Les murs séparent sans que la contestation ne se manifeste.
Les portes s'ouvrent par les mains des plus modestes.
La poussière est à la fois la trace du passé et d'un funeste destin.
Elle s'élance, composée des plus haute montagnes, des cœurs valeureux, d'êtres et de matières indistincts
Tous nos états passent et l'on ressasse ce que l'on pourrait faire ici dans la crainte de là bas.
Début intriguant, je suis curieux de voir ce que va donner cette histoire.
Le poème est joli, il est assez "chantant", on a envie de le fredonner sur un petit air.
J'attends de lire la suite pour me faire une idée ^^
Bien à toi !