Un peu à l’écart de la ville fortifiée où l’insécurité était omniprésente, loin du tumulte ambiant. Une femme observait l’architecture d’une bâtisse, fascinée. Face à elle, se trouvait une maison blanche à étage et aux poutres apparentes. À intervalles réguliers, se trouvait une multitude de persiennes en bois, entrouvertes. Une petite lanterne rouge se balançait paresseusement au-dessus de la porte d’entrée. La nuit était fraîche, un vent glacial venait de se lever. C'étaient les premiers signes annonciateurs de l’hiver. L’aventurière solitaire, nullement gênée par le froid, secoua ses habits endimanchés et entra.
— Bonsoir, madame Eulalie ! salua l’hôtesse debout derrière son bureau impeccablement rangé. Je me doutais bien que vous veniez ce soir. Je vous ai réservé votre chambre habituelle.
— Quel geste attentionné de votre part, demoiselle Mylodie ! confia la femme rousse aux yeux verts qui venait de franchir la porte. J’ai grand besoin de me détendre, je suis las de ces missions incessantes.
— Permettez-moi d’être franche, madame ? questionna timidement la jeune femme gérant les entrées.
— Vous avez acquis ce droit depuis la fois où nous avons mélangé nos… Points de vue, dirons-nous.
— Un moment inoubliable… se remémora la brune aux cheveux longs et bouclés, perdue dans ses pensées. De plus, je connais votre appétit insatiable. Alors, je me suis permis une petite folie. Une petite surprise vous a été réservée.
— Vous éveillez ma curiosité, chère amie ! Une surprise pour ma dernière nuitée dans cette ville ? Votre établissement n’a rien à envier à vos concurrents. Ces grosses maquerelles qui attirent les badauds écervelés. Vous, on peut dire que vous savez recevoir.
La femme aux cheveux de feu fouilla dans sa petite besace en cuir attachée à sa ceinture. Elle en sortit une pièce d’or et la déposa dans la main de l’hôtesse. En effleurant sa paume du bout de ses doigts, avec douceur. Eulalie plongea son regard pénétrant dans celui de la jeune femme. Grâce à sa longue expérience, elle savait reconnaître les personnes méritantes.
— Je ne puis accepter, madame ! répondit l’hôtesse en remontant ses lunettes, les joues empourprées. Je me contente d'accomplir les tâches pour lesquelles je suis rémunéré.
Sur la table en bois de noyer joliment ornementée, reposait un unique chandelier. La flamme de la bougie à moitié consumée se mit à trembloter anormalement. Au-dessus, une multitude de petites étincelles apparurent en émettant des crépitements. La lumière qu’elle émet devint plus intense. La gardienne des lieux fut surprise. Alors, elle observa ce phénomène sans oser souffler sur la bougie. La jeune brune ne vit même pas son invitée disparaître, ni la lueur étrange qu’elle avait dans les yeux.
***
Eulalie ouvrit la porte de sa chambre, tous ses sens en ébullition. Comme d’habitude, la pièce avait été aérée et nettoyée avant son arrivée. Le parquet en chêne massif venait d’être ciré, donnant un effet miroir au sol. Une douce odeur de jasmin planait grâce aux bouquets de fleurs dispersées dans la chambre. Une carafe d’eau fraîche et un verre étaient posés sur une table.
— Elle a un don, cette petite ! et un goût exquis également ! s'avoua Eulalie mentalement.
Coutumière de ce genre d’établissement, la belle rouquine ne perdit pas de temps. Sur la droite de la porte, se trouvait une fine cordelette dorée, reliée à un ingénieux système de clochette. Une légère pression sur celle-ci, avertissait que l’invité était prêt. Elle ôta son chapeau pointu tout cabossé puis le posa sur la table avec délicatesse. Son couvre-chef, usé par les années, pointait vers le bas. Un étrange petit diamant noir était accroché à sa pointe.
La jeune femme prête retira les deux sangles de son large bustier en cuir et le laissa tomber au sol. La ceinture avait en son centre une émeraude taillée en losange. Elle dénoua le corsage au niveau de sa poitrine. Ses seins reprirent instantanément leur véritable volume. Sa longue robe vert sombre à capuche et ses manches trompette évasées glissèrent sur son corps parfait. D’un geste délicat, elle retira ses poulaines rembourrées de laine de mouton.
