Lorsque je suis arrivé au lycée Paul Éluard, une de mes premières préoccupations fut de savoir ce qu’il en était au plan surnaturel. En effet, après quatre années de collège passées en compagnie d’un fantôme avec qui je m’étais lié d’amitié – une jeune fille qui n’acceptait pas sa mort prématurée, due à une mauvaise chute dans les escaliers, et tuait le temps à déconcentrer les élèves, tous incapables de la remarquer – je me languissais de connaître cette facette du nouveau chapitre de ma vie.
Voici où me menèrent mes rencontres avec les esprits hantant les couloirs scolaires.