J’obéis sans réfléchir et partit comme une flèche à la suite de Sam et Alice, j’avais l’instinct que si cette chose que je n’avais même pas vu m’attrapait, et bien… disons que j’avais la sensation que ça allait mal se passer. Mon épée, bien que pesant seulement un virgule huit kilos m’alourdissait tout de même me ralentissant permettant à mes poursuivants de se rapprocher de moi petit à petit. Voyant que je ne parvenais pas à les suivres Alice et Sam ralentirent pour rester à ma hauteur Sam cria :
-Ils savent que nous sommes là ! Magne toi ! J’haletai, les poumons en feu. Entre deux respirations saccadées je répondis :
- Peux…pas…épée…me ralentit…il continuai à mon allure. J’entendai les bruits se rapprocher de nous, des fourrés craquer sous des sabots, des cliquetis d’acier et des grognements et halètements de chiens. Nous entrâmes dans un canyon au pas de course, nos poursuivants toujours sur nos talons. Je jetai un regard en arrière afin de les observer à présent qu’il n’étais plus dissimulés par les arbres : cinq cavaliers, portant des armures couvertes de rouille, leurs heaumes cachaient leurs visages. Ils étaient montés sur de grands chevaux marron, portant quelques plaques de métal corrisé qui devait être destiné à les protéger. À leurs côtés, dès chiens aux pelages noirs mais pas des chiens domestiques comme ceux que je connaissais, non non, d’imposant molosses aux crocs acérés, il était destiné à la traque de gibiers, et cette fois, ce n’était pas un animal le gibier, c’était nous. J’avais de plus en plus de mal à maintenir mon allure. Le souffle me manquait et je décèlerai petit à petit, à bout de souffle. Sam ralentit à son tort et me cria :
- Accéléres, si ils te rattrapent c’est finis !Je répondis :
- On pourra pas leurs échapper, ils ont des chiens ! Sam me répondit :
- Ont doit pouvoir les semer ! Je remarquai qu’il haletait lui aussi. Je répondis :
- Tout ce qu’ont va faire c’est s’épuiser, ils vont plus vite que nous et nous rattraperons tôt ou tard, il faut se battre ! Ont est équipés pour ça non ? Sam semblait réfléchir avant d’ordonner :
- Ont continues ! Je protestai :
- C’est la pire des idées ! Son visage se durcit et il m’hurla :
- La ferme ! Encore un mot de ta part et je te fais tomber et te laisse là pour les ralentir ! Il accéléra un peu pour passer devant moi. Je glissai sur un caillou qui roula sous mes pieds avant de basculer en avant me rattraper à un rocher sur ma droite et de repartir. Tout ça me pris plusieurs précieuses secondes qui permirent à nos poursuivants de se rapprocher de moi. Je tentai de forcer le rythme sans succès, je jetai un coup d’œil derrière moi : ils étaient à moins d’une dizaine de mètre et gagnaient du terrains à chaque s secondes qui s’écoulait. Trop occupé à regarder derrière moi, je rentra dans Sam brutalement. Je m’écroulai tandis que lui restai debout, stoïque. Je glapis de surprise. La douleur dû à la chute se répandit dans mon corps d’un coup et je serrai les dents pour ne pas crier. Le sol était fais d’acier couvert de rouille, froid, dur, je le relevai en serrant les dents et luttant pour reprendre mon souffle. Je levai les yeux et compris la raison de l’arrêt de Sam et Alice : le canyon se terminait là, sur un cul de sac. Sans perdre un instant de plus, déjà haletant, Sam sortit son épée malgré tout. Alice tira la siennne en même temps. Je la dégaina à mon tour, j’étais tellement épuisé que je peinais à tenir mon épée. Je luttai pour reprendre mon souffle. Lorsque les cavaliers arrivèrent à notre niveau, le choc fut brutal. Les chiens me sautèrent dessus tandis que les cavaliers se ruaient sur Sam et Alice, leurs longues lames brandit, je notai du coins de l’œil que contrairement au restes de leurs équipements,leurs armes était étincelantes, vierge de la moindre trace de rouille et surtout…tranchantes. Le premier chien arriva à mon niveau et j’eu le réflexe de faire un pas de côté, ce réflexe me sauva sans doute la vie car les énormes mâchoires du molosse se refermèrent á l’endroit où se trouvait ma tête un instant plus tôt, la peur me déferlait en moi, une vague de terreur absolu que mes vains efforts ne suffisait pas à calmer, trop obnubilé par ma peur, je ne parvins pas à réagir à temps pour esquiver le deuxième chien qui le tomba dessus me plaqua au sol. L’impact me coupa le souffle. Je pris une grande inspiration