La chute

Notes de l’auteur : Ce chapitre sort longtemps après il l’a fallut du temps pour le préparer donc j’espère que vous ne serez pas déçus.

 

Elle continua de me dévisager un instant avant d’hurler de rage et de me frapper à l’estomac . Je me pliai en deux de douleur avant de dans un spasme rendre un jet de bile acide qui me brûla la gorge. Je m’essuyai le menton du revers de la manche et haletant je reculai d’un pas. Elle se tourna vers Sam avant de l’attraper par le collet de le plaquer contre le murs. Elle le tond d’une mains et de l’autre sortit un couteau à la lame courbé et de le plaquer contre sa gorge. Elle lui dit d’une voix menaçante :

-Pour la dernière fois, donne moi le collier contenant l’esprit du noble sanglant. Sinon je te le prendrai de force mais tu risque de ne pas aimer… et j’aimerai si possible éviter les meurtres inutiles, car contrairement à ce que tu sembles croire je ne le fais pas par plaisir ou pour dominer le monde.  Donc s’il te plaît donne le moi, j’ai pas envie de saloper ma cape et mon gilet avec ton sang alors répond. Pour toute réponse, il lui cracha au visage. Je commençais à peine à me remettre du coup de la femme dont je ne connaissais toujours pas le nom. Elle lui cracha au visage à son tour et dit sur un ton glaçant.

- Ça me désole je tu choisisse de souffrir mais si c’est ce que tu veux, plan B. Elle approcha sa lame de la gorge de Sam quand Alice dit :

- Attend ! C’est bon, prend le mais lache le. Elle relâcha Sam avant de lui faire perdre conscience en lui frappant la nuque. Il s’écroula lourdement. Elle s’approcha de Alice non sans me jeter un regard froid. Elle avait l’air sérieusement contrarié de me voir. Elle demanda à Alice :

- Le collier… elle tendit la mains. Alice hésita un instant avant de luir fourrer dans les mains. Sans un mot, la femme le glissa sous sa cape. Elle tourna les talons avant-dernier repartir.

- Aïda, demanda Alice, tu es bien conscient que l’ont ne te laissera pas ouvrir un portail vers Dlaxiglax. L’interéssée s’arrêta un instant et dit :

- Je sais, mais j’ai toujours eu un coup d’avance sur vous et il n’y à pas de raison que ça change. Sur ce, elle sortit. Alice ne bougea pas pendant une minute oú deux avant de se ruée sur Sam et de le secouer :

- Sam, réveille-toi ! Faut qu’on bouge de là ! Elle se tourna  moi et me dis :

- Toi, Tom, je ne sais plus, le temps que Sam reprenne conscience emprunte cette porte et ramène trois épées, trois couteaux un arc, des flèches et de la nourriture. Voyant que je ne bougeais pas elle insista : “vite !” Comme la panique se lisait dans sa voix j’obéis. Je me ruai vers la porte et entra. J’appuyai sur l’interrupteur et la lumière clignota avant de s’allumer. Je dévoueriez une pièce où était entreposé des épées, des lances mais pas d’armes à feu. Étrange. Je pris trois épées déjà rangé dans leurs fourreau ainsi que trois couteaux rangés eux aussi dans leurs gaine, un arc et un carquois de flèches avant  de trouver un sac et de tasser dedans le plus de vivres possibles. Je revins au pas de course les bras chargé de mon fardeau. Sam s’était réveillé. Il me prit des mains une épée et deux couteaux. Alice prit un épée et l’arc. Elle me dit :

- Garde le couteau et la dernière épée. Donne à Sam le sac de vivre. Mon carquois va me gêner pour le porter et toi t’es pas entraîner et t’a pas l’air au meilleur de ta forme. J’observai Sam passer sa ceinture qui tenait l’épée autour de sa taille et l’imita. Je rangeai le couteau dans ma poche. Il me dit :

- Suis-nous. Et il partirent comme des fusées. Alice dit à Sam :

- Ont doit se tirer, elle va certainement pas tarder àce rendre compte que je lui ai pas donné le bon collier. Cette garce ! Elle prit la voix de Aïda, “j’ai toujours un coup d’avance sur vous”  Laisse moi rire. Une voix féminine retentit et clama :

- Laissez-Moi rire ? Enfin Alice, tu ne pensais tout de même pas me tromper ainsi. Elle sortit de l’ombre sa capuche déchiré et sa cape toujours sur les épaules, je distinguai un gilet blanc en dessous qui faisait réellement contraste avec le reste de ses vêtements plutôt sombre. Elle continua : je ne veux pas vous tuez, bien que vous deveniez gênants. Elle se passa la manida,s les cheveux pour les écarter de l’œil qui était caché. Cela révèla un œil violet. Il me fallut un instant pour que je comprenne. Elle avait un œil brun-dorée mais l’autre violet. Je reculai d’un pas. Elle me regarda et me dit, un sourire triste aux lèvres :

