Quand je t’observe, je ne peux qu’être pensif,
Ta présence accapare tout mon champ de vision,
Le son que tu produis attire mon attention,
Le vent portant tes effluves me rend créatif.
Tu as été à mes côtés durant 16 ans,
Pendant la période estivale, je venais te voir,
Tu m’as bordé quand je n’étais qu’un simple enfant,
Mais à force tu m’as ennuyé, tu peux le croire.
La distance que j’ai installée m’a fait du bien,
Car aujourd’hui, je peux te voir d’un œil lointain,
Et le plus important, je choisis quand je viens.
Quand je reviens chez moi et que je t’aperçois,
Dans mon cœur, je n’ai plus la moindre trace de haine,
Je peux le dire en étant fier, la mer je t’aime.
En effet, le titre choisi ne laisse aucun mystère, dommage, car le lecteur n'a pas le suspens. On aurait pu imaginer tout autre chose que la mer. Ceci dit, le style est plutôt aérien, agréable à lire, le sens reste qd même un mystère. Pourquoi la haine ?
Je m'en doutais que le titre allait tout casser, mais j'avais vraiment aucune idée de quoi mettre à la place, donc tant pis.
Pourquoi la haine? Tout simplement parce-que durant une période de ma vie, je n'aimais pas la mer.
Moi, j'ai extrapolé sur un autre genre de Mer...
Merci d'avoir répondu à mon commentaire. J'attends impatiemment d'autres poèmes