mais déjá le chien tentait de me mordre à ma gorge, j’esquive le coup de croc d’extrême justesse avant d’esquiver un second coup de croc. Le molosse tenta de me mordre au visage. Je ne put que mettre le bras en guise de protection tandis que le molosse, pas le moins du monde déconcerté s’attaquer à pleine dent à mon bras. Les crocs du molosses déchirèrent ma chair, un flash de douleur traversa mon corps et je ne put m’empêcher d’hurler. Mon propre sang me coula sur le visage et dans la bouche, ça avait un goût métallique désagréable, je le recracha pour ne pas m’étouffer avec. Le chien me mordait de plus en plus fort. Je sentis ce que je pensais être mes muscles se déchirer et quelques seconde plus tard j’entendis un craquement. Je finis par puiser dans l’énergie qu’il me restai et à repousser le chien d’un coup de pied. Lorsque ses dents se retirèrent brutalement je vis mon propre cartilage gicler. Cela me procura une douleur supplémentaire et j’hurlai encore plus fort. Je pris sur moi pour prendre mon épée de l’autre mains et, la mains tremblante, attendit en tournant autour des chiens et soufflant très fort pour calmer ma douleur. Le premier chien me sauta dessus et j’eu le réflexe de frapper d’estoc ce qui eu pour effet de le planter dans le ventre, je retirai mon épée et un liquide noir que je supposais être du sang gicla. Le chien s’affala dans une mare de sang noir, mort. Le deuxième me plaqua de nouveau au sol et me mordit à l’autre bras. J’eu cette fois le réflexe de le repousser avant avant qu’il n’est le temps d’enfoncer ces dents plus profondément mais il me déchira tout de même la peau et la chair. J’hurlai encore une fois. Ivre de douleur je reculai de plusieurs pas afin de me mettre hors de portée le temps de reprendre mes esprits et, j’éspérai naïvement que dans ce cours laps de temps la douleur disparaisse ne serai-ce qu’un petit peu. Je puisai dans mes dernières force et lorsque le chien bondis vers moi je le transperça à la gorge. Le chien émit un gargouillis. Lorsque je retira ma lame il s’écroula au sol le corps pris de convulsions. Je souris et soupira, fière de ma victoire. Je me tournai vers Sam et Alice pour voir comment ils s’en sortait. Je me tournai juste à temps pour voir un rouilleurs, sans son cheval. Lever son épée vers moi. N’ayant plus la force d’esquiver j’attendis la mort…qui ne vint jamais. Une lame traversa le buste du rouilleur qui s’écroula. Alice se tenait derrière le rouilleur, elle retira sa lame ensanglantée et la rangea, elle était couverte de sang mais principalement de celui de ces adversaires, elle n’avait que quelques égratignures. Je tombai à genou gémissant de douleur et laissai échapper mon épée. Je me forçai à jeter un coup d’œil a ma blessure, je n’aurai sans doute pas dû, j’eu un haut le cœur en découvrant le carnage : la peau autour de la morsure était arrachée, la morsure faisait la taille de la paume de ma main. L’endroit où la morsure était la plus profonde ont voyait la partie arraché de l’os. Alice jeta un coup d’œil à ma blessure et dit :
- C’est pas beau à voir. Sam ! Vient voir ! Je vis Sam, une méchante entaille au visage qui saignait abondamment s’approcher de moi. Arrivé à mon niveau il observa ma blessure et dit :
- Moche en effet. Qu’est ce qu’ont fait ? Il s’adressait à Alice. Celle-ci répondit :
- Si ont fait rien il va perdre son bras. Il renchérit :
- Si ont je fait rien c’est la vie qu’il va perdre ! Elle dit :
- Je n’ai pas les connaissances médicales nécessaires pour soigner ça toi non plus pas vrais ? Elle confirma :
- Non, en effet. Il faudrai l’amener dans hôpital mais là tout de suite je vois pas comment ont pourrais faire, ont est coincé dans cette dimension. Il faudrai trouver un point de chute. Le problème c’est qu’ont est jamais allé ici avant, ont n’avait pas réussis à trouver de point d’accès. Alice sursautai et dit :
- Il y’a une autre solution pour revenir d’où ont viens, il faudrai vaincre la puissance maléfique qui rôde en ces lieux.
- Ouais,répondit Sam, mais je sais pas si Tom va tenir jusque là.
- C’est toujours mieux que de chercher au hasard. Sam protesta :
- Ont pourrai se faire tuer et… je l’interrompis et dit :
- Je pense être d’accord avec Alice et puis si il est trop tard ça fera au moins une bonne action dans ma vie, il faut vaincre la puissance maléfique qui hante ces lieux.
