~Chapitre 2 : Révélation d’une aventure proche~

Lorsque je me retournai, je ne vis plus personne autour de moi, ni les gardes ni le prince. Tout d'abord, j'ai pensée que javais allusiné tous ça, mais je n'avais pas rêvé, du moins je ne le pense pas. Pendant que je me remettais en question, Aaron essayait de me ramener à la réalité en criant mon nom. Après une lutte intérieure, j'entendis quelqu'un hurler mon nom.

 

- "LOUISE ! LOUISE !" cria Aaron.

 

- "Oui ?" dis-je.

 

- "Enfin, pourquoi regardes-tu derrière toi ? As-tu vu quelqu'un ou quelque chose ? Un rat ?!" s'écria-t-il.

 

- "Bien sûr, et un sacré rat ! Dis-moi, quand tu es arrivé, est-ce que tu as vu quelqu'un avec moi ?" demandai-je.

 

- "Non, tu étais seule en arrivant, pourquoi ?" demanda-t-il.

 

- "Non, rien. Comme ça, nous ne ferons pas attendre le roi plus longtemps," dis-je.

 

Aaron acquiesce et mexplique le contenu de la lettre. Le roi souhaitait me rencontrer suite aux rumeurs quil a eues ouïe, le stress commence donc à monter, il avait apparemment quelque chose à me dire. En revanche, je nai pas énormément compris, je pense quil m'expliquera ce que je dois faire.

 

Nous prîmes la route pour rejoindre le palais du roi. Nous demandâmes à un paysan de nous emmener jusqu'à l'entrée de la forêt où se trouvait ce fameux palais. La reine aimait la nature, c'est pourquoi le palais était situé en forêt. Une fois arrivés, nous avons dû emprunter des chemins étroits avant de pouvoir marcher sur un chantier qui semblait moins éprouvant pour mes jambes fatiguées. Plus nous avancions, plus nous apercevions le palais qui était suffisamment grand pour accueillir toute la ville où j'avais vécu étant petite. Son allure ancienne avait tout de même un charme certain : le palais était blanc et bleu, avec des gouttières en or.

 

- "Nous sommes arrivés," déclara Aaron.

 

- "Enfin !" dis-je, à bout de forces.

 

- "Ma chère, je vais vous faire marcher pendant votre séjour chez nous, je vous le dis," dit-il en se moquant.

 

Un garde nous demanda qui nous étions et pourquoi nous étions là. Aaron cria aux gardes que c'était le roi qui avait demandé à nous voir en personne, et que c'était urgent car il voulait me rencontrer moi. Il leur montra la lettre. Le garde me dévisagea sans que j'en comprenne la raison, mais son visage me semblait familier, comme si je l'avais vu récemment.

 

Nous entrâmes dans la cour, suivis de très près par deux gardes armés jusqu'aux dents, vêtus d'une armure en argent flamboyant et portant sur leur casque une plume verte. Le garde passa devant nous, arriva devant les portes du palais et frappa trois fois le sol de sa canne. Après cinq minutes d'attente, les portes s'ouvrirent et nous vîmes le roi, la reine et leurs deux enfants.

 

- "Bonjour, Aaron, heureux de vous revoir et de voir que vous avez répondu à mon appel," dit le roi.

 

- "Tout plaisir m'appartient, Votre Majesté," dit Aaron.

 

- "Appelez-moi Charles, mon ancien ami," dit le roi.

 

- "Bien, comme tu le voudras," répondit Aaron.

 

- "Aaron, c'est elle ?", demanda froidement le roi.

 

Elle a un prénom, pour un roi, il nest pas très poli. Et, puis pourquoi il a dit ça froidement, on ne se connait pas, je ne sais pas non plus ou je suis et pourquoi je me retrouve ici. La seule chose que le roi me dit, ce n'est rien, on ne me présente pas, il ne se présente pas non plus. Quelle drôle de monde !

 

- "O-Oui, c'est moi, Votre Majesté, pour vous servir" dis-je en faisant une révérence.

 

- "Ravie de pouvoir enfin faire ta connaissance. Dit moi ce que tu fait là et comment as-tu trouvé ton chemin pour arriver jusquici ?" me demande le roi.

 

- "Attendez, excusez-moi, mais je suis complètement perdue. Je ne connais rien de cette ville, ou plutôt de ce royaume et je ne sais même pas comment je suis arrivée ici" expliquai-je, complètement perdue.

