Le train de la vie

Par Anzou

Une histoire d'amour commune, une rencontre banale par les voies modernes, à savoir un site de rencontre. Pas très romantique selon Marie, cette jeune femme aux belles boucles châtaines et aux yeux verts pétillants. Elle était toujours pleine d'entrain, douce et le cœur sur la main. C'était une jeune femme d'une beauté tendre, de corpulence normale. Elle n'était pas très grande, d'où son surnom : "la petite Marie".

Marie souhaitait avancer dans sa vie et vivre une histoire, son histoire pour une fois...

Cela faisait déjà deux ou trois ans qu'elle vivait seule, mais les souvenirs de son premier, grand amour restaient vivants dans son esprit. Lui, bien qu'il ait refait sa vie, semblait avoir tourné la page avec sérénité. Marie, en revanche, avait cette sensation tenace qu'elle n'arriverait jamais à tourner la sienne.

 

C'était au cœur de Paris qu'avait eu lieu son premier rendez-vous avec Alex. Ce jeune homme, avec qui elle discutait depuis environ un mois, avait retenu son attention par leur aisance à discuter de tout et de rien ensembl, de bien s'entendre sans faux-semblants. Elle avait rencontré d'autres hommes par ce biais-là, que des plans foireux, de l'amusement, mais rien de sérieux. Trop naïve, Marie croyait malgré tout, encore au grand amour.

Alex avait la trentaine, une timidité presque palpable qui lui donnait un air un peu fragile. Il mesurait environ 1m70, avec des cheveux bruns et un sourire qui le rendait plutôt charmant. Si son caractère semblait doux, il était loin de correspondre aux critères qu’elle avait l’habitude de rechercher chez un homme. Pourtant, Marie décida de mettre ses réserves de côté et de se laisser porter par le moment, choisissant de profiter de cette soirée en sa compagnie.

Les deux jeunes gens se revirent quelques fois. Cependant, au fond d'elle-même, Marie n'envisageait pas une histoire sérieuse malgré que l'illusion d'un possible bonheur avec Alex la séduisait. C'est ainsi, finalement, qu'elle se laissa emporter dans cette romnce. Elle invita même Alex à un événement à l'étranger, un prétexte pour passer plus de temps ensemble et de se découvrir davantage. 

Ce voyage les rapprocha incontestablement et les choses se nouèrent rapidement. Ils se comprenaient, riaient aux mêmes blagues, s'appréciaient d'une manière évidente. Ils tombèrent ainsi sous le charme l'un de l'autre. 

Par ailleurs, Marie, avait cette impression dérangeante que tout allait trop vite. Elle se jeta malgré cela, dans cette histoire d'amour, sans tenir compte de la voix de la raison qui lui murmurait de freiner. Et puis,voir ses amies, toutes en couple, mariées ou déjà en projet de bébé, lui mettait la pression. Et elle, là, toujours seule, tellement seule, bloquée, coincée avec le souvenir de son amour qu'elle n'avait jamais su oublier, rongée par l'amer regret d'être celle qui avait mis fin à leur relation. Quel fardaux pénible avec la culpabilité. C'était pour Marie une punition atroce qu'elle portait en secret.

La jeune femme voyait alors en Alex son sauveur, son alter ego. En revanche, Marie savait pertinemment que son cœur n’était toujours pas guéri de David. Comment pouvait-elle l’oublier ? 

Ce dernier c’était tout ce qu’elle avait toujours désiré, un homme à la fois irrésistible et insaisissable. C'était un boute-en-train, toujours à amuser la galerie ! Il était grand. Il avait ce côté homme viril, contrasté par ses jolies bouclettes noires qui soulignaient la douceur de son visage. À ses côtés, Marie se sentait en sécurité, protégée, comme si rien ne pouvait l’atteindre. Et sa voix… grave et suave, capable de la troubler d’un simple murmure, était un envoûtement en soi.

À chaque souvenir, Marie ne pouvait s'empêcher de se concentrer sur les qualités splendides du jeune homme , oubliant les défauts. Elle ne voyait que l’image idéalisée de l'homme parfait qu’il avait toujours été à ses yeux. Malgré cette nostalgie dévorante, la réalité la rattrapait : David n’était plus là, et il ne reviendrait pas. Alors, que pouvait-elle faire d'autre? Elle choisit de continuer d’avancer et de prendre le train de la vie, en espérant que le temps effacerait peu à peu cette douleur qui la tenait captive.

