On était au bord de la montagne le vide me fessait peur mais ironiquement j avais envie de m’y approcher pour savoir se qu’il y avait de si important pour que que la nature décide de le protéger d’une montagne aussi escarpé que dangereuse a descendre que celle-ci. Malgré ma curiosité qui me ronge, je n ‘ai pu me résoudre a m’approcher d’avantage. Le vent souffler tellement fort comme un ami qui me dit de ne pas plus avancés car un danger m ‘y attend. Je décidais d’écouter cette ami. Le soleil comme rassurer de ma décision de renoncer a découvrir ce qu’il se cache en amont, commença a baisser pour me laisser aux doux soins de la lune. J’aime l’aurore car tout y calme, et a son inverse, le coucher de soleil que j’aime tout autant . Ce soir le ciel était de feu, il me prévenais de pas faire bêtise car il se relèveras demain et verra si j’ai enfreint les règles.
C’était la pleine lune se soir. Sa lumière guida mes pas en me montrant le chemin pour retourné au camps que j’avais établit.
-Qu’est ce que tu fessait ?
-J’admirais le ciel. Je m ‘assis sur un tronc d’arbre autour des flamme dansant sur les bouts de bois en fin de vie.
-Tu vas peut être me trouvé bizarre mais notre monde ne me manque pas et ne m’intéresse plus. Dit mon ami s’allongeant a coter de moi, m’empêchant de replongeait dans mes pensées. La charge mentale n’est pas la même, elle plus partagée ici et je trouve sa agréable.
-Je ne te trouve pas plus bizarre que moi alors, car moi non plus il ne manque pas,
-Et ton copain ?
-Copain ! Dis je sur un ton rieur, avec une tinte de moquerie. Alors c’est le plus pitoyable des copains. Aucune attention, il ne prend pas la peine d’engager la conversations si je ne le fait pas, m’ignore quand sa lui chante, me ment aussi. J’ai beau me dire que se sont des petits mensonge, je n’arrive pas a me sortir de la tête que si il me ment sur des futilité alors il me mentira sur tout. Puis tu parle d’un copain on a beau vivre ensemble, je ne peux plus lui parler, des qu’on a des points de vues différents, il se vexe et ne me parle plus ou froidement et il me répète qu’il mérite mieux que moi, franchement je suis mieux ici. Je ne souhaitait qu’une seule chose partir loin de tout et ce phénomène a exauces mon vœu, que demander de plus
-nos amis, nos famille ? Sa vas tant mal que sa dans ta vie. Tu m’as parler de tout et n’importe quoi mais pas de sa.
Dans le bonheur d’avoir trouver un coin calme et loin de tout mes problème, je n y avais pas pensée et un liens me seras cœur me serra
-Si on part du principe que j’ai un job, un toit, des amis, de la famille et de quoi mangeais alors oui je suis heureuse. Pourtant je n’arrive pas a me réjouir de ce que j’ai. Alors pour tout te dire non je ne le suis pas la bas, je me sent enferme, mais ici c’est différent, c’est comme si ce monde m’avait ouvert ses bras
-Fait attention que quand ce monde les referme se ne sont pas des pièges.
-J’ai envie d’y croire
-Comme croire que je suis encore en vie ? Tu parle seule. Encore !
-S’il te plaît tait toi… . Cette phrase n’était pas tant pour lui mais pour moi, pour mes pensées. Je suis tellement désoler de ne avoir réussit a te sauver dans notre monde, si j’avais su… Si j’av- mes sanglot me coupas la parole, ils avaient peur que je dise tout haut ce qui tourne dans ma tête.
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notez que cce texte se passe dans un monde immaginaire.
ce texte n’est pas fait pour être logique, mes émotions changeait en fonction de ma playlist aléatoire, je n’est pas réfléchis,, il m’as seulement servit d’échappatoire, aux sentiments accumulé, j ai en magasiné des émotions sans savoir quoi en faire. Évidemment le personnage de l’ami n’existe pas j’avais seulement besoins d’un interlocuteur, qui me dit oui mais moi je- (C’est peut être égoïste mais pour une fois je vais l’être). Vous pouvez toujours donnez votre avis sans etre méchant en étant constructif sur le texte.