Sébastien, Christophe et Mathieu sont trois amis proches qui se connaissent depuis presque dix ans. Ensemble, ils ont découvert beaucoup de choses. Mais il y a une expérience qui est restée centrale tout en étant confidentielle : leurs séances de plaisir solitaire. Évidemment, ils se défendent d’être gays ou attirés les uns par les autres. Pour eux, il s’agit simplement de plaisir, sans qu’ils se posent davantage de questions.
Les choses on commencé simplement sans vraiment qu’il y est besoin de beaucoup d’explications. Tout commença par une soirée de septembre peut après qu’il est repris leurs cours à l’université. Tous les trois étaient chez Sebastien, Mathieu avait se soir la ramené pour la première fois un magazine pornographique, profitant de l’absence de la famille de Mathieu assis sur le canapé du salon ils étaient bouche bée devant l’indécence du papier glacé.
Mathieu fu le premier a s’exprimer :
- Bon, j’en peux plus je vous montre se que je me fais quand je regarde se magazine.
Mathieu tira l’élastique du short et sorti son sex en érection il était long et large et dans sa main de pianiste il semblant vraiment d’une taille impressionnante. Il sourit à ces amis et commença à se masturber doucement. L’expression de son visage trahissait le plaisir que lui procurait ses caresses.
Christophe sembla pris d’une violante pulsions et dit :
- Tu es pas le seul à en avoir envie !
Il sorti son sex lui aussi et commença à se branler, il stoppa quelques secondes son intense activité, et ajouta en s’adressant a Sebastien :
- Sors ta bite, fais comme nous. Tu verras, au bout d’un moment, c’est trop bon !
La bite de Christophe était fine et elle semblait plus courbé presque un peu tordu et bien que son gland soit fin la base de son sex était large.
Plus fébrile, Sébastien descend son caleçon. Il exhiba alors une trique solide, de taille respectable. Son gland était large, et son sexe, parcouru de veines bien visibles, témoignait de son excitation.
Sébastien, encore hésitant, serrait son sexe dans sa main, observant ses deux amis. Christophe, d’un geste assuré, continuait de caresser son membre épais, ses mouvements amples et réguliers il faisait preuve lui visiblement d’une certaine expérience. À ses côtés, Mathieu, plus vif, donnait l’impression de vouloir aller plus vite, les muscles de son bras tendus sous l’intensité de ses va-et-vient.
- Allez, Seb, détends-toi, murmura Christophe d’une voix rauque. Regarde, c’est naturel… et franchement, c’est encore mieux à trois.
Encouragé par leurs regards et leurs mots, Sébastien commença à imiter leurs gestes. Ses doigts glissaient timidement au début, puis, au fur et à mesure envahit par les sensations, son rythme s’accéléra. Une chaleur montait dans la pièce, amplifiée par les respirations de plus en plus lourdes.
Mathieu, les joues légèrement rouges, observa un instant Sébastien avant de murmurer :
- Pas mal, Seb… on dirait que t’es bien lancé.
Les trois amis étaient maintenant alignés sur le canapé, leurs mouvements synchronisés presque instinctivement. Christophe, plus confiant, rompit le silence :
- Vous savez ce qui rend ça encore meilleur ?
Les deux autres le regardèrent, intrigués. Christophe sourit, lâcha son sexe un instant, et tendit la main vers Mathieu, effleurant son avant-bras.
- Quand on se donne un coup de main…
Mathieu haussa un sourcil, surpris, mais ne recula pas. Au contraire, un léger sourire apparut sur son visage.
- Sérieux ? Tu veux essayer ?
- Pourquoi pas ? répondit Christophe, un éclat malicieux dans les yeux. On est entre potes, non ?
Sans attendre de réponse claire, il posa doucement sa main sur le sexe de Mathieu, ses doigts fermes mais hésitants. Mathieu frissonna légèrement sous ce contact inattendu, mais au lieu de protester, il se laissa faire.
Sébastien, abasourdi par la scène, sentit son excitation monter encore d’un cran.
- Vous êtes tarés… murmura-t-il, presque pour lui-même.
Mais son regard restait fixé sur leurs gestes, et il ne put s’empêcher de resserrer sa prise sur son propre sexe, ses mouvements devenant plus rapides et désinhibés.
Christophe, toujours occupé à guider les gestes de Mathieu, lança un regard rapide à Sébastien, qui semblait hésitant, figé dans son coin. Il se contenta de lui sourire doucement, un sourire qui n’était ni moqueur ni insistant, mais plutôt complice.
- Seb… tu fais comme tu veux, ok ? On est là pour s’amuser, rien de plus, dit-il d’une voix apaisante.