 

Le roi et la reine semblaient tout aussi surpris que moi. J'avais l'impression de mettre mit dans un sacré bourbier, le roi mexplique donc où je me retrouvais et qui ils étaient ainsi de comment ils ont su pour mon arrivée. Je sentais la reine nerveuse lorsquil parlait, mais je ne prêtai pas attention et écoute le roi avec la plus grande des attentions. Il me raconta la même histoire quAaron par rapport à ce monde, de mon oncle et de ce qui se passe en ce moment Hirile était un prénom qui revenait souvent et de ce que jai compris le roi de lautre côté avait eu des enfants et quHirile est le plus grands, mais le dernier a complètement disparu de ce monde.

 

- "Je suis désolé de vous décevoir, Votre Majesté, mais je pense que vous et tout le royaume vous trompez de Louise. Ma famille n'a rien à voir avec votre monde, qui est pourtant splendide," dis-je.

 

- "Je me nomme Eloïse, et je sais que mes visions ne se trompent jamais. Tu es bien la véritable Louise de Castillan, et même la seule de ce royaume à porter ce nom," annonça la reine.

 

- "Comment savez-vous toutes ces choses sur moi, alors que moi-même je ne me souviens de rien ?" demandai-je.

 

- "Mon enfant, nous allons tout expliquer, mais tout d'abord, mes enfants vont vous montrer votre chambre," annonça le roi.

 

Deux jeunes garçons que je n'avais pas remarqués jusqu'ici prirent les sacs que portait Aaron. L'un d'eux suivit Aaron tandis que l'autre me demanda de le suivre. Je reconnus immédiatement le prince qui était parti sans la moindre politesse ni présentation. J'avais envie de lui remonter les bretelles, mais il était un prince, alors je décidai de ne pas faire d'esclandre.

 

- "Vous souvenez-vous de moi, très chère ?" dit Gaston.

 

- "Donc, vous êtes bien réel. Je n'ai malheureusement pas rêvé," dis-je un peu énervée.

 

- "Comment ça 'malheureusement' ?" répondit-il, vexé par ma remarque.

 

- "Je n'aurais pas dit cela si vous m'aviez dit au revoir, ou si vous vous étiez présenté avant de disparaître comme un fantôme. Je trouve ça plutôt irrespectueux, surtout que j'étais en train de vous remercier," expliquai-je.

 

- "Je devais partir," me dit-il.

 

- "Certes, vos devoirs sont peut-être plus urgents, mais la politesse et le respect envers une personne qui vous parle sont d'autant plus importants, ne croyez-vous pas ?" expliquai-je.

 

Le prince Gaston se tourna vers moi, lâcha mes bagages comme s'ils étaient des déchets, et partit en me laissant devant une porte qui devait être ma chambre, puisque mon nom y était inscrit. Je pris mes affaires et entrai dans une grande pièce. Si ma mère était là, elle hurlerait et sauterait sur le lit comme une enfant. Le lit était un lit King-size orné d'or, avec des draps en soie. Les fauteuils étaient de couleur violette pastel, également ornés d'or. Un grand miroir trônait au-dessus d'une cheminée en marbre, et au plafond, il y avait une peinture représentant la déesse de la nuit avec ses enfants.

 

- "Si c'est ça la royauté, Papa, Maman, vous avez intérêt à ce que je ne découvre pas que vous en faites partie, sinon vous risquez d'avoir le droit à une crise de nerfs." dis-je.

 

J'ai déposé mes sacs sur le lit, ouvert les rideaux et j'ai pu admirer une vue magnifique sur la ville. On pouvait apercevoir les serviteurs vaquer à leurs tâches, ainsi que les gardes et la splendeur de la ville ancienne. Je suis restée là à contempler la vue, perdue dans mes pensées. J'ai dû rester dans cet état pendant une bonne dizaine de minutes, me sentant perdue et anxieuse de ne rien comprendre.

 

- "À quoi penses-tu, mon enfant ?" demanda le roi.

 

- "À mes parents, ils me manquent. J'aimerais qu'ils soient avec moi..." répondis-je.

 

- "Cela doit être dur, j'imagine, d'arriver dans un monde où tout le monde vous connaît, mais pas vous," me dit-il.

