Porte tes fruits bien loin
De l’anneau qui t’oppresse,
Ouvre grand les bras et reçois
Le bonheur d’être en vie.
Ne te retourne pas
Et souris,
Le monde s’offre à toi
Et t’offre sa tendresse.
Crois en tes chances
Et crois en toi,
Tu vaux bien mille mercis
D’être celle qui aime
Et celle qui chérit.
J'adore celui-ci pour son message positif qui nous rappelle d'être heureux pour ce que l'on possède déjà !
Et merci également pour la synchronicité qu'il a apporté à ma journée :D
A très vite,
Wendy
Je suis ravie que ce poème soit venu à ta rencontre au bon moment pour t'apporter une note de positivité !
À bientôt :)
Mon préféré !
Un beau message plein de positivité et d'espoir ! J'ai adoré le "le bonheur d'être en vie". Oui c'est une chance de vivre !
Merci de ce texte !
A bientôt !
Merci pour ton soutien, je suis touchée de voir que mes textes plaisent à autant de personnes.
A bientôt :)
J'ai remarqué la répétition oui, j'ai fait le choix de la laisser, parce qu'elle ne me choque pas plus que ça dans l'enchaînement (tout comme la répétition de "crois" dans la dernière strophe). Mais je reste vigilante sur les répétions en général !
Mais bon c'est du chipotage à ce niveau ! L'image de l'anneau qui étouffe m'a beaucoup plu, et l'atmosphère générale de ce texte très "carpe diem". Le vers "ne te retourne pas" me fais par ailleurs un peu penser à Orphée perdant son bonheur en se retournant vers Eurydice, ou encore à Apollinaire : "J'ai regardé en arrière / Les cadavres de mes jours marquent ma route et je les pleure"
Coup de coeur pour les deux derniers vers <3
Je vais réfléchir à une seconde version pour essayer d'alléger tout ça, car même si je le ressens différemment, j'entends la critique.
Pour le côté "feel good", je crois que tu as mis le doigt sur quelque chose qui me gênait depuis longtemps sans que je ne puisse l'identifier. Et je pense que même sans ces deux vers, le poème tient (bon, j'ai tout de même l'impression qu'il manque un contexte, une introduction à cette dernière strophe) :
" Ne te retourne pas,
Souris,
Le monde s’offre à toi,
T’offre sa tendresse.
Tu vaux bien mille mercis
D’être celle qui aime
Et celle qui chérit."
Qu'en penses-tu ? (J'ai aussi enlevé des "et" au passage.)
Tu parles de l'aspect "carpe diem" du poème, mais il est plus sombre que ça. Il parle d'un deuil bien particulier qui m'est propre, un renoncement forcé, une nécessité d'accepter que certaines choses ne pourront jamais être. Avec cette note d'espoir : il n'y a pas qu'une seule manière de réaliser ses rêves, de se réaliser soi-même.
Et pour moi ces deux dernières strophes fonctionnent très bien dans cette nouvelle version, le message "crois en toi" me semble passer dans "Tu vaux bien mille mercis"
Je constate, là aussi, que j'ai mis beaucoup de "et".
Je ne vais plus voir que ça !