Sébastien, bien que troublé, sentit une partie de sa nervosité s’effacer grâce à ce ton rassurant. Il hocha doucement la tête, resserrant ses doigts autour de son sexe, mais il continua de les observer. Mathieu, concentré sur ce qu’il faisait, semblait de plus en plus à l’aise.
- C’est… c’est bizarre, mais c’est bon, murmura Mathieu, ses joues un peu rouges.
- T’inquiète, c’est normal, répondit Christophe en riant doucement. Chacun découvre à son rythme.
À ce moment-là, Christophe posa doucement sa main sur l’avant-bras de Sébastien, un contact léger, presque anodin.
- Si t’as envie de te rapprocher, fais-le, mais vraiment, prends ton temps, ajouta-t-il, sans détourner les yeux de Mathieu.
Sébastien hésita encore un instant, mais le ton calme de Christophe et l’atmosphère toride l’aidèrent à franchir une étape. Il se laissa tomber sur le canapé, à côté de ses deux amis. Il était maintenant assez près pour sentir la chaleur de leurs corps et entendre leurs respirations haletantes.
- Là, c’est mieux, sourit Christophe. On est tous à l’aise maintenant.
Mathieu, sans arrêter ses mouvements, tourna brièvement les yeux vers Sébastien.
- C’est cool que t’aies rejoint… et puis regarde, personne te juge. On fait juste ce qu’on aime, non ?
Les mots de Mathieu semblèrent complètement convaincre Sébastien, qui hocha la tête, plus détendu. Il reprit ses propres mouvements, cette fois avec moins d’hésitation. L’ambiance, déjà électrisante, gagna encore en intensité.
Sébastien, désormais assis à côté de ses deux amis, se laissait peu à peu gagner par l’ambiance de la pièce. Les gestes de Christophe et Mathieu semblaient presque hypnotiques, et il sentit son propre rythme s’accorder au leur, lentement d’abord, puis avec plus d’assurance.
Christophe, toujours attentif, jetait de brefs coups d’œil à Sébastien sans insister, s’assurant qu’il se sentait bien. Il ne disait rien, mais son sourire complice parlait pour lui. Mathieu, quant à lui, semblait complètement plongé dans ce qu’il faisait, sa main glissant avec une fluidité presque experte sur le sexe de Christophe.
Après quelques instants, Mathieu tourna légèrement la tête vers Sébastien, son souffle court, mais son regard curieux.
- Tu veux essayer ? demanda-t-il doucement, en désignant Christophe d’un signe de tête.
Sébastien cligna des yeux, pris par surprise, et sentit une vague de chaleur lui monter au visage.
- Euh… je sais pas… répondit-il, hésitant, sa voix presque inaudible.
Christophe, sans se départir de son calme, intervint :
- Y a rien qui presse, Seb. Juste si t’en as envie, on est là.
Les mots simples mais sincères de Christophe eurent un effet apaisant. Sébastien inspira profondément et, après un instant de réflexion, tendit une main hésitante vers Mathieu.
- Je… je veux bien essayer, mais doucement, dit-il, presque pour lui-même.
Mathieu se décala légèrement, libérant de l’espace pour Sébastien. Quand sa main entra en contact avec Christophe, ce dernier laissa échapper un léger gémissement, plus surpris qu’autre chose.
- C’est bien, Seb, murmura Christophe, son ton encourageant. T’inquiète pas, fais comme tu le sens.
Sébastien, encouragé par l’absence de pression, commença à explorer timidement, ses doigts glissant sur la peau tendue et chaude. Ses gestes étaient maladroits au début, mais il se laissait guider par les réactions de Christophe, qui murmurait parfois un « ouais » ou laissait échapper un soupir.
Pendant ce temps, Mathieu observait la scène, visiblement excité par cette nouvelle dynamique. Ses propres mouvements avaient ralenti, comme pour mieux savourer l’intensité du moment.
- Pas mal pour une première fois, Seb, plaisanta-t-il, sa voix entrecoupée de halètements.
Les trois amis étaient désormais totalement immergés dans cette expérience inédite, leurs inhibitions dissipées, remplacées par une complicité grandissante. La tension dans la pièce était presque palpable, et chaque mouvement, chaque regard, semblait amplifié par l’intensité du moment partagé.
Les respirations se faisaient de plus en plus lourdes, et une chaleur intense emplissait la pièce. Christophe, toujours le plus confiant des trois, brisa à nouveau le silence avec un sourire en coin :
- On pourrait… changer un peu, non ?
Mathieu, intrigué, tourna les yeux vers lui.
- Changer comment ?
Christophe se redressa légèrement et désigna leurs positions du menton.
- Chacun s’occupe de son voisin. Comme ça, tout le monde participe…
Sébastien, encore un peu hésitant, ouvrit la bouche pour répondre, mais Mathieu, déjà excité par l’idée, s’interposa avec un sourire joueur :
- Moi, je suis partant. Seb ?
