Elliot et Absynthe étaient assis sur un des canapés du salon d’essayage privé de la boutique. Une jeune femme, qui n’était autre qu’ Ambre, la vendeuse, était en train d’essayer des tenues et venait défiler devant eux. La dominatrice donnant son avis sur les nouvelles créations et commandes faites au styliste, chacun avait un verre d’alcool à la main. Un hydromel pour la demoiselle et un brandy pour Luciole. Tel était le surnom donner par le groupe à Elliot. En vérité, c’était souvent Charlotte qui trouvait les surnoms les plus intéressants. Elle était douée pour ça.
- Alors Luciole ? C’est que maintenant que l’on se voit ? Tu allais me le dire quand que tu t’étais marié ? Je rencontre tes beaux-parents quand ? Une moue coquine ponctua ses dires alors qu’ Elliot entra la tête dans ses épaules.
- Comment tu sais ? Equinoxe t’en a parlé ?
- Bien sur que non… Tu oublies que je suis le Dieu du Sexe ? Je sais tout, avant tout le monde. C’est ma chatte qui me l’a dit.
Elliot éclata de rire tellement soudainement qu’il cracha sa gorgée devant lui.
- Hmm, j’aime quand tu craches comme une bonne petite chienne…
- Mais je ne suis pas un soumis, moi !? s’écria-t-il rouge de honte.
- Certainement… Mais laisse-moi m’amusait à te taquiner de temps en temps… Non, sans rire, vu l’état d’ Equinoxe quand je lui ai dit que je venais te voir… Je me suis douté que tu avais encore fait… Une plaisanterie. Habituellement, elle réagit bien même si tu lui fais peur. Mais là… Tu l’as véritablement choqué. Pas en mal, hein, ne t’inquiète pas.
- J’espère… Mais ça n’explique toujours pas comment tu sais pour la robe.
- Bah un jour on a bu, et on parlait de nos trips rien que tous les deux. Tu en es venu à mentionner qu’un jour tu te marierais avec du latex.
- Ah…