À présent, complètement nue, elle s’admira. Sa peau était dépourvue de poil. Seuls ses longs cheveux, ondulés, semblaient résister à sa magie offensive. Son teint rose pâle lui donnait l’apparence d’une jouvencelle. Les tétons de ses seins aux proportions harmonieuses durcissaient déjà sous l’effet de l’excitation. Une douce chaleur venait se lover dans le bas de son ventre. Ses jambes fuselées commencèrent lentement à se frotter l’une contre l’autre.
Le heurtoir métallique à l’extérieur de la porte se fit entendre à trois reprises. C’était le signal qu’attendait Eulalie. L'utilisateur de mana s’inspecta une dernière fois. À l’aide de ses doigts, elle remit de l’ordre dans sa chevelure écarlate et fit deux tresses à la hâte, permettant de bloquer ses mèches récalcitrantes. Chassant du bout du pied ses vêtements laissés par terre. La jeune femme regarda amuser la flamme de la lampe à huile suspendue. Celle-ci dansait et virevoltait, faisant écho aux émotions de l’utilisatrice de mana.
Quand la porte s’ouvrit, un homme couleur ébène fit son apparition. Il ne portait qu’un simple pantalon en lin blanc. Ce qui permettait d’admirer sa musculature puissante. Ses cheveux étaient tressés directement sur son crâne. Ce fils d’Adam avait un regard pénétrant et sauvage. De lui, se dégageait une douce odeur de musc extrêmement attirante.
— Bonsoir, madame Eulalie, c'est un plaisir de vous rencontrer. Je suis là pour vous tenir compagnie cette nuit, signifia l’amant d’un soir. Je me nomme Arloty.
— En voilà une bien magnifique surprise ! Enchantée également, répondit la femme aux cheveux roux, sentant déjà la fièvre monter.
— Pardonnez-moi cette erreur, je ne suis pas votre surprise, mais NOUS sommes votre surprise.
Arloty tendit son bras et attrapa quelqu'un, hors de son champ de vision. Dans un mouvement délicat, il fit venir à lui une jeune femme blonde. Celle-ci était vêtue d’une longue chemise blanche en lin, sans manches, arrivant un peu au-dessus des genoux. Cette fille d’Eve était bien différente des autres dames œuvrant ici. Son corps affichait de légères rondeurs. Ce qui lui valait régulièrement des railleries de ses consœurs malgré une beauté saisissante.
— Bonsoir, madame Eulalie. Je m’appelle Dorialda et je suis là pour vous apporter le réconfort que vous souhaitez, murmura-t-elle timidement.
— Ne soit pas timide, mon trésor. Ce soir, je vais t’apprendre à être toi-même.
Sans même lui laisser le temps de répondre. Eulalie l’attira vers elle et retira lentement sa chemise en prenant soin de détailler toute son anatomie. Son corps était légèrement bronzé, ce qui mettait sa chevelure plus en valeur. Sa poitrine devait en faire rougir plus d’un. La femme aux cheveux écarlate fit tournoyer la blondinette sur elle-même afin de terminer son observation. D’un clin d’œil malicieux, elle fit comprendre au jeune garçon d’ôter son pantalon.
— Ce soir, soyez vous-même ! déclara la rousse, en les regardant tour à tour. Je ne vous donnerai qu’un seul ordre, OSEZ !
Malgré une timidité apparente, Dorialda alla s’allonger sur les draps en soie du lit, nue. Elle entrouvrit imperceptiblement les jambes, laissant à peine apparaître son sexe. Cet appel à la tentation fut immédiatement compris par les deux autres personnes dans la pièce. Eulalie fut la première à réagir. Tel un félin, elle monta délicatement sur la couche en se positionnant juste au-dessus des jambes de la blonde. Deux mains fines se glissèrent entre les cuisses de la fille d’Eve. Tout en les caressant, elle appliqua une pression pour les ouvrir pleinement. Eulalie se cambra à l’excès, relevant son postérieur en position haute et plongea sa tête vers l’abîme de volupté de la blondinette. Avec sa langue habile, les premiers gémissements se firent entendre.
La flamme de la lampe à huile, accrochée à une poutre, semblait être prise dans une tempête. La lueur vacillait avec l’ardeur de la passion, tantôt feu de joie, tantôt flammèche.