 

- "En réalité... je suis perdue. Ça fait deux jours que je suis ici, mais je ne comprends toujours rien. Je réfléchis à résumer mon existence depuis que je suis ici. Tout le monde me regarde comme si j'étais une héroïne qui a accompli de grandes choses, alors que je n'ai rien fait. Je ne supporte pas ce genre de regard. J'aimerais être 'inconnue' à leurs yeux, une jeune fille ordinaire qui s'est simplement perdue," lui expliquai-je.

 

Le roi qui était à mes côtés, m'écoutait râler, me plaindre et parler de nostalgie pour mes parents. Son visage était empreint de tristesse et de joie quand je parlais d'eux. Il ne disait rien, il m'écoutait simplement.

 

- "Tes parents ont dû garder le secret à cause de nous... hélas," dit-il d'un ton empreint de regrets.

 

- "Pourquoi ? Pourquoi dites-vous cela ?"

 

Le roi se tourna vers moi et me demanda de m'asseoir. Puis il commença à me raconter comment mes parents étaient liés à ce monde, mon père étant le meilleur ami d'Aaron et de lui-même, travaillant en tant que chevalier pour eux, et ma mère servant de protectrice de la reine Éloïse. Malgré l'opposition de leurs familles, ils se sont mariés et ont eu moi, mais un drame est survenu. Le frère du roi Charles a déclaré la guerre pour déterminer qui dirigerait le royaume, même après avoir divisé le royaume en deux parties distinctes. Son frère en voulait toujours plus, plongeant tout le royaume dans le sang. Ma mère était une lionne puissante, et mon père était un sorcier d'une puissance que même Merlin n'aurait pas osé défier. Il a réussi à vaincre l'ennemi, mais le fils du frère a juré de se venger en s'en prenant à moi. Malgré plusieurs tentatives, il a échoué, mais ma famille était constamment menacée. C'est alors qu'ils ont trouvé refuge dans le monde des humains. Le roi a décidé qu'il devait attendre que je devienne majeure pour me révéler toute cette histoire et m'assurer ma sécurité.

 

- "Vous êtes en train de me dire que mes parents sont puissants, que mon père a des pouvoirs magiques et que ma mère est une demi-lionne..."

 

- Je ne suis pas certain que vous ayez hérité de leur pouvoir et que vous avez également votre propre forme, me confirme le Roi

 

- Wow ce serait trop cool ! ... mais je n'ai rien de tout ça...

 

- Vous allez le découvrir peut-être plutard ma chère enfant, m'explique-t-il

 

Le Roi partit sur cette dernière phrase me laissant encore plus perdu et perplexe. J'ai fini de déballer mes affaires et j'ai pris une douche froide pour assimiler toutes ces informations. Quand je sors, j'entends du bruit dans ma chambre, je sors une serviette de toilettes autour de moi pour voir qui était ce bruit. Je fis face à Gaston, surprise, je me mis à crier de peur et lui demander ce qu'il faisait là, il me répondait que c'était son père qui avait entendu notre discussion et qui lui avait demandé de venir s'excuser.

 

- "Non seulement tu es grossier, mais tu es aussi un voyeur ! Tu te moques de moi !" ai-je crié.

 

- "Pas du tout, excusez-moi. Je ne pensais pas que vous preniez votre bain !" a-t-il répliqué.

 

- "Il aurait suffi de frapper à la porte ! Tu connais cette chose qui s'ouvre et se referme et qui te permet d'entrer et de sortir de ma chambre !" ai-je crié.

 

Gaston s'est retourné pour que je puisse m'habiller. Quand j'étais prête, je suis sortie du dressing et je lui ai demandé de se retourner.

 

- "Excusez-moi d'être entré comme ça et désolé d'être parti sans avoir écouté vos remerciements," dit-il gêné.

 

Il a quitté la pièce, rouge comme une tomate. Mais j'avais du mal à croire qu'il était venu s'excuser uniquement parce que son père lui avait donné l'ordre.

 

- "Quel pourri gâté !" marmonnais-je.

Le retour de Louise perturba tout le monde au royaume et au palais. Tout le monde était heureux de la revoir et de pouvoir discuter avec elle. Louise, qui n'était là que depuis trois jours, se sentait bien dans ce royaume, mais pas vraiment à l'aise avec tout ce qu'elle venait d'apprendre sur sa "famille". Pendant que le monde parlait d'elle, un certain Hiriles apprenait tout juste la nouvelle et était heureux de ce qu'il venait d'apprendre, commençant à se préparer.