Chapitre 6 :
J’obéis sans réfléchir et partit comme une flèche à la suite de Sam et Alice, j’avais l’instinct que si cette chose que je n’avais même pas vu m’attrapait, et bien… disons que j’avais la sensation que ça allait mal se passer. Mon épée, bien que pesant seulement un virgule huit kilos m’alourdissait tout de même me ralentissant permettant à mes poursuivants de se rapprocher de moi petit à petit. Voyant que je ne parvenais pas à les suivres Alice et Sam ralentirent pour rester à ma hauteur Sam cria :
-Ils savent que nous sommes là ! Magne toi ! J’haletai, les poumons en feu. Entre deux respirations saccadées je répondis :
- Peux…pas…épée…me ralentit…il continuai à mon allure. J’entendai les bruits se rapprocher de nous, des fourrés craquer sous des sabots, des cliquetis d’acier et des grognements et halètements de chiens. Nous entrâmes dans un canyon au pas de course, nos poursuivants toujours sur nos talons. Je jetai un regard en arrière afin de les observer à présent qu’il n’étais plus dissimulés par les arbres : cinq cavaliers, portant des armures couvertes de rouille, leurs heaumes cachaient leurs visages. Ils étaient montés sur de grands chevaux marron, portant quelques plaques de métal corrisé qui devait être destiné à les protéger. À leurs côtés, dès chiens aux pelages noirs mais pas des chiens domestiques comme ceux que je connaissais, non non, d’imposant molosses aux crocs acérés, il était destiné à la traque de gibiers, et cette fois, ce n’était pas un animal le gibier, c’était nous. J’avais de plus en plus de mal à maintenir mon allure. Le souffle me manquait et je décèlerai petit à petit, à bout de souffle. Sam ralentit à son tort et me cria :
- Accéléres, si ils te rattrapent c’est finis !Je répondis :
- On pourra pas leurs échapper, ils ont des chiens ! Sam me répondit :
- Ont doit pouvoir les semer ! Je remarquai qu’il haletait lui aussi. Je répondis :
- Tout ce qu’ont va faire c’est s’épuiser, ils vont plus vite que nous et nous rattraperons tôt ou tard, il faut se battre ! Ont est équipés pour ça non ? Sam semblait réfléchir avant d’ordonner :
- Ont continues ! Je protestai :
- C’est la pire des idées ! Son visage se durcit et il m’hurla :
- La ferme ! Encore un mot de ta part et je te fais tomber et te laisse là pour les ralentir ! Il accéléra un peu pour passer devant moi. Je glissai sur un caillou qui roula sous mes pieds avant de basculer en avant me rattraper à un rocher sur ma droite et de repartir. Tout ça me pris plusieurs précieuses secondes qui permirent à nos poursuivants de se rapprocher de moi. Je tentai de forcer le rythme sans succès, je jetai un coup d’œil derrière moi : ils étaient à moins d’une dizaine de mètre et gagnaient du terrains à chaque s secondes qui s’écoulait. Trop occupé à regarder derrière moi, je rentra dans Sam brutalement. Je m’écroulai tandis que lui restai debout, stoïque. Je glapis de surprise. La douleur dû à la chute se répandit dans mon corps d’un coup et je serrai les dents pour ne pas crier. Le sol était fais d’acier couvert de rouille, froid, dur, je le relevai en serrant les dents et luttant pour reprendre mon souffle. Je levai les yeux et compris la raison de l’arrêt de Sam et Alice : le canyon se terminait là, sur un cul de sac. Sans perdre un instant de plus, déjà haletant, Sam sortit son épée malgré tout. Alice tira la siennne en même temps. Je la dégaina à mon tour, j’étais tellement épuisé que je peinais à tenir mon épée. Je luttai pour reprendre mon souffle. Lorsque les cavaliers arrivèrent à notre niveau, le choc fut brutal. Les chiens me sautèrent dessus tandis que les cavaliers se ruaient sur Sam et Alice, leurs longues lames brandit, je notai du coins de l’œil que contrairement au restes de leurs équipements,leurs armes était étincelantes, vierge de la moindre trace de rouille et surtout…tranchantes. Le premier chien arriva à mon niveau et j’eu le réflexe de faire un pas de côté, ce réflexe me sauva sans doute la vie car les énormes mâchoires du molosse se refermèrent á l’endroit où se trouvait ma tête un instant plus tôt, la peur me déferlait en moi, une vague de terreur absolu que mes vains efforts ne suffisait pas à calmer, trop obnubilé par ma peur, je ne parvins pas à réagir à temps pour esquiver le deuxième chien qui le tomba dessus me plaqua au sol. L’impact me coupa le souffle. Je pris une grande