- Je suis hideuse, je sais. C’est ce qui m’a valu l’abandon de mes parents… et ma chute dans Dlaxiglax. Enfin bref,elle tendit la main, si vous me donnez le collier, le vrais cette fois,  et que vous promettez de ne plus m’importuner en tentant de m’empêcher de  causer le Choc. Faites-vous oublier et, vous aurai la vie sauve. Alice regarda Sam d’un regard interrogateur et il lui fit  quelques signes de la main. Un langage des signes. Elle hocha la tête sortit le collier et s’avança. Elle s’approcha à environ un mètre de Aïda et lui tendit le collier. Au moment où celle-ci tendait la main pour l’attraper une dague parut apparaître dans la mains de Alice, son bras partit au même moment vers la gorge de Aïda tandis que de l’autre elle rangeait le collier. Aïda, ne semblant pas surprise sortit son couteau à la lame coubé à une vitesse surhumaine et dévia le coup avant de frapper le visage d’Alice de la paume de la main. Le nez d’Alice se brisa dans un craquement. Elle recula d’un pas en s’essuyant du revers de la manche le sang qui coulait de son nez. Aïda soupira :

- Malheureusement, ça ne surprend pas, je vous sais obstiné tous les deux. En fait, j’admire votre ténacité mais à ce niveau là c’est plus de la stupidité qu’autre choses. Je vous ai laissé une chance et vous l’avez rejetés, je risque de ne plus dormir pendant quelques temps mais trois cadavres de plus ou de moins sur la conscience ou j’en suis ça ne fait plus de différence. J’ai malheureusement atteint un point de non-retour. C’est ce qui arrive quand on tombe en Dlaxiglax. Elle soupira, mais, rien ne peut retirer ma culpabilité. Je choisis de prendre la parole :

- Si tu culpabilises, pourquoi fais-tu ça ? Elle m’observa quelques instant avant de répondre :

- Je ne vois pas pourquoi je te répond, peut-être que ça arrange ma conscience, pourquoi ? J’ai chuté en Dlaxiglax à dix ans. Les démons m’ont montrés notre monde, il est pourrit par la race humaine, elle est consciente de l’état de nôtre planète, mais, s’en moque, fait l’autruche « je ne vois rien, je n’entend rien », tout ce qui compte pour eux c’est le pouvoir, l’argent, il lui en faut toujours plus, quitte à marcher sur ses semblables pour l’acquérir. C’est la triste réalité de notre monde. En déclenchant le Choc, toute l.humainité sera anéantis en l’espace de vingt-cinq heures. Y compris le déclencheur, si le prix à payer pour débarrasser notre monde de sa merde et de mourir et d’éradiquer mes semblables alors soit, même si ça me répugne, satisfait ? Je demandai :

- Si ça te répugne, pourquoi ? Elle répondit tristement :

- Je fais ça pour un mode meilleur, et pour ça je ne reculerai devant rien ni personne, même si cela doit me détruire . Sur ce elle leva son poignard à la lame courbé dont je venai de me remémorer le nom : un kukri et au lieu de comme je m’y attendais se ruer sur nous elle s’entaillant la paume la lame de son kukri laissant une fine ligne rouge dans son sillage. Le sang goutta, rouge, j’eu soudain un mauvais pressentiment confirmé un instant plus tard : au moment où le sang de Aïda touchait le sol un cercle aux étranges inscriptions apparut juste à côté d’elle dans une lumière blanche. Un immense fracas retentit alors, un crissements comme si un train déraillait. Aïda pronoça quelque chose que je ne compris pas dans l’assourdissant crissement. Je sentis le sol se dérober sous mes pieds et hurlai de terreur en chutant encore et encore dans une obscurité totale. Je ne distinguais même pas Sam et Aliceque j’entendais hurler à mes côtés. J’atterris lourdement qsur le sol qui apparu sous moi et qui pour je ne sais quelles raisons amortis ma chute. C’était un sol couleur rouille, non, un sol en rouille. Je me relevai et balayai mes alentours du regard, je répérai Sam et Alice qui se relevaient non-loin de la. Je les rejoins et demandai :

- Où sommes-nous ? Sam me dit :

- En Uavys, dimension de ma rouille. Je demandai :