 

Une fois que le prince fut complètement parti, je réfléchissais à ce que j'allais faire dans ma chambre. La seule chose que j'ai trouvée était de tester le confort des fauteuils et du lit. Les fauteuils étaient agréablement confortables. Après être restée trois minutes sur les fauteuils, j'ai décidé d'essayer le lit. J'étais allongée sur un lit qui était, pour ainsi dire, douillet. Je réfléchissais à quel point tout cela pouvait être réel. Je me suis pincée à plusieurs reprises. De nombreuses servantes sont passées me dire bonjour et se sont présentées tour à tour. Certaines semblaient confiantes, d'autres avait lair de ne pas aimer ma présence. Certaines dentre elles allaient m'aider à choisir quelles robes porter pour tel événement ou repas, ainsi que la manière de les mettre et de les porter. Une autre allait m'enseigner à me repérer dans cet immense château. Des hommes se sont présentés comme étant des professeurs de bonnes manières, d'équitation et d'éloquence. Pourquoi est-ce si difficile d'être dans une famille connue de tous ?

 

- Madame Louise ? les princes aimeraient vous voir, annonce une première servante

 

- Jane je vous ai déjà dit de m'appeler par mon prénom oublié la dame et de me tutoyer je vous en supplie, lui dis je

 

- pardon, j'ai une mauvaise habitude, tu es la première a nous demandé ça donc on va mettre du temps à prendre l'habitude, me répond-t-elle

 

- ce n'est rien ne t'en fais pas, je comprends très bien, tu disais quoi déjà désoler, j'ai oublié entre temps, lui dis-je un peu gêné

 

- Ah oui ! le prince Edward et Gaston aimerait vous- t'inviter à prendre le thé avec eux si tu acceptes, me raconte Jan

 

- dit leur que j'arrive et demande à Audette et Laura de venir m'aider avec les robes pour le thé s'il te plait, j'ai encore du mal avec cette histoire de tenu, dis-je

 

Jane acquiesce et parti les chercher tandis que je me levais et vais me laver les dents puis me dirige vers le dressing pour regarder laquelle me plairait aussi surprenant que cela puisse être j'aime beaucoup certaines robes certaines sont simples avec une simple ceinture corset, d'autre sont aussi simples avec un vrai corset magnifique et d'autre sont trop volumineuses, mais celle-là est pour les galas ou encore les bals ou les grands repas, mais elles ont l'air lourde à porter donc j'espère à ne pas à avoir à les porter sinon je mourrais sur place.

 

Pendant que je me parlais à moi-même, Ebony et Zella arrivaient en même temps.

 

- Tu nous as appelés ? demande Zella

 

- Oui aidez-moi à choisir une robe pour aller prendre le thé avec les princes s'il vous plaît je n'ai pas encore tout compris donc j'ai vraiment besoin de votre aide, demandais-je

 

- Ne t'inquiète pas, on va t'aider, on est des professionnels n'oublie pas, dit-elle fièrement

 

Ebony et Zella se battaient pour savoir laquelle avait raison cela dura environs cinq minutes avant de trouver une robe vert émeraude magnifique avec des motifs au fils doré et un corset vert au lanière doré aussi. La robe était plutôt longue avec une longue trainé, les manches était plutôt courte et bouffie.

 

- La voici, me dit Zell

 

- Incroyables juste wow, dis-je

 

- allez vite l'enfiler et rejoint les princes, allez ouste ! dit Ebony

 

Je prends la robe et cours l'enfiler, elle est juste magnifique et de ma couleur préférée en plus ! j'étais excité à l'idée de la portée. Une fois mise, les deux filles me coiffent et se maquillent un peu, je mets des petits talons, car je ne sais toujours pas marcher avec de grands talons. Jane m'attendait devant la porte et me guida jusqu'à la véranda où les deux jeunes hommes m'attendait, Edward était grand, blond comme sa mère, ces cheveux était plaqué vers l'arrière et avait des yeux gris profond, il avait des écailles dorées sur son visage des palmures sont entre ces doigts. Les deux se levèrent en me voyant et me saluât puis on s'assit et on commença donc le thé.

