La société de nos jours
Nous amène à penser contre soi-même.
On nous rappelle toujours
Qu'une action sans argent est vaine,
Que faire comme les autres est normal,
De suivre les mesures données,
Et que se révolter est mal,
Qu'il faut se taire et acquiescer.
On nous prône l'égalité,
La liberté d'expression,
Mais qu'est la liberté sans le droit de penser ?
C'est une idée dépourvue d'émotion.
Multiple est l'illogisme,
Le manque de cohérence,
Et les politiques par leur égocentrisme
Condamnent santé pour garder leurs finances.
Crise a parfois bons aspects
Car fraternité revient au coeur du débat
Il faut l'ouvrir sans avoir de regrets,
Pour changer toutes ces choses qui ne fonctionnent pas.
Fy
Concernant la forme, je préfère la première moitié à la deuxième. Je trouve que la régularité de la longueur des vers rend la lecture plus fluide.
Pour ce qui est des deux parties du poème, c'est en effet marqué car j'ai dû m'y prendre à deux fois pour l'écrire x)
Merci pour ton retour !
Fy