La vie morte

Les yeux vers les cieux 

Joyeux au pieu; n’est-ce pas merveilleux! 

La vie arrosée de roses 

La vie posée en prose 

 

Mais sous les couvertures de murs, 

La suture est la cure parjure 

Elle encage les dommages en rage 

À l’ouvrage pour arracher les mirages 

 

Le vide est avide et les rides sont arides 

Et lorsque la digue placide succombe à l’acide, 

Le VR cède et le remède procède; 

Le vide devient aide et les rides deviennent aides  

 

Hélas! Las, tu enlaces le surplace 

En vains espoirs que s’effacent les traces 

Dis-moi, qui donc est la véritable menace? 

 

Au lit aux plis d’oublis 

Sali de « si » de récits, 

Tu palis de l’inertie de ta vie 

 

Vivre vieux au lieu de vivre mieux 

Les yeux clos, au pieu; 

Est-ce là le merveilleux? 

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Jams35
Posté le 13/01/2025
Très belle poésie Samuel,

En lisant le titre, j'étais intrigué.Moi même j'exprime souvent la mort dans mes écrits où du moins je lui fait un "p'tit clin d'œil"
Je vais lire l'ensemble du recueil :)
Merci pour le partage.

Benjamin.
Samuel L
Posté le 27/02/2025
Merci beaucoup! Content que tu ais apprécié, et j'espère que tu as apprécié le reste aussi!
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