 

- Vous vouliez me voir tous les deux ? dis-je

 

- Pour ma part à moi, c'était pour faire plus ample connaissance avec vous Madame, explique Gaston

 

- Pour moi, je voulais juste discuter, dit un jeune homme

 

- Alors tout d'abord, arrêtez tous les deux de me vouvoyer et appelez-moi par mon prénom s'il vous plaît, demandais-je

 

- De même pour toi donc appelle nous par nos prénoms, moi s'est Edward, annonce-t-il

 

- Alors tout d'abord, arrêtez tous les deux de me vouvoyer et appelez-moi par mon prénom s'il vous plaît, demandais-je

 

- De même pour toi donc appelle nous par nos prénoms, moi s'est Edward, annonce-t-il

 

- Quelle beau parleur sexclame Gaston

 

- Cest moi le beau parleur ? rappelle moi une chose, qui a coucher avec la moitié des servante du palais ? réplique Edward,

 

- Je ne vois pas de quoi tu parle réponds Gaston,

 

- Monsieur le goujat parle de choses quil fait le premier dit Edward,

 

- EuhLes garçons ? interrompe-je dune voix timide,

 

- QUOI ?! cri-t-ils,

 

- Vous allez dans un premier temps garder vos disputes enfantines loin de moi car je men contre balance et ensuite vous mavez pour parler de quoi ? dis-je un peu énervé,

 

- Tu dis ne rien connaitre sur notre royaume tandis que tout le royaume ainsi que nous même te connaissons, c'est étrange tu ne penses pas ? m'explique Gaston

 

- A vrai dire si ce que le roi m'a dit est vrai mes parents vous auraient sauvé du roi de l'autre côté, mais nous avions dû partir à cause de son fils qui est en soif de vengeance, expliquais-je

 

Les deux garçons était abasourdi par ce que je venais de leur dire, mais ne posait pas plus de questions dessus, par la suite, on se mit à parler de tout et de rien de nos goûts (musicaux, couleurs, plat) mais aussi du royaume les garçons me parlais des légendes et des histoires de ce royaume malgré certaines disputes qui se faisait sur des désaccord un peu médiocre lorsque soudainement, je suis prise d'une douleur fulgurante au niveau du dos.

 

Gaston voyant ma détresse vint à me porter en princesse pour m'emmener voir sa mère qui avait des dons de guérison et Edward pendant ce temps expliqua à son oncle et son père ce qui venait de se passer, car Gaston criait dans tout le palais pour trouver sa mère.

 

- ce n'est rien de grave juste sa forme qui commence à se dévoiler donc son corps et surtout son dos change donc elle risque de souffrir énormément durant quelque temps, je veux que vous les garçons ainsi que toi Jane garde un il sur elle vérifie qu'elle ne porte rien de lourd et qu'elle ne fasse pas de geste trop brusque et que vous lui expliquiez ce qui lui arrive, explique la reine Eloïse

 

Tous acceptent et Edward qui était un peu plus délicat que Gaston ramena Louise dans sa chambre.

 

- Tu es sûre de ce que tu m'as dit tout à l'heure, elle a l'air de ne pas du tout appartenir à notre monde tu l'as bien remarqué lors de notre discussion, dit Gaston

 

- De quoi vous parlez tous les deux ? demande Jane

 

Les garçons avaient oublié que Lucile devait aussi s'occuper de Louise en attendant son réveil.

 

- De rien du tout ! exclame les deux garçons

 

- Je vous laisse trois secondes, pas plus pour me dire ce que vous savez ! Cris Jane

 

- Bien, j'ai surpris oncle Aaron et père parler de Louise, oncle Aaron disait que père avait menti sur l'identité de Louise, mais je n'ai pas pu entendre plus, explique Edward

 

- Les garçons votre père vous expliquera plus tard pour le moment occupons-nous de Louise, explique Jane

 

Les deux garçons acceptent et attendent que Louise se réveille.

 

~18 h 25~

 

- mmh

 

- Louise ! enfin tu te réveil, cris Gaston

 

Gaston m'aida à me relever doucement. Mais un cri de douleur sortit tout seul et Gaston me dit de ne pas trop forcer.

 

- Vas-y doucement s'il te plaît, explique Gaston

 

- Il s'est passé quoi ? demandais-je

 

- ta forme a décidé de commencer à se dévoiler, mais pour le moment on est là pour te surveiller le temps qu'elle se révèle, m'explique Gaston

 

- oh d'accord, dis-je

 

Pendant que je sors cette phrase, je sens comme des crocs, des petits crocs, mais la douleur au niveau du dos est insupportable et cela m'énerve mais jessaie de garder son calme.

 

- Louise ? ça va ? me demande Jane

 

- Oui, je réfléchissais juste, lui répondais-je

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