Un vent de printemps son haleine promène
Sur nos corps immobiles, dans le creux de nos cous
Que d’étranges positions on n’peu moins naturelles
Rappellent sombrement des cadavres un peu fous.
Gisants, étendus, contorsionnés, dévêtus
Nous dormons tranquilles de notre dernier sommeil
Où l’étreinte puissante de nos mains a tenue
Sous le dôme noir du ciel et le jour qui s’éveille.
Je viens d'ajouter tes poèmes à ma mémoire, dans ce qui sert de réservoir à la création. Je ne suis pas bien doué en poésie et donc mon commentaire n'est pas très technique, je ne peux que dire que j'ai apprécié. Merci pour ces textes !
Ça paraît ptet anecdotique, mais la longueur de ton poème est juste parfaite à mes yeux 😯