 

Quoi de plus propice pour précipiter son idyle avec Alex, qu’un problème de logement ? La colocation de Marie se passait mal, et elle ressentait un besoin urgent de fuir cet endroit où elle ne se sentait pas bien. De son côté, Alex devait rendre son appartement à son bailleur, qui avait décidé de récupérer les lieux. Ces circonstances convergentes les poussèrent naturellement à envisager de prendre un chemin commun. "Pourquoi pas ?", se dirent-ils. "Emménageons ensemble !" À peine trois mois après leur première rencontre, après deux voyages et de nombreux moments partagés dans des conditions parfaites, ils prirent la décision de s’installer dans un appartement à deux.

 

La vie semblait idéale pour Marie. Elle vivait une belle expérience avec Alex, qui était gentil et avec qui l’entente était sans accros. Ils voyageaient souvent ensemble, partageant de bons moments.

Mais voilà, paradoxalement, alors qu'elle se concentrait sur cette nouvelle vie, elle tentait d'oublier l'ancienne, d’oublier David. Le souvenir de ce dernier, revenait sans crier gare, il hantait la jeune femme  en dépit d'elle-même. À travers ses rêves, elle retrouvait cet homme qu'elle avait tant aimé.  Tout cela s'imposait à elle et la jeune femme vivait mal toutes ces émotions : ce manque de David, l'impossibilité de cette relation, la culpabilité de penser encore à son ex alors qu'elle est avec un autre et j'en passe. Elle ne confia cela à personne, bien sûr. Elle n’avait aucune envie de passer pour une femme infidèle, même si elle ne contrôlait rien de ces émotions. 

Elle se sentait coupable, perdue, incapable de comprendre ce qui lui arrivait. Ce qu'elle savait, c’était qu’à chaque songe de David, elle était bouleversée, et cela se produisait bien trop souvent. Cependant, elle choisit de faire comme si de rien n’était, feignant d’ignorer les signaux de son esprit et se mentant à elle-même

Après tout,  David semblait heureux de son côté au vu des photos partagées sur les réseaux sociaux.

Pourquoi, elle, ne pourrait-elle pas avancer tranquillement ? C’était difficile, certes, mais Marie réussissait à enfouir ses sentiments au plus profond d'elle-même. Elle voulait être quelqu’un de droit, capable de s’investir totalement dans sa relation avec Alex, sans trahir ni ses engagements, ni ses désirs. 

 

Le temps s'était écoulait, vraiment à part ses sentiments unilatérals pour David, ses rêves et presque son obsession pour lui, rien ne faisait qu'il pouvait encore impactait Marie. Elle ne le voyait plus, n'avait pas vraiment de ses nouvelles. Il n'y avait plus de lien quelconque, plus d'ouverture, à part ceux dans sa tête et son coeur... Marie s'en voulait car elle s'était dit que finalement elle s'était fait auto-prisonnière de ses sentiments. La lutte fut constante pour elle. Mais il y a bien des jours où, elle arrivait à mieux occulter le souvenir de son ex que d'autres et alors elle se pensait retrouver un chemin de "liberté", petit à petit.

 

Lors d'un séjour sur son île natale, Marie et Alex décidèrent de faire un tour de parapente pour profiter du spectacle grandiose offert par l’alliance des montagnes et des récifs coralliens de Madère. 

C'était une journée qui avait commencé comme toutes les autres. Marie était de bonne humeur, un peu stréssée par cette activité qu'elle n'avait jamais faite encore mais contente d'y alle. Elle avait conduit jusqu'à la plage, lieu du rendez-vous avec le moniteur de parapente. Sur cette même plage se réunissait tous les départs avec les clubs différents. Il faisait beau et chaud. Marie s'était habillée à la va vite en mode détente ce jour-là. Rien ne laissait présager ce petit coup du destin qui allait ébranlée la jeune femme et le reste de ses vacances.

Marie était là à attendre avec Alex sur le lieu de rendez-vous, loin de se douter qui elle allait voir devant elle. Par hasard, et presque nez à nez, ils se revirent. Il était là, sur cette plage lui-aussi, après tant d'années s'en s'être revu, celui qui avait fait et qui arrivait encore à faire vibrer son âme en silence depuis longtemps.

C'était d'ailleurs sur cette île qu'elle avait rencontré David, dix ans plus tôt, alors que le jeune homme passait des vacances chez sa famille.

Elle n’en crût pas ses yeux. Et pourtant, oui. C’était bien lui: David.

Quatre années s’étaient écoulées depuis ce dernier baiser déposé sur son front à la gare Saint-Lazare, avant qu’il ne la laisse partir, pour toujours, dans ce train. C’était la dernière fois qu’ils s’étaient vus. Marie, terrifiée par l’avenir qu’elle entrevoyait, avait mis fin à leur histoire. Les blessures non résolues de son passé, ses fragilités et ses peurs inconscientes avaient eu raison de leur amour.

