Je préfère au Constance, à l'opium, aux nuits, L'élixir de ta bouche où l'amour se pavane Baudelaire

Par LMW

Ma respiration saccadée contre ton oreille, je humerais le fragile parfum de ta nuque. Tes côtes sentiront la sinueuse descente de mes doigts. Ta peau frissonnera de l’absence de tissu. Je redessinerais les lignes de ton torse, les veines de tes poignets... Je tremblerais sous le poids du désir et agripperais tes épaules. Mes ongles étreindront ta chair. Je gémirais de ma voix enrouée. Nos lèvres s’effleureront timidement… puis entrouvriront leurs pétales. Nos langues danseront sur le tempo de notre ivresse... Et c’est dans un vertige sans nom que je plongerais sur ton corps.

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