inspiration mais déjá le chien tentait de me mordre à ma gorge, j’esquive le coup de croc d’extrême justesse avant d’esquiver un second coup de croc. Le molosse tenta de me mordre au visage. Je ne put que mettre le bras en guise de protection tandis que le molosse, pas le moins du monde déconcerté s’attaquer à pleine dent à mon bras. Les crocs du molosses déchirèrent ma chair, un flash de douleur traversa mon corps et je ne put m’empêcher d’hurler. Mon propre sang me coula sur le visage et dans la bouche, ça avait un goût métallique désagréable, je le recracha pour ne pas m’étouffer avec. Le chien me mordait de plus en plus fort. Je sentis ce que je pensais être mes muscles se déchirer et quelques seconde plus tard j’entendis un craquement. Je finis par puiser dans l’énergie qu’il me restai et à repousser le chien d’un coup de pied. Lorsque ses dents se retirèrent brutalement je vis mon propre cartilage gicler. Cela me procura une douleur supplémentaire et j’hurlai encore plus fort. Je pris sur moi pour prendre mon épée de l’autre mains et, la mains tremblante, attendit en tournant autour des chiens et soufflant très fort pour calmer ma douleur. Le premier chien me sauta dessus et j’eu le réflexe de frapper d’estoc ce qui eu pour effet de le planter dans le ventre, je retirai mon épée et un liquide noir que je supposais être du sang gicla. Le chien s’affala dans une mare de sang noir, mort. Le deuxième me plaqua de nouveau au sol et me mordit à l’autre bras. J’eu cette fois le réflexe de le repousser avant avant qu’il n’est le temps d’enfoncer ces dents plus profondément mais il me déchira tout de même la peau et la chair. J’hurlai encore une fois. Ivre de douleur je reculai de plusieurs pas afin de me mettre hors de portée le temps de reprendre mes esprits et, j’éspérai naïvement que dans ce cours laps de temps la douleur disparaisse ne serai-ce qu’un petit peu. Je puisai dans mes dernières force et lorsque le chien bondis vers moi je le transperça à la gorge. Le chien émit un gargouillis. Lorsque je retira ma lame il s’écroula au sol le corps pris de convulsions. Je souris et soupira, fière de ma victoire. Je me tournai vers Sam et Alice pour voir comment ils s’en sortait. Je me tournai juste à temps pour voir un rouilleurs, sans son cheval. Lever son épée vers moi. N’ayant plus la force d’esquiver j’attendis la mort…qui ne vint jamais. Une lame traversa le buste du rouilleur qui s’écroula. Alice se tenait derrière le rouilleur, elle retira sa lame ensanglantée et la rangea, elle était couverte de sang mais principalement de celui de ces adversaires, elle n’avait que quelques égratignures. Je tombai à genou gémissant de douleur et laissai échapper mon épée. Je me forçai à jeter un coup d’œil a ma blessure, je n’aurai sans doute pas dû, j’eu un haut le cœur en découvrant le carnage : la peau autour de la morsure était arrachée, la morsure faisait la taille de la paume de ma main. L’endroit où la morsure était la plus profonde ont voyait la partie arraché de l’os. Alice jeta un coup d’œil à ma blessure et dit :
- C’est pas beau à voir. Sam ! Vient voir ! Je vis Sam, une méchante entaille au visage qui saignait abondamment s’approcher de moi. Arrivé à mon niveau il observa ma blessure et dit :
- Moche en effet. Qu’est ce qu’ont fait ? Il s’adressait à Alice. Celle-ci répondit :
- Si ont fait rien il va perdre son bras. Il renchérit :
- Si ont je fait rien c’est la vie qu’il va perdre ! Elle dit :
- Je n’ai pas les connaissances médicales nécessaires pour soigner ça toi non plus pas vrais ? Elle confirma :
- Non, en effet. Il faudrai l’amener dans hôpital mais là tout de suite je vois pas comment ont pourrais faire, ont est coincé dans cette dimension. Il faudrai trouver un point de chute. Le problème c’est qu’ont est jamais allé ici avant, ont n’avait pas réussis à trouver de point d’accès. Alice sursautai et dit :
- Il y’a une autre solution pour revenir d’où ont viens, il faudrai vaincre la puissance maléfique qui rôde en ces lieux.
- Ouais,répondit Sam, mais je sais pas si Tom va tenir jusque là.
- C’est toujours mieux que de chercher au hasard. Sam protesta :
- Ont pourrai se faire tuer et… je l’interrompis et dit :
- Je pense être d’accord avec Alice et puis si il est trop tard ça fera au moins une bonne action dans ma vie, il faut vaincre la puissance maléfique qui hante ces lieux.