Je me trouvais a coter de la piscine naturel que la montagne nous offrais, nous étions au printemps, l’eau que les pierres avait gardé glacial contraster parfaitement avec le temps qui c’était vite réchauffé fessant fondre la neige. Je parlais a deux de mes amies en attendant les autres, ils étaient encore en cour. Nous n’étions pas dans la même classe certain était en premier et d’autre en terminal comme nous. j’ai su que les autres était arrivé quand je me suis senti basculé dans la piscine, l’eau glaciale, m’obligea a crispé mon corps pour qu’il s’habitue au froid. Je nagea jusqu’au bord et demanda de l’aide a celui qui a eu l’excellente idée de me faire prendre mon bain a l’avance.
-Allé aide moi s’il te plaît Théo ! Dis-je avec l’air le plus innocent dont j’étais capable, je m’appuya sur une pierre pour que le mensonge que j’allais lui dire ai l’air plus crédible. Je n’ai pas pied s’il te plaît
-Tu croit que je vais me laisser avoir. Dit Théo avec un air arrogant
-Je suis pas sur que ta mère soit contente d’apprendre que tu m’est laisse dans le besoins
-le besoins ? Carrément ? Aller sort de la
Je fis un essaie que je fessait exprès de raté
-Allllléééé aide moi ! Malgré mes supplications il ne bougea pas, tout comme son sourire satisfait.
Ok alors je vais demander a Enzo. Son sourire s’effaça et il se mit a soufflée
-Pourquoi souffle tu lorsque je demande de l’aide a quelqu’un d’autre pour une situations dans laquelle tu m’as mise ? Tu veux que je reste dans l’eau glacial ?
-Pas si glaciale que sa puisque tu n’est toujours pas remonté. Dit-il sur un ton moqueur
-ENNZO !! cri ai je le plus fort possible. J’ai besoins de toi s’il te plaît
Enzo n’as pas eu le temps de demander quel était le problèmes que Théo s’était rapproché et penché pour m’aider. Je pris cette occasion pour lui rendre sa gentille attention d’avoir voulus me rafraîchir. Je pris de l’élan pour me stabiliser sur un bras. De l’autre mains j’attrapais le pogné de Théo et l’entraîna vers moi en replongeant en même temps pour me servie de mon poids et de l’élan comme balancier pour être sur qu’il tombe a l’eau. Lorsque je sentie sont poids basculer, je le lâcha et le laissa finir de tombé. Ne lui laissant pas le temps de remonter a la surface et de reprendre son air, je me précipitas vers les bords pour m’enfuir avant qu’il est l’idée de me noyée. Après m’être extirpé de la piscine je courus quelques mètre puis éclate de rire.