Parmi les tristes évènements de ma journée, il y a celui de penser à toi, encore et toujours. Ma première pensée le matin quand j'ouvre les yeux est déjà pour toi. C'est affreux, la journée n'a même pas démarré que tu es déjà là. Dans le froid glaçant comme dans la chaleur écrasante, je pense encore à toi. Dans les transports, au milieu de la foule, dans les soirées, au milieu des rires aux éclats, je pense toujours à toi. J'oscille dans un monde à deux vitesses, il y a la leur, et puis il y a la tienne. Tu es à peine parti que tu me manques déjà. Tu es toujours là que tu me manques encore. Il n'y a aucune pause, jamais. Il n'y a que le temps qui passe et que je ne rattraperai pas. Je me demande parfois, sur une journée, combien d'heures je passe à penser à toi. Je sombre dans une certaine folie, qui me consume petit à petit, et dont les braises sont faites des pensées que j'ai pour toi.
"Il n'y a aucune pause, jamais. Il n'y a que le temps qui passe et que je ne rattraperai pas." Petite suggestion : peut-être réutiliser le terme jamais pour la fin de phrase pour faire un clin d'oeil à la phrase d'avant.
En tout cas une très belle écriture.
merci de les avoirs partagé avec nous.
C'est comme un hommage à toute les femmes qui on pensé tes mots et toi tu les à écrit.
Amélie :)