Arloty n’attendit pas d’appels cette fois-ci. Le fils d’Adam s’approcha du bas du dos d’Eulalie. Il plaqua sa virilité naissante contre la matrice s’offrant à lui. Du bout de ses doigts, en effleurant, il traça des lignes imaginaires, des spirales sur les fesses galbées. À l’aide de légers mouvements du bassin et de doux frottements, le jeune homme parvient à amadouer l’écrin rosâtre. Il prenait son temps dans une série de va-et-vient qui gagnaient en force et en profondeur. Dans le feu de l’action, sans même y réfléchir, il claqua l’une de ses mains puissantes contre le fessier d’Eulalie. L’utilisatrice de mana, surprise, arrêta net ses préliminaires et se retourna instantanément. Elle passa du regard noir, prêt à foudroyer, à celui d’amusé et finit par un haussement d’épaules disant « Et pourquoi pas ! ».
Dorialda profita de ce moment de répit pour agir à son tour. Alors, elle glissa son corps tiédi par l’excitation sous celui d’Eulalie. À présent, leurs seins et leurs bijoux féminins suivaient le rythme imposé par le jeune homme. La fille d’Eve caressa le dos de son amante. Plaquant volontairement son corps contre le sien en suivant cette danse charnelle. Elle plongea son regard affriolant dans celui de son invitée d’une nuit. Les deux femmes fusionnèrent leurs lèvres dans un baiser fort en émotions.
Dorialda et Arloty ne furent pas surpris, car Mylodie avait tout anticipé. Elle leur avait expliqué que certaines choses anormales allaient se produire. La lumière de la flamme devenue complètement folle augmentait graduellement son intensité. Une douce chaleur salvatrice vint remplir la pièce. La maîtresse de ces lieux avait omis volontairement un détail important. À l’approche de l’extase, l’utilisatrice de mana ne serait plus exactement la même.
La chevelure d’Eulalie était, à présent, un feu ardent. Des flammes qui, comme des cheveux, ondulaient follement au rythme endiablé de cet ébat. Ses iris verts émeraudes avaient laissé place à des yeux couleur ambre. Une légère fumée s’échappait de son corps nu. Elle était aux portes du plaisir extrême.
À bout de souffle, le jeune Arloty jeta ses dernières forces dans cette bataille sensuelle. Il sentit le corps d’Eulalie, allongée sur le côté, se contracter. L'utilisatrice de mana l’enveloppa dans ses bras et plongea son bassin contre sa virilité ardente, puis y maintenu la pression. Dorialda se rapprocha des deux amants sur le point d’exulter. Une main caressant avidement la poitrine de la manipulatrice de mana et l’autre s’immisçant dans son écrin à délices personnel.
Durant une longue minute, malgré une nuit sombre, la pièce fut éclairée comme une belle journée d’été. Des cris de jouissance profonde furent entendus dans toute la bâtisse.
***
Le fils d’Adam et la fille d’Eve s’étaient endormis sur le lit à baldaquin, paisibles. La nuit avait été éprouvante. Eulalie était allongée entre ses deux compagnons d’une nuit. Songeant à remercier cette charmante Mylodie pour cette magnifique surprise. La femme aux cheveux encore flamboyants se leva et fouilla dans le compartiment secret de sa besace. Elle en sortit un mélange de tabac et de fleurs de rêve. Eulalie plaça sa préparation dans le creux de sa main, puis ferma le poing et activa son mana. Une fine fumée s’éleva de sa dextre, libérant une douce odeur florale. La combustion étant terminée, elle aspira la totalité et bloqua sa respiration. Eulalie ouvrit délicatement une persienne et expulsa la fumée de ses poumons, emportée par le vent. L’utilisatrice de mana scruta l’horizon, un sourire béat aux lèvres.
Elle ne remarqua pas les deux yeux félins fixés sur elle, tapie dans le noir, au bord d’une corniche.
Un hurlement d’une femme la fit sortir de sa léthargie. Une succession de jurons et de rire sarcastique résonnaient dans le couloir juste derrière la porte de sa chambre. Eulalie, encore nue, sortie avec hâte.
Le couloir était peu éclairé, créant une certaine discrétion pour les clients ne souhaitant pas être reconnus. Ce corridor long de plusieurs mètres donnait accès à une vingtaine de chambres. Malgré la distance, Eulalie vit un homme au ventre proéminent. Ce malotru tenait les cheveux longs d’une femme et l’obligeait à se mettre à genoux. Il avait un visage rubicond et boursouflé, à chaque mot qu’il brayait, un jet de salive s’en échappait. Avec ses doigts boudinés, l’homme tentait vainement de baisser son pantalon. La jeune fille, affolée, tordue de douleur, pleurait et suppliait de l’aide.