Sébastien, pris au dépourvu, jeta un regard rapide à ses deux amis avant de hausser légèrement les épaules.
- Si… si vous voulez, répondit-il d’une voix tremblante.
Sans perdre de temps, Mathieu se rapprocha de Sébastien et posa doucement une main sur son sexe tendu. Sébastien frissonna sous ce contact inattendu, mais ne se dégagea pas. La main de Mathieu, plus assurée, commença à glisser lentement, testant les réactions de son ami.
Dans le même temps, Christophe se tourna vers Mathieu et prit son membre en main, ses gestes fermes mais fluides, comme s’il savait exactement comment lui donner du plaisir.
- Relax, Seb, murmura Mathieu, un sourire au coin des lèvres. C’est juste entre nous.
Sébastien hocha la tête, et malgré son appréhension initiale, il tendit une main tremblante vers Christophe, qui l’accueillit d’un simple soupir approbateur. Ses doigts glissèrent sur la longueur du sexe épais de son ami, et rapidement, il trouva un rythme qui semblait convenir.
Les trois amis, désormais connectés par un cercle de caresses mutuelles, laissaient libre cours à leur excitation. Les mouvements devenaient plus rapides, les souffles plus saccadés, et la tension montait inexorablement.
- Putain, les gars, souffla Christophe entre deux gémissements, je vais pas tenir longtemps…
Mathieu, amusé, accéléra ses mouvements sur Christophe, un sourire joueur sur les lèvres.
- Vas-y, mec, lâche-toi.
Sébastien, bien qu’encore un peu maladroit, sentit les muscles de Christophe se contracter sous sa main. Ce dernier laissa échapper un râle profond, son corps se tendit, et une chaleur intense envahit la pièce alors qu’il jouissait, son plaisir éclatant sous les caresses de son camarade. Le sperme chaud d’un blanc éclatant gicle sur son ventre et badigeonne les doigts de Seb, qui n’arrête pas pour autant de le branler. Christophe, dans un mouvement un peu gauche, pousse la main de Seb.
- Stop, stop, je n'en peux plus.
Chuchote-t-il et reprend sur une intensité un peu plus élevée les aller-retour sur la tige de Mathieu.
Enflammé par le désir, Mathieu, à son tour, sent en lui monter le plaisir, il bascule la tête, et dans une longue respiration, il jouit. Un puissant jet de sperme jaillit de son étroit gland. Les giclées de sperme monte jusqu’au démarrage de son cou. Christophe arrête en souriant de le branler.
- C’est à toi, Seb, maintenant
Dit à voix basse, Christophe, en approchant sa main du sexe de Sébastien, Mathieu descend la main le plus près de la base de son pénis pour laisser la place à Christophe, qui lui allait s’occupera du gland de Sébastien.
- Tu l’as vraiment jamais fait ?
demanda Mathieu.
- Je... non, pas avec la main...
Répond d’une voix tremblante Sébastien.
L’intégralité du sexe de Sébastien était branlé par les deux mains expérimentées de ces camarades. Sébastien sentit une sensation inconnue jusqu’alors l’envahir; il se contracte brièvement, ce qui n’échappe pas Christophe
- Math il vient, accélére
Murmurera t’il, à ces mots, Sébastien se sentit brutalement paralysé par une vague incontrôlée de plaisir. Il sentit quatre grosse décharge électrique puissante puis un liquide assez fluide et chaud se répandre sur son ventre.
Le sourire jusqu’aux oreilles, les deux copains observent Sebastien prendre réellement pour la première fois son pied, et quel fois.
Pendant plusieurs mois, les occasions de partager à trois une séance de plaisir, qui devrait être solitaire, se multiplient. Ils instaurent un vocabulaire spécifique, comme une langue codée : un triangle, un duel, deux contre un, juste la fin, chacun pour soi… Ces termes désignent les règles mises en place. Parfois, ils s’y adonnent tout un après-midi ou une partie de la nuit. Bien que le lieu impose certaines contraintes, ils ne se fixent aucune limite : seul l’orgasme compte. Leurs séances de plaisir peuvent se dérouler chez les uns et les autres dans la confort de la chambre évidemment mais dans le salon et la salle de bain son les endroits où il pratique le plus régulièrement, ils peuvent aussi le faire sur un chemin isolé, derrière des bosquets peu fréquentés, la nuit sur une plage, au bord d’une rivière où ils sont venus se baigner, ou encore lors d’un voyage train dans les toilettes du wagon à tours de rôle. Ils l’ont même fait discrètement à l’arrière d’une voiture, en pleine journée, sur le parking d’un supermarché.