À trop vénérer le passé, j'en deviens conciliante avec les erreurs présentes. Depuis que je l'ai connu, la perte me terrifie et le jamais me pétrifie.
Il est des choses qui ne peuvent bouger, que je ne peux ni rattraper, ni effleurer. Je ne peux que caresser mon cœur, en espérant que cette peine s'apaise. Le vide, le vide est une douleur, et lorsque je la ressens, lorsqu'elle passe de nuage à terre, si trop longtemps elle marche, alors je crois imploser, je veux hurler ; et je hurle, d'un cri sourd que personne n'entends, car il n'y a rien à en dire.
Et pourtant, une vie, une flamme, un doux pelage, un murmure au creux de mon oreille, une vibration sous mes doigts me ramène. Et là, seulement là, les larmes se mélangent puis se tarissent, et je ris, heureuse d'être en vie car j'aime.
Je sais qu'il faut 150 caractères minimum mais en fait, je n'ai actuellement pas envie de faire "un commentaire pavé"
Je n'ai que quelques mots à te dire :
❤C'est Magnifique❤
Que les étoiles guident tes rêves !
PlumA.
J'aime beaucoup la fin positive et belle de ton texte, la note d'espoir.
La vie et l''amour qui sont toujours plus forts que la mort...
Le passé est passé, il n'y a pas à l'oublier, il n'y a qu'à se débrouiller avec le présent et l'avenir. C'est ce que j'essaye de me dire : )
Merci pour ton commentaire, bisou :3