Les yeux vers les cieux
Joyeux au pieu; n’est-ce pas merveilleux!
La vie arrosée de roses
La vie posée en prose
Mais sous les couvertures de murs,
La suture est la cure parjure
Elle encage les dommages en rage
À l’ouvrage pour arracher les mirages
Le vide est avide et les rides sont arides
Et lorsque la digue placide succombe à l’acide,
Le VR cède et le remède procède;
Le vide devient aide et les rides deviennent aides
Hélas! Las, tu enlaces le surplace
En vains espoirs que s’effacent les traces
Dis-moi, qui donc es la véritable menace?
Au lit aux plis d’oublis
Sali de « si » de récits,
Tu palis de l’inertie de ta vie
Vivre vieux au lieu de vivre mieux
Les yeux clos, au pieu;
Est-ce là le merveilleux?