Deuxième partie du parcours

Par kolybri

Arrivé à la tour Montparnasse, point que je connaît mais pas vraiment un repère fiable pour moi je tombe sur un astronaute, vêtu d'un t-shirt rouge et d'un jogging bleu. Je fais la course contre lui dans un long couloir ouvert en sens inverse de la circulation, une course poursuite commence. Je m'arrête au bout de 100m environ et il me rattrappe facilement puis étire ses mollets au feu rouge. Je décide, ayant oublié comment atténuer les contractures que je viens d'avoir, de faire de même. Je l'oberserve de loin en continuant ma marche et en deux trois minutes il se retrouve a 300m devant moi au milieu de la foule, il a dut me voir m'ais continue sur sa lancée. Il est doté d'une super vitesse. Il me met ko, en même temps je marche depuis plusieurs heures déjà peut être trois. Je me souviens de la fnac ou j'avais acheté l'ipad et repense a cet achat datant de l'époque Sorbonne. C'était je trouve un de mes meilleurs investissement à l'époque, le premier ipad mini qu'on avait saigné.

Plus loin un mec assis sur un rebord, cheveux longs de couleure gris marron, un style et des accessoires particuliers, veste marron et pantalon gris je crois m'interpelle et me demande si je fais la fête. Ce à quoi je lui réponds: Pas souvent? Il continue en me demandant si j'ai deux euros pour la bière, ce qui me fais sourire mais je lui réponds comme à mon habitude que non je n'ai rien sur moi. J'aurais pût vérifier quand même mais je le trouve un peu trop engageant à mon gôut pour ne pas être louche. 
Trop de fesses molles dans le coin, c'est à dire que ces femmes marchent beaucoup et ont de jolis boules et les hanches plus ou moins larges du coup.

Putain j'en ai marre d'oublier j'ai essayé de tout écrire d'un coup du coup. Je reprend, deuxième partie. Je continue mon chemin avec différents rues à emprunter puis commence sérieusement à prendre des repères sur les premières cartes que je vois, connaissant peu la zone n'y étant pas allé depuis un moment déjà, j'esquivais cette ville mais cette journée étant spéciale je m'y engoufre sans trop savoir ou je vais car tout les chemins mènent ici. Je prend deux point de repères a chque avancé et les relie pour voir si ma direction est bonne et continuant a marcher vivement au milieu de la foule je trouve qu'il y a beaucoup de japonais et japonaises ce jour la. Petit flou pour moi a cette partie du parcours, quand ça arrive je préfère prevenir. Je finit par trouver une bouche de la ligne 12 dont je ne me souviens plus du nom et après m'être écarté et éloigné d'avantage de mon chemin retour je fais un demi tour et reviens sur mes pas, toujours tout droit a ce moment ça mais les rues penchées m'empèchent de suivre un chemin tout tracé.

Je suis assez étonné de voir tout ce monde un jour de "travail", on trouve des meufs bien sapés, des gars grands, des lents, des rapides, des curieux, des malicieux, des petits des moyens et toutes sorte de description possible. A un moment donné parmis les batiments haussmaniens je m'arrête pour questionner un gars avec un skateboard qui est avec sa petite copine lui demandant depuis combien de temps il en fait. Il me réponds en fouillant un peu dans sa mémoire de manière nonchalente depuis 9 ans environ. Je lui dit que ça fait longtemps que je n'ai pas vu de skateur, que mon petit frère en fait et que moi un peu comme lui je faisais de la ride en l'occurence du bmx: - ah depuis quand pour toi du coup - depuis le lycée soit environ 12, 13 ans mais je ne pratique pas régulièrement - d'acc ok - et tu as ridé aujourd'hui - oui heu du côté republique au skatepark, je le salue et continue mon chemin. Je marche sur le sable d'un parc à ma droite les voitures s'engoufrent, les phares rouges pour le freinage, sous un pont parrallèle et arrive un peu plus loin dans une ruelle ou l'enseigne s'appelle "atwork", un joli message pour moi, et deux fumeuses laisse délicieusement des fumée de cigarettes en discutant, je saute par dessus un petit rebord et ma mère m'appelle me demandant ou je me situe. Je met un peu de temps à trouver les nom de la rue mais finit par lui dire. Elle doit me rappeller dans une heure au cas ou je fais un malaise.

Les "jeunes" sont une centaine devant la fac et tous sont grands de taille, je me sent tout petit à côté et redécouvre ce genre d'attroupement bruyant. Plus loin je tombe sur les halles, citadium etc, je suis une meuf aux fesses extras juteuse, grande, le jean bleu regardant une rebo à travers une devanture, j'hesite à l'aborder mais passe sans mot dire, je suis un grand timide de temps en temps. Un peu plus tôt voulant regarder la direction j'aperçois qu'un mec change juste avant que j'arrive un panneau d'indication, je l'esquive aussitôt regardant dans le vide. Après avoir tournée à droite, fin des halles mais se dresse la gare st lazare ou je passais frequemment avant à l'époque de déliveroo et doutant de la rue à emprunter je me souviens de cette longue descente ou se situe le magasin de jouets la grande récrée.

