Il y a quelque chose de commun à presque toutes les histoires que je compile dans ce recueil : leur réalisme.
Les légendes urbaines et histoires horrifiques fantastiques, ou qui mettent en tout cas en scène des éléments surnaturels, n’ont pas le même impact selon moi. J’ai déjà plus de mal à me mettre à la place des protagonistes.
Car ce que j’attends de ces histoires, c’est que la chute donne une explication logique à chaque mystère de chaque histoire, et que cette explication soit une des plus morbides, une de celles qu’on souhaiterait le moins si l’on se trouvait à la place du héros. Et lorsque cette explication reste tout à fait réaliste, c’est ce qui me fait bien souvent frissonner.
Évidemment, je fais quelques exceptions – je ne suis pas à une contradiction près. Il y a d’autres types d’histoires où la chute est en fait l’éclatement d’un mystère encore plus grand, effrayant, et induisant un danger presque immédiat. Et celles-ci me font autant d’effet que les histoires précédentes !
Et c’est le cas de l’histoire qui va suivre :
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