Les yeux humides à force de pleurer,
Au fond de mon lit, recroquevillée,
J'attends que la nuit s'écoule
Et de perles, mes larmes coulent.
Sur mes joues, elles creusent
Le sillon de ma dépendance amoureuse
De ces infinités éternelles,
Qui durent, après nos querelles.
Dans mes yeux, cette douleur
Et dans ma main, ce crayon de couleur
Qui trace les mots de mes peines,
De mes explications vaines
Pourquoi tant de tristesse ?
Pourquoi ai-je cette faiblesse ?
Celle de suivre mon cœur plutôt que ma raison
Et de me laisser submerger par les émotions ?
Je suis si vulnérable
De cet amour incontrôlable
Mais j'ai tellement peur de te perdre
Prends mon coeur, ou je m'effondre...
Là où les mots n'ont plus de sens
Oui, dis-moi que je ressens
Une conséquence de l'amour,
Car celui-ci durera toujours...
Fy
Quelques détails :
— de suivre mon coeur / Prends mon coeur [cœur ; ligature]
— Oui, dis moi que je ressens [dis-moi]
— Car celui ci durera toujours… [celui-ci]
Je suis d'une part d'accord avec le fait que l'amour est sensé être serein et rendre heureux, mais d'une autre part, ce poème prouve qu'il ne l'est pas toujours et qu'une dépendance, aussi enivrante soit-elle peut provoquer blessures et tourments.
Je vais corriger toutes ces coquilles aussi, merci à toi de les avoir repérées, ces vilaines qui se glissent dans mes vers x)
Fy
1. De ces infinités eternelles, (l'accent aigu à éternelles)
2. Pourquoi ais-je cette faiblesse ? (Un s s'est subrepticement collé au verbe avoir)
Ton écriture est vraiment très agréable à lire :)
Je vais m'empresser de corriger ces fautes - J'ai du mal avec les accents ^^ -
Bonne suite ;)
Fy