Les livreurs étaient vraiiiment les plus endurants et rapides dans la capitale. Mes mollets tirent et le début du calvaire commence, tout à la force de ma pensée je tente d'oublier ces débuts de crampes et le devant des tibias qui tire à fond, je croise cette daronne qui va presque aussi vite que moi mais me surpassant finit par elle aussi la tracer. Il fallait que je parle un peu plus dans ma tête. Ces cheveux me rappellent ceux d'Orelsan alors je dit que c'est ce mec Orelsan... J'enlève mon masque de temps à autre. Arrivé enfin au rond point je me dis on y es presuqe encore deux villes a traverser etje pourrait me reposer, je ne me souviens plus trop des visages a part cette punk aux cheveux bleus et cette meuf brune à lunettes a qui je manque de toucher les fesses, j'avais trop envie de tester les fesses molles ce jour là alors je laisse traîner ma main mais ne touche qu'une partie de son vêtement soyeux blanc.

Sans encombre autre que des contractures fortes et persistantes j'arrive sous le pont séparant Clichy et Paris 18ème avec derrière moi à ma gauche l'immense tour bleu ciel en escalier. Je pense a cette vespa dont je parlais les jours précédents avec Timo et pour traverser cette rue, cette fois sans boire de café avec seulement des miel pops, du lait et du pain dans le ventre je sent que mes muscles se façonnent tel un pratiquant de la discipline de Martin fourcade ou Yohann Diniz. Je cherche dans mon répertoire de tête si je trouve une musique pour effacer leurs bruits et c'est encore the river qui me viens en tête, j'en ai totalement marre mais chante quand même lol. Un gars est plus speed que moi il a une veste marron et un jean slim bleu et des jambes fines au mollets contractés, je longe les taxis noirs garés le long du trottoir et arrive sur cette place des martyrs allemands ou je faisais du cajon l'année précédente. j'ai extrèmement soif et m'engage dans ce restaurant terasses blindées et devanture rouge appelé ...

Une meuf ressemblant à mlle T avec cependant un piercing au nez arrive à ma gauche après que j'ai demandé un verre d'eau à une jeune femme du comptoir, cette meuf prend une bière et assoifé j'avale l'eau en quelques secondes. Mon crane tape et ma mère me rapelle pour avoir des nouvelles, ça doit faire environ 5h queje suis dehorsmais je commence à en voir le bout, je lui ferme le clapet quand elle veut me parler des médecins qui sont passés car elle tente de gacher ma sortie, je lui annonce les villes par lesquelles je suis passé et elle me met immédiatement dans la boucle Levallois. Elle bug ma mère, elle me lave la tête à coup de mma de la parole, encore et encore, elle veut me rétrécir, elle dit des banalitées et ment tout le temps sur ces pensées. Je lui dit que j'arrive à Mairie de Clichy et raccroche.

Plus loin au lieu de contourner par la droite je passe devant une meuf au téléphone et tente de faire comme tout le monde en lui indiquant en subli, sous mon masque, qu'elle me suçe, demande que je n'ose jamais faire d'habitude... Elle parle avec sa pote cette meuf au fesses saillantes et molles et pantalon noir en toile. Je la dépasse et tombe sur une embuscade, encore des travaux stupides qui gènent. De toute façon je ne pouvait pas passer par la alors fait demi tour, rebroussant chemin, craignant de me faire saisir par n'importe qui, à ce moment je suis particulièrement en alerte. Elle a tourné dans une résidence cette meuf et je n'ose pas lui demander gentiment de faire l'amour avec moi pour me détendre. Pas grave ça sera encore pour une prochaine fois. Mais je fatigue vraiment. J'en ai marre de les entendre et j'invoque encore une fois les frappes satellitaires dans ma tête. Pile au moment ou j'arrive près du pont de Clichy un gars au scooter mais une musique du sud en très fort, ça me dérange et surement que les vélos devant moi aussi. Ils vont à toute vitesse ces vélos et je me sent bête d'avoir pété le mien. Surement des électriques...

Jene veut vraiment pas craquer dans cette route que j'avais l'habitude de prendre et repense à smile de ping pong the animation en longeant les barrières du pont, au dessus de la seine. Un maxi "basquetteur" marche moins vite que moi aux alentours de Gabriel Péri. Je finit mon trajet sur cette ligne droite ou je parle encore en moi même de tout un tas de trucs et arrive finalement dans ma ville ou les rues me paraissent ternes par rapport à mon début de marche. Je saute par dessus le poteau encadrant la porte de la grille du batiment avec une force démentielle à ce moment, je ne sais pas comment je suis arrivé en haut. J'en ai marre qu'on arrive en même temps que moi et tente de refermer après avoir interphoné la porte derrière moi mais ils me rattrappent à l'ascenceur. Je ne sais même plus si c'est moi qui ait appuyé sur le bouton mais ce mec est géant et ses tatouages débordant de son débardeur sont énormes. Je m'asseoit étant enfin arrivé à mon port d'attache, j'ai à ce moment des contractures fortes et après avoir retiré mon pantalon m'aperçoit que j'ai du perdre beaucoup de graisse, les jambes fines et cuisses molles et sèchent comme les éthiopiens lol. Je prend une douche tiède, l'organe détendu et sort manger une vielle pizza au chorizo. J'ai vraiment faim et il me faut des nutriments. Je boit des sucres rapides me rappellant le cross avec ce lait concentré et beaucoup de jus de raisin pour une raison que j'ignore. Puis met du fromage pourri sur des pâtes, tout est jaune pâle. Mes cloques sont applaties et j'ai finalement fait un trajet en équerre. Va t-il encore y avoir des suçeuses de la nuit? La réponse dans un prochain épisode...

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