La dernière chose que Gally vit, c'est un couloir blanc qui menait à un ascenseur. Des hommes portant un uniforme vert s'avançaient vers l'ascenseur et y posaient des corps inconsients d'adolescents. Lui aussi sombra bientôt dans l'inconsience.
*
Newt ouvrit les yeux.
Il était allongé dans une boîte carrée avec comme seule source de lumière la faible lampe accrochée à la paroi. Newt. Il s'apellait Newt. C'était...la seule chose dont il se rappelait.
Très vite, il se leva, examina l'étrange boîte dans lequel il était. C'est à ce moment là que celle-ci décida de bouger. Elle monta dans des crissements métaliques horribles. Il en avait mal aux oreilles. Elle montait de plus en plus vite. Arrivé en haut, il y eut un choc sourd et la machine s'arrêta. Des sortes de portes s'ouvrirent et il vit enfin la lumière. Il sortit de la boîte avec prudence et regarda autour de lui. Il était dans le plus curieux des endroits. Une plaine d'herbe. Plus loin une forêt. Et tout ça entouré de...de...d'un labyrinthe de métal géant. Il n'y avait ni pluie, ni vent, ni rien. Comme si le climat était artificiel. Très vite quatre adolescents le regeoignirent en courant. Ils étaient amés de bâtons quils avaient du trouver dans la forêt. Un garçon massif s'avança vers lui. Il était de peau noire et son regard était tout sauf calme. Il baissa son bâton. Les autres l'imitèrent.
- Qui es-tu ? demanda ce garçon
- Je m'appelle Newt.
- Mais encore ?
- Ce...c'est la seule chose dont je me souviens.
La mine agressive du garçon se changea en un visage plus apaisé.
- Très bien, dit-il. Je m'appelle Alby. Voici Winston, Minho et Gally. Bienvenue au bloc, vieux.
Newt regarda autour de lui. Partout des murs de métal. Il était enfermé avec ces types. Newt examina chacun des adolescents. Ils n'avaient même pas l'air majeurs. Enfin, pour certains. La colère bouillonnait en lui. il ne savait pas pourquoi, mais il détestait cet endroit. Oui. Il le détestait. Il fallait qu'il trouve un moyen de sortir d'ici. À tout prix. Son regard s'arrêta sur le premier : Grand, blond, bien taillé. Puis sur le deuxième : Asiatique, grand, air comique. Et le troisième : yeux bleus, blond. Son regard revint sur Alby, et il laissa son flux d'émotions s'échapper. il se mit à rire.
- C'est quoi ce merdier ? dit Newt en rigolant. C'est une blague ? bon vous êtes vraiment cools les gars mais je crois que je vais retourner dans la boîte bizarre et faire marche arrière.
- Je ne ferais pas ça si j'étais toi, déclara Gally avec un rictus. Tu risques de te faire empaler. Comme l'autre con qui a essayé il y a un mois. c'était quoi son nom déjà ?
Minho s'avança vers newt et lui dit :
- Ne t'en fais pas pour Gally. Il se croit suppérieur parce qu'il s'est fait piquer et qu'il a retrouvé une partie de sa mémoire. Allez, amène toi, tu dis être affamé, dit-il en s'éloignant.
Newt les suivit. Ils ne comprenaient pas. À croire qu'ils prennent ça pour un jeu ! ils étaient entourés d'une forteresse de métal et ils faisaient comme si tout allait bien ! Newt commença à penser qu'ils avaient perdu la tête. Ils ne comprenaient pas...ils étaient limite joyeux d'être ici...Mais Newt savait...Lui aussi avait une bribe de sa mémoire sans avoir été "piqué" ou quelque chose comme ça. Lui savait. Newt savait qu'il était destiné à mourrir.
Il détestait cet endroit. Il le détestait...
Très bon début, bien écrit, ça donne envie de lire la suite! Les dialogues sont hyper fluides, ça nous plonge bien dans la scène, et j'aime bien l'enchaînement de phrases courtes aussi qui donne une dynamique intéressante au récit!
J'ai essayé de reproduire au mieux la manière d'écrire de James Dashner, et les phrases courtes, ainsi que les chapitres courts, sont ses spécialités X)
Belle mise en contexte surtout que le début semble être fidèle à ce qu'a instauré James Dashner. Je n'ai pas trop de remarques constructives à dire ou à te faire remarquer sur le texte lui-même. Comme tu sais mon point fort c'est plutôt corriger tes fautes de français…
Donc, pour tes fautes, je tiens à dire qu'elles sont/étaient moins nombreuses que dans Plongés dans la nuit, là il y a beaucoup de majuscules omises et quelques coquilles du même genre.
C'est super frustrant de voir des fautes et de ne pas pouvoir les corriger directement (aucune pression…) Et comme j'ai pour une fois dans ma vie du temps libre, je peux te les corriger.
"s'avançaient et y posaient[…]" l'accord doit être fait avec l'ascenseur, non ? ^^'
"quils avaient trouvés […]" omission de l'apostrophe.
"il ne savait pas pourquoi[…]" omission de la majuscule.
"Il se mit à rire." même chose.
"Bon vous êtes vraiment cool[…]" même chose.
"C'était quoi son nom déjà" même chose.
"À croire qu'ils prennent ça pour un jeu" moi perso j'aurais mis le verbe à l'imparfait, pour la cohésion des temps.
"ils étaient limite joyeux d'être ici !" Omission de majuscule
"Mourrir" ça c'est une faute que beaucoup font d'instinct, mais l y a un seul r à mourir.
"amés" armés ^^' (oui j'ai regardé le commentaire en dessous et j'assume XD)
Contente de savoir que ton professeur de mathématiques lâche du leste ^^
Je vais m'empresser de corriger ces fautes. Je pense que les omissions de majuscules sont nombreuses car je n'étais pas encore sur un bon logiciel de traitement de texte lorsque je l'ai commencé et je déteste me relire.
Encore merci pour ton investissement dans ce que j'écris. J'espère pouvoir te rendre la pareille un jour.