Je croise ton regard dès que je m’endors,
Dans mes pensées, mes peurs sont d’or,
Les gros acérés, tu défis ma raison,
Et ta présence devient un poison,
J’ai peur.
Les idées s’échappent en boucle,
Et cachée sous une voute,
Cruelle, tu es inévitable,
Pourtant tes mots sont affables.