Difficile d’écrire quelque chose lorsqu’on a la tête trop pleine. Le syndrome de la page blanche, comme on l’appelle. Et pourtant, ce n’est pas faute d’avoir des choses à dire, à crier, à hurler ! Seulement voilà, les mots ne sortent pas. Ils s’emmêlent, se démêlent, s’entremêlent dans un cocktail incompréhensible. Le cœur bafouille et le cerveau bouillonne. Difficile de s’exprimer, sur un bout de papier.