigolant
- Je trouve que ça te va bien, me dit Edward
Je fis un sursaut, car je ne m'attendais pas à ce qu'il se réveille maintenant, il a été très vite suivi par Jane qui, elle aussi, sétait assoupie sur les jambes dEdward. On est tous partis en fou rire en voyant ma forme et Lucile m'expliquait que la forme qu'une personne prenait était celle de son animal totem qui nous protège, les garçons explosent de rire, car mon animal totem est un furet.
- Ma pauvre petite Louise, dit Edward en rigolant
- Ce n'est pas très puissant un furet, dit Gaston au bord des larmes à force de rire
- je préfère ça qu'un vulgaire poisson ou un renard à deux queues, dis-je en faisant la moue
- rololo ! on rigole petiteLouise, ronchonna Gaston
Edward lui mit un coup de coude aux côtes, ce que je ne compris pas sur le coup
- Aïe ! mais tes malade sa fait mal ! protesta Gaston
- Mais tes vraiment faible mon pauvre frère, bredouilla Edward
- Les garçons, stop, souffla Jane
- Je ne suis pas faible ! je suis plus fort que toi, je te signale ! cria Gaston
- À bon ?! alors dis-moi pourquoi tu as échoué au concours de mage ? demande Edward avec un sourire malicieux,
Avant même de pouvoir les séparés, un coup de poings vole en plein milieu du visage dEdward.
- Mais tes malade ?! contrôle-toi bordel ! protesta Edward avec un peu de sang qui coulait de son nez
- Qui est le faible maintenant ?! cria Gaston
Jane me fait un signe de tête pour me dire de prendre Gaston à part quelques instants, ce que je fais immédiatement, nous sommes sortis dehors pour respirer un peu lair frais des montagnes. Je pouvais voir que Gaston était entre la colère et la culpabilité, mais je décide de changer de sujet pour le taquiner un peu et détendre latmosphère.
- Primo, je ne suis pas petite, deuzio, tu allais m'appeler comment ? dis-je dun ton blagueur
- Petite furette, exprime Gaston en ricanant
Bingo ! jai réussi à le faire rire et à détendre un peu latmosphère, on continue de parler un peu sans reparler de laltercation pour éviter la moindre frustration de sa part, puis au bout de longues minutes Jane arrive et nous dis de remonter, car le propriétaire du chalet nous signale que nous pouvons y aller, donc on reprend nos affaires et l'on continue notre route direction : Arions !
~2 heures plus tard ~
Avec Jane, on était devant en train de papoter tandis que les garçons étaient derrière à parler de choses que je ne pouvais pas trop entendre. Je voyais bien que Jan donnait de temps en temps un coup d'il à Edward.
- Aurais-tu un faible pour un beau prince par hasard ? demandais-je sur un ton taquin ;
- N-non, répondit Jan toute rouge ;
- Il n'y a pas de honte à avoir, tu sais tout le monde au droit d'accéder à l'amour, lui dis-je en la rassurant ;
- Je sais, mais je suis servante et lui un prince ça n'ira pas, dit-elle tristement.
Je la regardais avancer un peu plus vite pour s'isoler un peu, elle était triste de cette affreuse réalité et ne savait pas énormément le cacher.
J'ai fait une énorme bourde, mais bon, elle a le droit au bonheur et quelle est cette histoire de rang royal ? Ne t'inquiète pas Lucile, je vais mener mon enquête, dis-je à moi-même.
Je me tourne alors vers les garçons qui étaient un peu trop à la traîne, qu'est qu'ils peuvent être lents, dis-je à moi-même. Soudain, on entendit un cri, celui-ci vint de Lucile. On courut tous en direction de Jan pour voir une créature : grande, des ailes gigantesques, des cornes sur la tête, elle était toute poilue, on aurait dit un ours, mais ce n'en était point un qui est accompagnés de chenille au dents acérés et couvert dépine qui peuvent être propulser.
- C'est un lyrosc, une créature dangereuse dans ces griffes si trouve du poison et son cri peut tuer une armée tout entière ! et les autres sont des alnoucas des chenille peut être pas dangereux pour nous mais les épines sont aussi pointu quune aiguille !cria Edward ;
- Il faut sauver Jane de là ! criais-je.
Les deux garçons accourus pour sauver Lucile tandis que moi, j'étais resté caché derrière le rocher où étaient restés nos sacs. Je pouvais entendre les garçons sortir tous types de magie, Edward, c'était principalement la magie d'eau et Gaston la magie de l'air mais cela n'était pas suffisant pour le repousser lorsque je décide de sortir de ma cachette pour aller les aider. Je pris le premier truc que j'avais dans mon sac, une dague, j'ai pris une dague, super, je ne sais même pas me battre ! je passe par derrière la créature et pris de la hauteur pour pouvoir lui sauter dessus, quitte à les sauver, vaudrait mieux viser un membre qui l'empêchera de bouger, je décide donc de toucher la tête ou la nuque.
Je grimpe à l'arbre le plus proche de la bête, une fois à bonne hauteur, je lui saute dessus lui plantant la dague en plein milieu du crâne, la bête se débattait tellement et avec l'une de ces pattes, elle me propulsa contre un arbre.
- Louise ! criaient les garçons
- Relio ! cria Lucile qui est très vite suive par une lumière blanche éblouissante.
La créature se retrouva enchaîné à l'arbre duquel, j'ai sauté, les trois vinrent voir si j'allais bien, mais hélas la créature brisa le sort que Lucile lui avait jeté. Elle leva son énorme patte pour leur mettre un coup lorsque soudainement, je me mis à crier et qu'un étrange personnage qui flottait apparu, il était grand avec des oreilles pointues ces habits était étrange aussi, il était complètement noir, plusieurs ceintures en tout genre se trouvaient accroché sur ces hanches, il avait des ailes d'anges gris et une auréole fissurée mais dune beauté que même la déesse de la beauté pour en être jalouse. Il leva sa main et claqua des doigts ce qui fit apparaître plusieurs épées qui se dirigent toutes en direction de la bête qui ne put survivre à cette pluie d'épées.
- Qui es-tu ? demandais-je ;
- Je suis Arolds, je suis ta magie, dit lhomme ange qui venait dapparaitre,
Avant que je puisse poser d'autre question, il a disparu, tout le monde se tourna dans ma direction et me regarda avec de grands yeux choqués.
- Ne me regardé pas comme ça, je ne sais pas comment j'ai fait, dis-je perturber
- Ta magie s'est révélée !
Tout le monde était heureux, moi aussi, mais personne ne connaissait cette forme de magie, la seule personne qui pourrait nous renseigner serait May leur tante, mais pour cela, il fallait reprendre notre route. Edward décida de rester aux côtés de Jane pour éviter qu'il lui arrive encore quelque chose. Nous étions à même pas trois minutes du royaume d'Arions, on pressa donc le pas, une fois arrivé, nous sommes accueillis par deux personnes, la première était une femme plutôt enrober avec des oreilles pointues, les joues un peu roses et des yeux jaunes tandis que la deuxième personne était un homme qui devait avoir la quarantaine environs, un peu plus maigre avec une expression faciale qui pourrait faire peur à quiconque s'approcherait d'eux.
- Enfin vous voilà ! dit le vieillard ;
- Nous étions inquiets les enfants, madame May vous attend ! dit la jeune femme ;
- Mais qui êtes-vous ? on répondit tous en même temps.