Comme chaque matin, je me rends à l'armurerie de maître Artinskian pour parfaire mon art.
Comme chaque matin, je passe devant la sinistre prison d'Orosirian.
Comme chaque matin depuis deux mois, bergeronnettes grises, merles, fauvettes, bruants zizi, gobemouches, moineaux, martinets, hirondelles, mésanges, grives, pinsons et rouge gorges se pressent en piaillant devant les barreaux d'une des cellules souterraines.
Et comme chaque matin depuis ces mêmes deux mois, je la vois.
La main à travers les barreaux.
J'ai été attiré par le titre de ton histoire.
Cette première partie est vraiment très courte, je me demande où tu veux nous mener ^^
Cette idée d'oiseaux emprisonnés me rappelle un conte mais je ne saurais plus dire lequel.
Bien à toi !
Le style est fluide et la répétition de "comme chaque matin" permet de s’immerger rapidement dans l'histoire.
Il faut en dévoiler plus pour se faire un avis plus précis :))