— J’ai payé, sale garce, je n’en ai pas fini avec toi, éructa le dénommé Palicron, complètement ivre.
La malheureuse demoiselle était consciente qu'elle ne pouvait ni agir ni s'exprimer. Cet homme dépensait des sommes astronomiques pour se divertir dans ces lieux. Il faisait partie des clients les plus rentables pour cet établissement. Triskaël, jeune métisse aux cheveux noirs, allait devoir céder et subir une avalanche de coups, d’injures et le déshonneur.
— Lâche la, gros lard, vil butor écervelé ! cria fièrement Eulalie, entièrement nue.
— Barre-toi, sale puterelle ! beugla Palicron, fou de rage.
— Retourne-toi quand tu t’adresses à moi, forban. MAINTENANT ! s’époumona l’utilisatrice de mana.
L’homme ventru fit volte-face, prêt à déchaîner sa colère. Il reconnut instantanément la personne devant lui. Puis recula précipitamment, manquant de tomber sur la jeune femme agenouillée.
— Tu n’as pas à intervenir ici, sorcière. Nulle guilde n'opère dans un bordel, bredouilla-t-il, cherchant inutilement sa dague dans son dos.
— Sache, sinistre crétin, qu’aucune de vos lois ne pourrait m’empêcher de te tuer sur-le-champ. Ta perte serait un cadeau pour cette ville et ses habitants.
— Je … Je … Suis un homme important, protégé par des personnes influentes. Un claquement de doigts de ma part et tu finis au bout d’une corde, Eulalie SombreSang. Tu n’es qu’une engeance qu’il faut éradiquer.
Eulalie remarqua que la jeune métisse, heureuse d’être secourue, s’était échappée furtivement par les escaliers. Dans le couloir, la température se fit de plus en plus intense. L’air se raréfia. Palicron peinait grandement à respirer. Cependant, il fixait la sorcière à plusieurs mètres de lui, tout en cherchant une issue. L’espace d’un clignement de ses yeux, la femme à la chevelure flamboyante était nez à nez avec lui. Son corps en lévitation était entouré d’une aura de fumée. Ses cheveux crépitaient, tel un feu ardent. Le temps s’arrêta.
— Fuis si tu tiens à la vie et ne reviens plus jamais ici ! s’exclama la sorcière d’un ton cinglant. Ne croise plus jamais mon chemin, mécréant. FUIS !
L’homme, bedonnant, tressaillit de peur et chuta à la renverse. Heurtant le parquet lustré avec l’arrière de son crâne dégarni. Luttant contre les battements violents de son cœur, il marcha à quatre pattes en poussant de petits cris d’effroi. Le corps trempé de sueur et d’autres substances, Palicron dévala les escaliers. Dans sa fuite hystérique, haletante, il hurla une dernière menace.
— Sorcière, je te tuerai, j’en fais le serment.
Je continue ton histoire. Alors je suis pas le plus adepte des scènes de sexes dans les livres. j'en ai moi-même aucune dans mon histoire (pour le moment) et ce sera sûrement comme celles de Scribilix, rapide ahaa
Mais ça fonctionne, tu as mis ce chapitre pour introduire un personnage Eulalie et sa personnalité, donc si c'est elle, ça fonctionne tout simplement aha.
Tout est décrit sans non plus aller trop loin ou au contraire pas assez :)
"Je ne puis accepter, madame ! répondit l’hôtesse en remontant ses lunettes, les joues empourprées. Je me contente d'accomplir les tâches pour lesquelles je suis rémunéré." -- la deuxième partie est en italique, pendant un instant j'ai cru qu'elle se parlait à elle-même. Juste une petite erreur de format aha
"— Elle a un don, cette petite ! et un goût exquis également ! s'avoua Eulalie mentalement. " -- dans mon histoire, je mets toutes les pensées internes en italique sans tiret pour que ce soit bien différencier de la parole à voix haute. Je pense que ce serait mieux ici aussi. Suggestion aha
"La pauvre demoiselle savait qu’elle ne pouvait rien faire et ne dire" -- je suis pas sûr de la formulation "ne dire" j'aurais soit mis "rien faire ni dire" ou "rien faire et rien dire"
Voilà ^^ A plus dans la suite :)
Merci une énième fois de poursuivre mon histoire. Merci également de m’apporter ton aide précieuse !
