Dans tes prunelles nébuleuses
Lorsque le ciel s’éteint
Et quand de mes mains
J’étreins tes paumes pieuses
Il pleut.
Alors j’avance à tâton
À travers les saisons
Je me rend vers ton coeur
J’y vois trop de labeurs
Il pleut.
Je me démène dans l’ether
J’entends tes appels
Je me retrouve à terre
La boue balaye mes ailes
Il pleut.