- Attendez ! Comment je sors de là moi ? Je ne veut pas être embarqué dans cette histoire, je ne comprends pas grand-chose de ce qu’il ce passe et je pense être dans un cauchemar dont je ne me suis pas éveillé ! Je me calma et repris plus calmement : « enfin, quoi qu’il en soit, je veux juste retourner à une vie normal… Sam soupira et dit :

- On est tous passer par là, ce moment où l’ont ne comprend rien et où ont se perd en quelques sorte, toutefois, même si je sais que tu ne comprend pas cette histoire, il est important que tu saches une chose, à présent que Aïda t’a rencontré, elle sait que tu sais et elle ne reculera devant rien pour te voir mort, en fait, Aïda est un monstre, un monstre au niveau moral, car physiquement, elle est une humaine. Je l’observai et distinguai un éclat de haine dans son regard. Je lui demandai :

- Elle avait pourtant l’air de détester profondément ce qu’elle faisait. Je crois qu’elle se déteste elle-même. Sam me dit durement :

- Elle déteste ce qu’elle fait mais est ce que ça excuse ses actes pour autant ? J’ai appris en plus de sa propre bouche qu’elle était profondément misanthrope. Je ne répondais rien cette fois mais au fond de moi je la comprenais, les humains sont pourries jusqu’à la moelle, je suis pourrie jusqu’à la moelle. Mais de là à vouloir éradiquer l’humanité ? Une question me vins alors à l’esprit :

- Mais au fait c’est quoi ce qu’elle évoquait « le Choc » ? Sam me répondit :

- Pour que tu comprennes il faudrai que je t’explique comment notre univers est construit, mais ça risque de prendre pas mal de temps, je t’explique ? Je répondis :

- J’ai tout mon temps… il commença ´

- Par quoi commencer ? Je vais essayer de simplifier pour le moment, notre univers et au centre d’un vide que l’on appelle l’abime, si tu y tombe, c’est finit, tu tombera indéfiniment et ton existence sera effacé de toute les mémoire et notre univers et les autres chutent très lentement dans cette abimes, il y’a de cela treize virgules cinq milliard d’années notre univers s’est formé, ça c’est ce que les scientifiques pensent, en vérité, il s’est effectivement formé il y’a treize virgule cinq milliards d’années mais ce que les scientifiques ignore c’est que il appartenait à un autre univers déjà formé et l’ont aurai plutôt put parler de grande galaxie, mais, suite à un malheureux hasard une comète de trois fois la taille de notre univers l’a percuté et l’a arraché à l’autre univers que l’ont nomment d’ailleurs le Grand Univers, elle est tombé dans l’abîme en ce scindant en neuf partie qui séparés par l’abime ont chutés. Tous leurs habitant ont été oubliés par ceux du Grand Univers. La gravités les à fait tournoyer les uns autours des autre. Notre fragment d’univers est situés au centre et les huit autres lui tourne autours, ont appelle ça les dimensions. Elles sont : Dlaxiglax, la terre désolé qui avait besoin du Grand Univers pour emprunter le bon chemin, ces habitants ont très vite virés à la folie et se sont transformés en échos d’eux-mêmes, les démons. Il y a ensuite Nebulax, si ont peut accéder à Dlaxiglax et les autres via des passages que l’ont peut ouvrir appelés vortex ont ne peut accéder à celle-là que quand quelqu’un choisis volontairement d’y plonger ton esprit, Avant la Collision cette dimension était continuellement inondée par les étoiles mères, les plus puissantes étoiles du Grand Univers, celle qui produisait le plus de lumière, cette dimension avait la réputation d’empêcher les habitants du Grand Univers de faire des cauchemards, ont ne sais pas ce qui est advenus des rêves des habitants du grand univers après la disparition de Nébulax. Après la chute, Nébulax à été privé de lumière et plongé dans les  ténèbres. Des êtres malfaisant en ont profité pour l’envahir et massacrer les maîtres de l’inconscient, les habitants de cette dimensions, dans le noir, avant même qu’ils ne comprennent ce qui leurs arrivaient. En temps normal les envahisseurs se seraient fait repousser sans problème mais dans le noir, les maîtres de l’inconscient était impuissant, privé de leurs puissance, ils ne pouvaient qu’attendre leurs fin, le sang à beaucoup coulés ce jour là. Nous sommes à… ils s’interrompît et semblait écouter attentivement. Je l’imitais et entendis des bruits de sabots heurtant le sol, des cliquetis d’armure et des grognement et halètement. Alice cria :

- Des Rouilleurs ! Courez !

Vous devez être connecté pour laisser un commentaire.
Vous lisez