Un filet doré s’écoule lentement, sans discontinuer, le long des paysages. Il poursuit son parcours, inlassablement, imperturbablement.
L’Arbre du Monde s’écoule dans la terre, il prend ses racines des cieux. Sa sinistre lueur cosmique ne brille que par les fissures ouvrant les êtres qui se renouvellent sans fin.
La sève stellaire ne fait que passer.