Ce chapitre m’a demandé beaucoup de concentration. Je voulais donner envie, mais je ne voulais pas être grossier. C’est un trait très important d’Eulalie. Cela fait partie de sa personnalité pour certaines raisons révélées plus tard.
Je tiens par ailleurs à m’excuser pour mon retard de réponse. Je suis actuellement en vacances et j’en profite le plus possible.
J’espère prochainement te revoir ;)
Zao
Tu as raison profite au max 😁
Bien sûr je vais continuer :)
A plus !
Sinon le chapitre est encore une fois bien ecrit. Tu as réussi à produire une scène de sexe sans que cela ne soit grossier ou obscène (j'ai tendance à les expédiés assez rapidement dans mes ecrits de peur de tomber dans l'un ou l'autre. Comme la mentionné plume de poney, la scène correspond bien au tempérament d'une pyromancienne et je ne peux pour ma part que penser à Pyra qui apparait par la suite dans mon texte. Bel introduction de personnage.
je trouve que la ponctuation est un peu hachurée et que l'emplacement des mots prete à confusion : "où l'insécurité est omniprésente" pouvant renvoyer à la ville fortifiée ou bien à l'endroit situé un peu à l'écart meme si je pense que tu avais la deuxième option en tete.
J’ai beaucoup douté de moi quand j’ai écrit ce texte. Je ne savais même pas s'il pouvait avoir sa place dans mon livre… Peu de gens ont commenté ce chapitre. Alors difficile de me faire une idée précise.
J’ai créé une sorcière manipulatrice de feu, un peu nymphomane sur les bords. Elle n’a pas non plus sa langue dans sa poche. Je suis resté un peu vague sur l’étendue réelle de ses pouvoirs. En gros, elle est monstrueusement badasse.
Pour mes premières phrases, tu as sûrement raison, il y a quelque chose. Je vais étudier la question prochainement.
Zao
Voilà une pyromancienne comme on les aime, rousse et sulfureuse!
La difficulté pour elle semble plus de restreindre ses pouvoirs que de les utiliser. Ca promet un beau duo de fumeurs d'herbe à rêve avec Lyk!
Elle risque aussi detre assez explosive dans le groupe qui va se constituer (c'est bien notre ami polymorphe Qui la regarde à la dérobé de ses yeux félins n'est ce pas?)
J'ai repéré deux trois coquilles sinon si ça peut aider :
"Ce fils d’Adan avait est un regard pénétrant et sauvage."
"Un hurlement d’une femme"
"J’ai payé, salle garce"
"pour se divertir dans ses lieux."
"L’air se ratifia."
Tu n’imagines pas à quel point ton commentaire me fait chaud au cœur. N’ayant aucun retour sur ce texte, j’ai pensé que d’avoir incorporé du sexe avait tout gâché… Des personnes suivant mon histoire ont annulé leurs suivis… Grosse remise en question et je me suis dit qu’il valait mieux arrêter avant d’être complètement déçu.
Pour répondre à ta question, oui, bien sûr, c’est Lyk qui l’espionne discrètement. J’en avais fait allusion quand il fait des rêves prémonitoires. ( Te souviens-tu ? )
Le prochain personnage présenté va faire un duo explosif avec la sorcière. Il est aussi présent dans le rêve prémonitoire.
Merci pour les coquilles et encore merci pour ton précieux commentaire !
À très vite, j’espère !
Zao
Content de t'avoir réchauffé le cœur (sans pyromancie en plus!)
J'avoue ne jamais écrire de sexe donc je me facilite la vie, mais c'est sûr que ça peut être clivant. Maintenant, tu n'écris pas de pratiques extrêmes, ce n'est pas gratuit ni trop cru.
Les désabonnements sont survenus depuis le post de ce nouveau chapitre où avant?
J'avoue que je me suis désabonné de certaines histoires car j'ai trop de choses dans ma PAL et je veux pouvoir lire celles que je garde sans trop de délais.
Je me souviens des rêves prémonitoires mais pas très précisément de notre sorcière. Par contre Lyk partait chercher ses élus, donc le lien était facile à faire.
Vivement le nouveau perso pour créé le duo alors!
A la prochaine et de rien!