 

Sur cette plage, se trouvait donc David, sa compagne, Alex et Marie, à quelques mètres à peine les uns des autres.

Marie se sentait submergée, perdue. Elle apercevait cet être qui avait partagé sa vie, cet être si cher mais qui semblait maintenant si loin, ils étaient devenus tels deux inconnus et pourtant ils se connaissaient intimement, par coeur. Constat blessant, difficile à réaliser, de comment deux personnes, qui étaient tout l'un pour l'autre, pouvait alors s'ignorer comme ça. Et pourtant, combien l'envie de courir vers David, lui prenait aux trippes. Mais Marie, ne parvenait même pas à soutenir son regard. Un torrent d’émotions se bousculait en elle, et elle ne savait plus comment les contenir. 

Elle faisait de son mieux pour dissimuler son trouble, pour donner l’impression d’être calme, détachée, mais tout en elle trahissait la vérité : elle l’aimait encore, profondément. C’était comme une douleur sourde qu’elle ne pouvait faire taire un vide qui ne se refermerait jamais. 

Elle regrettait même la présence d'Alex à ce moment-là. Elle aurait voulu que David la voit comme avant, qu’il la considère encore comme s’il était le seul à l’avoir. Comme si, dans son esprit, il devait comprendre qu'elle lui appartenait encore, qu’il serait toujours celui qu’elle aurait aimé. 

Mais la réalité était là, implacable : ils se tenaient à quelques pas l’un de l’autre, mais s’ignoraient, comme deux étrangers. Leurs regards se fuyaient, comme si ce passé entre eux n’avait jamais existé ou alors tout l'inverse, des sentiments encore trop forts pour l'exposer aux nouveaux compagnons par respect et pudeur? Marie n'en savait rien, mais elle savait qu'il n'y avait aucun mépris envers l'un et l'autre dans leurs réactions respectives.

Cette confrontation silencieuse, ce déchirement intérieur, la bouleversait plus que tout. C’était un choc brutal, presque une agression pour son cœur, et elle se retrouvait là, figée, incapable de bouger, dévastée par la profondeur de ce qu’elle venait de réaliser.

Marie ne savait pas si c'était un coup de pouce du destin pour lui dire alerte rouge, tu n'es pas avec la bonne personne, celui que tu aimes est là-bas, avec une autre, bats toi pour le récupérer. Ou alors, c'était méchant un pied de nez de la vie, pour lui signifiait, tu penses encore à lui et pourtant maintenant, vosu n'êtes plus rien l'un pour l'autre, arrête d'espèrer. Marie se disait que par principe, par loyauté envers Alex, elle pourrait pas le quitter comme ça, et puis aussi, David avait tout avec sa compagne, ils étaient heureux. 

Si David revenait vers elle, pas sûre qu'elle maintiendrait ses principes celà-dit. Agir d'elle-même? Elle avait trop à perdre, une relation stable, un bonheur correcte et puis son grand égo. Il risquerait de se prendre un coup si David la rejetait. Elle n'avait aucune raison de croire que David pensait ou l'aimait encore un peu. Alors en toutes logiques, que faire? 

En effet, Marie avait décidé de faire ce qu'elle savait faire le mieux : l'autruche. 

Elle tenta de dissimuler cette peine au plus profond d'elle, en cherchant à oublier David. Ce jour-là, son cœur s'était fissuré, mais Marie s'efforça de tourner son regard entièrement vers Alex, comme pour se forcer à avancer, ce qui était déjà sa décision depuis le debut de leur histoire à eux deux.

Le temps passa, Marie jouait parfaitement son rôle et s'investissait à fond dans sa nouvelle vie. 

Puis, un jour, alors qu'ils étaient en vacances, l'esprit apaisé, Marie savourait simplement ces instants agréables avec Alex, ne pensant qu'à se détendre. Elle croyait avoir réussi à reléguer son premier amour au fond de  son esprit, comme une brise légère effleurant à peine ses pensées. Mais, sans aucune maîtrise, alors qu’elle s'apprêtait à interpeller Alex, c'est la prénom interdit de David qui  s’échappa de sa bouche.

Un frisson la traversa immédiatement, et son cœur s’emballa. Elle s’excusa précipitamment, espérant que ça passerait inaperçu. Mais la gêne ne faisait que masquer une autre réalité : ce prénom ravivait des souvenirs qu'elle croyait avoir enfin réussit à maitriser sinon de les avoir effacer. 

