Ton regard (octosyllabique) (à J.)
Sous mes yeux, le beau feu se cache,
Silence dur, que rien n'attache.
Je marche seul, sans un reproche,
Gardant la souffrance à la poche.
Je porte en moi mille blessures,
Des ombres lourdes sans murmures.
Mais pour toi je porte un espoir :
Ta beauté, tapis dans le noir.
Je vois, la nuit qui le retient,
Je sens, qu'elle m'offre son bien.
Je vois, que l'espoir peut renaître,
Je sens, que l'ombre enfuie peut paître.
Je tiens pour toi quand tout se brise,
Quand l'ombre pousse et qu'elle attise.
Je tombe bas, sans trop de bruit,
Mais je me lève encor pour lui.
Je garde en moi ce feu discret,
Qui ne s’éteint quand tout se tait.
Même perdu dans les décombres,
Je trace un pas parmi les ombres.
Je vois, tes forces en silence,
Je sens, ton cœur battre en l'absence.
Je vois, tes rêves trop brisés,
Je sens, ton vieux souffle épuisé.
Je serre en moi ce qui te reste,
Mots tombés, images modeste.
Ton souvenir tient mes éclats,
Comme un rempart contre tout ça.
Si tu n'a plus force, j'emprenne,
Ta vie, et j'en ferai la mienne,
Je resterais, toujours pour toi,
Comme une règle, une loi,
Toi, J*** (receuille) (3 poèmes)
J'peux plus (octosyllabique) (quadracte) (à J.)
J'peux plus, le vivre, plus pensser,
Tant de pression, tant de soufrances,
J'peux plus, les aider, pour m'aimer,
Leur soufrances, c'est mon enfance,
J'peux plus, quand j'me met à pleurer,
J'en peux plus, de leur nombreux yeux,
J'peux plus, encor, m'en rappeler,
Je l'est plus, en moi, ce beau feux,
J'peux plus, je vous di, de m'aimer,
J'ai plus tout ça, c'est mes envies,
J'peux plus, aider, suis découpé,
Je ne veux plus, de cette vie,
J'peux plus, me détruire ; sauvé,
Quand au fond, je ne suis plus rien,
J'peux plus, de tout ça, m'occuper,
Quand je ne suis même plus bien,
J'ai plus, la force d'être là,
Si vous savez, comment je suis,
J'ai plus, ce bon coeur par là bas,
Si vous comprenez, que je fuis,
J'ai plus, l'envie, suis comme ça,
Si vous voyez, mon si grand puit,
J'ai plus, le coeur pour les bourras,
Si vous penser, tel moi la nuit,
J'ai plus, cette âme sans tracas,
Si vous entendez, son qui suit,
J'ai plus, ma tête pour tout ça,
Si vous savez, comment je suis,
J'ai plus, mon passé de combat,
Si vous espérer, cette pluie,
J'ai plus, la volonté du pas,
Si vous savez, celui que j'suis,
Désolé, désolé, j'peux plus,
Mais merci, merci J****
De m'avoir rappeler, qui j'fut,
Cette voix, loin de ces fade.
J'ten prix (octosyllabique) (à J.)
J'ten prix, meme si la vie tache,
Que ta l'impression que tout lâche,
J'ten prix, bat toi encor un peu,
Ce serait le plus beau des veux
J'ten prix, ne le fait pas si cache,
Attend, que tout ça se rattache,
J'ten prix, croix encor en ton feu,
Attend, encor, un rien, un peu,
J'ten prix, ta encor des attaches,
Je ne peux, meme si tu fâche,
J'ten prix, fait le, au moins pour eux,
Attend, que tu perd tout ses neux
J'ten prix, ne sois pas aussi trache,
Attend, meme si tout rechache,
J'ten prix, je te di que tu peux,
Je le di, le jour sera mieux,
Je regrette (octosyllabique) (à J.)
Tu est venu, sans dire un mot,
En portant, ce si lour fardeaux,
Qui m'était, pourtant méconnu,
Que tu portait, sans l'avoir su,
Je t'est pas vu, juste reflet,
De cette personne, oublier,
Sans te voire, toi, ton vrai fond,
Un regard, un coeur si profond,
Je regrette, de pas avoir,
Vu, cette voix aure miroir,
Était, celui qui te fallait,
Celui qui t'aurais juste aider,
C'est pas ta faute, mais la mienne,
Je le di, mes paroles tiennent,
Plus ton problème, mais le nôtre,
De ça, j'en serais ton apôtres,
Me demande pas le pourquoi,
C'est juste parsque tu estt toi,
Que je ne t'abonerais plus,
Tu renaîtra comme tu fut,
Les mots ne rachete pas le temps,
Mais je ferais de ta vie un beau présent.
"Un garçon, qui ta pas aider,
Car qui sais perdu dans ton reflet"
Je compte sur toi pour une relecture car c'est prometteur avec le mélange du style libre et des rimes !