Papillonant à travers les rues,
Traversant les allées, longeant les avenues.
Les Hommes cherhcent le feu qui les brûle ;
Cet amour naissant qui les consume.
Alors ; tel le feu d'une flamme
Fascinné par sa vue, envouté par ses charmes.
Réconforté par sa chaleur, cajolé par ses mots.
Il faint d'apaiser ses maux.
Et, ah ! Malheureux qu'ils sont,
Les voilà s'approchant de cette dansante illusion.
Jusqu'à toucher cette flamme fatale ; cette femme fatale.
Je confirme : en 30 minutes et sans inspiration, c'est pas mal. Et oui, chacun va se fracasser sur l'aveuglement qui le dépasse... que veux-tu ma pauvre Lucette ?