David, bien qu’invisible dans son quotidien, restait là, en arrière-plan, comme une silhouette transparente mais bien présente. La mention de son prénom fit surgir un mélange de regrets et de désirs enfouis, qui remontaient à la surface plus vivement que jamais. 

Marie était partagée entre la vie qu’elle vivait avec Alex et ce passé qu’elle croyait avoir mis de côté. Même si David n’était plus là, il n’avait jamais complètement disparu pour elle. Il se manifestait dans ses rêves, dans ses pensées, mais là, c’était plus fort. Ce prénom, dit à voix haute, semblait comme un rappel : malgré ses efforts, il n’était jamais vraiment parti. 

Une chaleur familière s’alluma dans son fort intérieur, aussi perturbante qu’inattendue, de remettre David comme au devant de la scène dans sa vie, était quelque chose de spéciale, d'agréable, légitime, un sentiment qu'elle aimait, c'était comme un regain d'espoir en leur amour. Mais bon, c'était de courte durée, puisque les choses n'avaient littéralement pas changer. Donc l'espoir...  ce filme qui se jouait dans sa tête, il ne fallait pas qu'elle le laisse faire trop de bruit dans son esprit, car elle savait que ca ne serait que plus dur encore de renvoyer David au fond d'un tiroir bien caché dans son âme. 

Elle était donc là, assise et mal à l'aise face à Alex, mais elle se rendait clairement compte que ce n’était pas le fait d'avoir prononcer “David”, qui l’embarrassait, mais d’avoir révélé, sans le vouloir, le trouble qu’elle pensait avoir enfoui. La gêne se mêlait à cette émotion vive, et Marie sentit toute la présence invisible de David djuste à travers son prénom. Ce n’était pas juste un lapsus. Non, c’était la preuve qu’il était toujours-là, quelque-part, au fond d’elle, malgré tout.

Le temps comme toujours passa et Marie atténuant ses vifs désirs de retrouver David, laissant place à une femme d'apparence joyeuse mais à l'âme triste et mélancolique d'un amour révolu. La jeune femme s'efforçait de se convaincre qu'Alex était le bon, que c'était lui qui était là aurpès d'elle et qu'elle avait de la chance d'avoir une personne comme lui dans sa vie. 

Elle l'aimait Alex, certes, mais c’était incontestablement différent de ce qu'elle pouvait épouvait pour David.

Cependant, elle faisait de son mieux pour rendre Alex heureux. Sans même s'en apercevoir, elle cherchait désespérément en lui ce qu'elle avait tant aimé chez David, mais elle ne retrouvait rien, ce qui la laissait dans une frustration constante. 

Marie avait l'impression de ne plus avoir droit à ce bonheur amoureux, celui qui la ferait pleinement sourire, rêver plus fort et vibrer son être. Elle ne pouvait pas non plus dire qu'elle était malheureuse, car ce n'était pas le cas. Tout allait bien, en quelque sorte.

Elle s'engouffrait sans comprendre, tête baissée, dans une vie qui n'était pas la sienne, convaincue que rien de mieux n'était désormais possible pour elle, puisque David était désormais engagé avec une autre femme.

Quelques mois plus tard, Alex demanda la main de Marie. Leur avenir ensemble se dessinait peu à peu. 

Après la période du Covid, ils avaient décidé de quitter la région parisienne pour une vie à la campagne, avec l'achat d'une belle maison, de nouveaux meubles., d'une voiture. Bref, une nouvelle vie confortable semblait s'offrir au couple. Les préparatifs du mariage étaient en cours, et bien que Marie pensait toujours, dans le fond d'elle-même, à David, c'était devenu une habitude. Peut-on vraiment oublier son premier amour, après tout ?

Alex, de son côté, faisait tout pour rendre Marie heureuse, à sa manière. Il ne lui refusait rien, toujours attentif à ses désirs. Tous deux travaillaient dur, et leur vie semblait se dérouler tranquillement, sans heurts, du moins c'était l'impression que Marie en avait.

Un voyage au Pérou avait même renforcé l'idée qu'elle était sur le bon chemin avec Alex : le couple, un peu sur un coup de tête, avait consulté un chaman, juste par cursiosité. À leur grande surprise, il leur avait prédit un mariage festif d'ici la fin de l'année et même un enfant par la suite. Marie, enthousiaste, s'était alors pleinement investie dans l'organisation de cette union, tout en menant en elle une lutte intérieure, tentant de se préparer à devenir la femme, l’épouse parfaite et fidèle d’Alex. Elle se laissa rêver, bien qu'avoir un enfant avec Alex, serait se mélanger à lui, bizarre, et cette idée la génait, sans comprendre pourquoi. Mais comme d'habitude, l'autruche était de sortie. 

