L'attente des heures latentes

Notes de l’auteur : Je m'essaye, je teste, dites-moi ce que vous en pensez.

L'attente des heures latentes ;


 

Face au noir de ma mémoire.

J’entends l’écho d'un autre temps,

Où les pleurs, jamais ne se meurent.

Ceux du passé maintes fois révoqué,

Où futur rimait avec usure.


 

J'aimerais tarir d'un baiser,

Les larmes qui d’émotions désarment.

L'espoir qu'elles font choir,

Du peu de l’éclat boiteux.

Nimbe qui chute dans les limbes.


 

Candeur déserte mon cœur,

Pour être remplacé sans paraître,

Par les désirs à part,

Des pures flammes de parjures.

Flammes de l’âme qui s'affame.


 

Le désir ne veut plus souffrir.

Accepte, mon enfant, l'inepte.

Il montre du doigt l'encontre,

Du chemin qui est empreint,

Du bonheur, qui se veut libérateur.

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Laroutourn
Posté le 06/04/2022
J'ai l'impression qu'il a ici une sorte d'opposition et de symbiose à la fois entre la noirceur du désir et quelque chose de plus doux, ingénu... Mais peut-être est-ce ma seule interprétation !
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