Un son sourd et grondant fait rouler tes larmes éblouissant les yeux des passants.
Certains se posent et munie de leur papier t'ordonne de t'exprimer de refaire la scène qui a ébloui leurs yeux.
Les photographes te mitraillent sans que tu ne puisses faire quoi que ce soit.
Tes larmes ruissellent, mais ils se fichent de ce détail. Tu supplies de les laisser te porter le deuil….
Tes larmes coulent jusqu’à eux, mais les flashes continue, tu étouffes, tu suffoques…
Le vent se lève et l'ange passe lentement au milieu de la tempête qui soulève des papier piquant et acide. Laissant ton cœur noyé dans ce tsunami.
Les écrit noir d'encre coulent dans tes larmes.
Les danseurs viennent à ta source trouver l'Inspiration et toi, tu continues de pleurer.
Personne ne vient te réconforter, le ciel noir d'encre rajoute de la tragédie aux orages que tu as subi, aux intempéries qui ont assiégée ton cœur.
Sang d’encre, froideur, pale, maladive, la tempête t’as vider de toute ta joie, faisant sourire les passants.
Réveillant les poètes, et les écrivains, ton avalanche de tristesse éblouie, titille leur imagination malsaine…
Dame du lac tes larmes assécher, ta fleur meurt sec,
tes visiteurs ton déserte, seul, tu te retrouves, assiéger par le plastique
N’as-tu donc vécus que pour cette infamie ?
Damned, tu as arrêté de pleurer ?
Es-tu donc morte Dame du lac ?
Me pardonneras-tu, d’avoir profité de ta tristesse, de ta perte pour écrire ta souffrance ?
Pour regarder la mort de tes enfants sans lever le petit doigt…
Désoler Dame du Lac