Elle voulait quelque chose de magnifique pour ses noces. La famille d'Alex ferait le voyage jusqu'à l'île aux Fleurs pour y assister. Pour Marie, s'offrir un beau mariage, c'était aussi, quelque part, célébrer la vie, pour une fois. C'était se prouver quelque chose à elle-même, qu'elle avait tout, même si, elle ne comptait plus pour David. 

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Em Sharm
Posté le 18/01/2025
Coucou Anzou,

A mon tour de venir découvrir ton texte !

Ce premier chapitre place bien le contexte et est très réaliste. Je pense que beaucoup de personnes se sont malheureusement retrouvées dans la situation de Marie. Tu réussis à décrire la vie telle qu'elle est, cruelle et routinière. On traverse les tourments intérieurs de Marie avec elle et on a juste envie qu'elle quitte Alex avant de faire une erreur, même si on comprend pourquoi elle ne le fait pas aha.

Mes suggestions / corrections :

- son attention de part leur aisance à discuter de tout et de rien ensemble → J'ai appris au lycée que "de part" ne se disait pas, c'est une faute de langage que tellement de personnes font que la formulation est entrée dans les mœurs. ^^" Tu pourrais remplacer par "son attention, par leur aisance à discuter"
- notamment de part ce voyage qui les avait rapproché. → idem, je propose "notamment grâce à ce voyage qui les avait rapprochéS
- Marie savait que tout été trop rapide mais → tout avait été / tout était ?
- Elle se mettait une pression en voyant toutes ces amies en couple → Voir toutes ses amies en couple lui mettait la pression ?
- La jeune femme voyait alors en Alex le sauveur, son alter égo → son sauveur ?
- David...c'était → ajouter un espace après les points de suspension
- toujours à amuser la galerie! → idem avant le point d'exclamation
- Il avait ce côté d'homme viril → supprimer "d'"
- qui, elles soulignaient la douceur de son visage. → qui soulignaient
- pourquoi pas? : ajouter un espace avant le point d'interrogation. J'ai remarqué qu'il en manquait partout dans le reste du texte. Voici un petit mémo pour les règles de ponctuation : un point, un espace après (. , ) / deux points, deux espaces : un espace avant et un après ( ? ! : ). Ce repère m'a toujours bien aidée, j'espère qu'il te servira aussi !
- parfaitement à enfouir ces sentiments : ses sentiments
- Et si la vie s'en mêler ? → s'en mêlait
- une dizaine d'annéeS
- en vacanceS
- Qui d'autre pouvez être → pouvait
- Les blessures de son passé non résoluEs
- ses peurs inconscientes ont eu(es) raison de leur histoire
- le premier amour DE l'un et l'autre
- David aussi transparEnt
- Les projets entre eux se sont accumulés. → s'étaient accumulés
- Bref, une vie nouvelle dans l'aisance sembler sourire au couple. → semblait
- l'organisation de cetTe union prochaine
- celébrer la vie pour une foiS


Bon courage pour la suite,
Em
Anzou
Posté le 24/02/2025
Merci EM pour ce commentaire très constructif, ton temps et tes corrections! J'apprécie beaucoup =)
Je vais modifier cela.

Anzou.
Em Sharm
Posté le 25/02/2025
Avec grand plaisir ! ;)

Em
Plume_jasmin
Posté le 27/12/2024
Bonjour Anzou !

Pour commencer j'aime beaucoup ta manière de décrire les faits, le paysage et les sentiments tumultueux de notre "Petite Marie".
Ensuite, j'apprécie beaucoup le personnage d'Alex (pour l'instant. On ne sait jamais). Le pauvre il a rien demandé.

J'attends la suite avec impatience !!
Anzou
Posté le 28/12/2024
Bonjour Plume-Jasmin,
"il faut se méfier de l'eau qui dort".
Merci beaucoup pour ton avis.
La suite arrive bientôt.
Reglisse000
Posté le 26/12/2024
J'adore ton style d'écriture ! Peu commun et très beau ! Quelques erreurs ( mélange des terminaisons ), mais à part ça rien à redire ! J'ai adoré lire l'histoire de Marie !
Anzou
Posté le 27/12/2024
Merci beaucoup Reglisse000 pour ton commentaire qui m'encourage énormément!
J'ai écris cette histoire sans me relire correctement encore, je n'ai pas encore pris le temps de peaufiner tout cela mais je ferai bien attention à mes petites erreurs. La suite arrive bientôt :)
Reglisse000
Posté le 27/12/2024
Trop bien ! J'ai vraiment hâte de lire la suite !
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